dimanche 17 novembre 2019

MES BREBIS ENTENDENT MA VOIX ; JE LES CONNAIS, ET ELLES ME SUIVENT ! JE LEUR DONNE LA VIE ÉTERNELLE ; ELLES NE PÉRIRONT JAMAIS, ET PERSONNE NE LES RAVIRA DE MA MAIN ! MON PÈRE, QUI ME LES A DONNÉES, EST PLUS GRAND QUE TOUS ; ET, PERSONNE NE PEUT LES RAVIR DE LA MAIN DE MON PÈRE. MOI, ET LE PÈRE, NOUS SOMMES UN !


                                
          

 
JEAN 10.1.21, 22-39 ; 11.1-44, 45-57 - MES BREBIS ENTENDENT MA VOIX ; JE LES CONNAIS, ET ELLES ME SUIVENT. JE LEUR DONNE LA VIE ÉTERNELLE ; ELLES NE PÉRIRONT JAMAIS, ET PERSONNE NE LES RAVIRA DE MA MAIN ! MON PÈRE, QUI ME LES A DONNÉES, EST PLUS GRAND QUE TOUS ; ET, PERSONNE NE PEUT LES RAVIR DE LA MAIN DE MON PÈRE. MOI, ET LE PÈRE, NOUS SOMMES UN !

JEAN 10.1-21 - EN VÉRITÉ, EN VÉRITÉ, JE VOUS LE DIS, CELUI QUI N'ENTRE PAS PAR LA PORTE DANS LA BERGERIE, MAIS QUI Y MONTE PAR AILLEURS, EST UN VOLEUR ET UN BRIGAND. MAIS, CELUI QUI ENTRE PAR LA PORTE EST LE BERGER DES BREBIS ! LE PORTIER LUI OUVRE, ET LES BREBIS ENTENDENT SA VOIX ; IL APPELLE PAR LEUR NOM LES BREBIS QUI LUI APPARTIENNENT, ET IL LES CONDUIT DEHORS.

LORSQU'IL A FAIT SORTIR TOUTES SES PROPRES BREBIS, IL MARCHE DEVANT ELLES ; ET LES BREBIS LE SUIVENT, PARCE QU'ELLES CONNAISSENT SA VOIX. ELLES NE SUIVRONT POINT UN ÉTRANGER ; MAIS ELLES FUIRONT LOIN DE LUI, PARCE QU'ELLES NE CONNAISSENT PAS LA VOIX DES ÉTRANGERS !

JÉSUS LEUR DIT CETTE PARABOLE, MAIS ILS NE COMPRIRENT PAS DE QUOI IL LEUR PARLAIT. JÉSUS LEUR DIT ENCORE : EN VÉRITÉ, EN VÉRITÉ, JE VOUS LE DIS, JE SUIS LA PORTE DES BREBIS ! TOUS CEUX QUI SONT VENUS AVANT MOI SONT DES VOLEURS ET DES BRIGANDS ; MAIS LES BREBIS NE LES ONT POINT ÉCOUTÉS !

JE SUIS LA PORTE. SI QUELQU'UN ENTRE PAR MOI, IL SERA SAUVÉ ; IL ENTRERA ET IL SORTIRA, ET IL TROUVERA DES PÂTURAGES. LE VOLEUR NE VIENT QUE POUR DÉROBER, ÉGORGER ET DÉTRUIRE ; MOI, JE SUIS VENU AFIN QUE LES BREBIS AIENT LA VIE, ET QU'ELLES SOIENT DANS L'ABONDANCE.

JE SUIS LE BON BERGER. LE BON BERGER DONNE SA VIE POUR SES BREBIS ! MAIS, LE MERCENAIRE, QUI N'EST PAS LE BERGER, ET A QUI N'APPARTIENNENT PAS LES BREBIS, VOIT VENIR LE LOUP, ABANDONNE LES BREBIS, ET PREND LA FUITE ; ET LE LOUP LES RAVIT ET LES DISPERSE. LE MERCENAIRE S'ENFUIT, PARCE QU'IL EST MERCENAIRE, ET QU'IL NE SE MET POINT EN PEINE DES BREBIS.

JE SUIS LE BON BERGER !  JE CONNAIS MES BREBIS, ET ELLES ME CONNAISSENT, COMME LE PÈRE ME CONNAÎT ET COMME JE CONNAIS LE PÈRE ; ET, JE DONNE MA VIE POUR MES BREBIS. J'AI ENCORE D'AUTRES BREBIS, QUI NE SONT PAS DE CETTE BERGERIE ; CELLES-LÀ, IL FAUT QUE JE LES AMÈNE ; ELLES ENTENDRONT MA VOIX, ET IL Y AURA UN SEUL TROUPEAU, UN SEUL BERGER ! 

LE PÈRE M'AIME, PARCE QUE JE DONNE MA VIE, AFIN DE LA REPRENDRE. PERSONNE NE ME L’ÔTE, MAIS, JE LA DONNE DE MOI-MÊME ; J'AI LE POUVOIR DE LA DONNER, ET J'AI LE POUVOIR DE LA REPRENDRE : TEL EST L'ORDRE QUE J'AI REÇU DE MON PÈRE !

IL Y EUT DE NOUVEAU, A CAUSE DE CES PAROLES, DIVISION PARMI LES JUIFS. PLUSIEURS D'ENTRE EUX DISAIENT : IL A UN DÉMON, IL EST FOU ! POURQUOI L'ÉCOUTEZ-VOUS ?

D'AUTRES DISAIENT : CE NE SONT PAS LES PAROLES D'UN DÉMONIAQUE ; UN DÉMON PEUT-IL OUVRIR LES YEUX DES AVEUGLES ?

JEAN 10.22-39 - ON CÉLÉBRAIT A JÉRUSALEM LA FÊTE DE LA DÉDICACE. C’ÉTAIT L'HIVER. ET, JÉSUS SE PROMENAIT DANS LE TEMPLE, SOUS LE PORTIQUE DE SALOMON. LES JUIFS L’ENTOURÈRENT, ET LUI DIRENT : JUSQUES A QUAND, TIENDRAS-TU NOTRE ESPRIT EN SUSPENS ? SI TU ES LE CHRIST, DIS-LE-NOUS FRANCHEMENT !

JÉSUS LEUR RÉPONDIT : JE VOUS L'AI DIT, ET VOUS NE CROYEZ PAS. LES ŒUVRES QUE JE FAIS AU NOM DE MON PÈRE RENDENT TÉMOIGNAGE DE MOI. MAIS, VOUS NE CROYEZ PAS, PARCE QUE VOUS N’ÊTES PAS DE MES BREBIS !

MES BREBIS ENTENDENT MA VOIX ; JE LES CONNAIS, ET ELLES ME SUIVENT ! JE LEUR DONNE LA VIE ÉTERNELLE ; ELLES NE PÉRIRONT JAMAIS, ET PERSONNE NE LES RAVIRA DE MA MAIN ! MON PÈRE, QUI ME LES A DONNÉES, EST PLUS GRAND QUE TOUS ; ET, PERSONNE NE PEUT LES RAVIR DE LA MAIN DE MON PÈRE. MOI, ET LE PÈRE, NOUS SOMMES UN !

ALORS, LES JUIFS PRIRENT DE NOUVEAU DES PIERRES POUR LE LAPIDER - JÉSUS LEUR DIT : JE VOUS AI FAIT VOIR PLUSIEURS BONNES ŒUVRES VENANT DE MON PÈRE : POUR LAQUELLE ME LAPIDEZ-VOUS? LES JUIFS LUI RÉPONDIRENT : CE N'EST POINT POUR UNE BONNE ŒUVRE QUE NOUS TE LAPIDONS, MAIS, POUR UN BLASPHÈME ; ET, PARCE QUE TOI, QUI ES UN HOMME, TU TE FAIS DIEU !

JÉSUS LEUR RÉPONDIT : N'EST-IL PAS ÉCRIT DANS VOTRE LOI : J'AI DIT, VOUS ÊTES DES DIEUX ? SI ELLE A APPELÉ DIEUX, CEUX A QUI LA PAROLE DE DIEU A ÉTÉ ADRESSÉE, ET, SI L'ÉCRITURE NE PEUT ÊTRE ANÉANTIE, CELUI QUE LE PÈRE A SANCTIFIÉ ET ENVOYÉ DANS LE MONDE, VOUS LUI DITES : TU BLASPHÈMES ! ET, CELA, PARCE QUE J'AI DIT : JE SUIS LE FILS DE DIEU !

SI JE NE FAIS PAS LES ŒUVRES DE MON PÈRE, NE ME CROYEZ PAS. MAIS, SI JE LES FAIS, QUAND MÊME VOUS NE ME CROYEZ POINT, CROYEZ A CES ŒUVRES, AFIN QUE VOUS SACHIEZ ET RECONNAISSIEZ, QUE LE PÈRE EST EN MOI ET QUE JE SUIS DANS LE PÈRE !

LA-DESSUS, ILS CHERCHÈRENT ENCORE A LE SAISIR, MAIS IL S’ÉCHAPPA DE LEURS MAINS.

JEAN 11.1-44 - IL Y AVAIT UN HOMME MALADE, LAZARE, DE BÉTHANIE, VILLAGE DE MARIE ET DE MARTHE, SA SŒUR. C’ÉTAIT CETTE MARIE QUI OIGNIT DE PARFUM LE SEIGNEUR ET QUI LUI ESSUYA LES PIEDS AVEC SES CHEVEUX, ET C’ÉTAIT SON FRÈRE LAZARE QUI ÉTAIT MALADE.

LES SŒURS ENVOYÈRENT DIRE A JÉSUS : SEIGNEUR, VOICI, CELUI QUE TU AIMES EST MALADE. APRÈS AVOIR ENTENDU CELA, JÉSUS DIT : CETTE MALADIE N'EST POINT A LA MORT, MAIS ELLE EST POUR LA GLOIRE DE DIEU, AFIN QUE LE FILS DE DIEU SOIT GLORIFIÉ PAR ELLE.

OR, JÉSUS AIMAIT MARTHE, SA SŒUR ET LAZARE. LORS, DONC, QU'IL EUT APPRIS QUE LAZARE ÉTAIT MALADE, IL RESTA DEUX JOURS ENCORE DANS LE LIEU OÙ IL ÉTAIT, ET IL DIT ENSUITE AUX DISCIPLES: RETOURNONS EN JUDÉE. LES DISCIPLES LUI DIRENT : RABBI, LES JUIFS, TOUT RÉCEMMENT, CHERCHAIENT A TE LAPIDER, ET TU RETOURNES EN JUDÉE !

JÉSUS RÉPONDIT : N'Y A-T-IL PAS DOUZE HEURES AU JOUR ? SI QUELQU'UN MARCHE PENDANT LE JOUR, IL NE BRONCHE POINT, PARCE QU'IL VOIT LA LUMIÈRE DE CE MONDE, MAIS, SI QUELQU'UN MARCHE PENDANT LA NUIT, IL BRONCHE, PARCE QUE LA LUMIÈRE N'EST PAS EN LUI.

APRÈS CES PAROLES, IL LEUR DIT : LAZARE, NOTRE AMI, DORT, MAIS JE VAIS LE RÉVEILLER. LES DISCIPLES LUI DIRENT : SEIGNEUR, S'IL DORT, IL SERA GUÉRI. JÉSUS AVAIT PARLÉ DE SA MORT, MAIS ILS CRURENT QU'IL PARLAIT DE L'ASSOUPISSEMENT DU SOMMEIL. ALORS, JÉSUS LEUR DIT OUVERTEMENT : LAZARE EST MORT ; ET, A CAUSE DE VOUS, AFIN QUE VOUS CROYIEZ, JE ME RÉJOUIS DE CE QUE JE N’ÉTAIS PAS LÀ. MAIS, ALLONS VERS LUI.

SUR QUOI, THOMAS, APPELÈ DIDYME, DIT AUX AUTRES DISCIPLES : ALLONS AUSSI, AFIN DE MOURIR AVEC LUI ! JÉSUS, ÉTANT ARRIVÉ, TROUVA QUE LAZARE ÉTAIT DÉJÀ DEPUIS QUATRE JOURS DANS LE SÉPULCRE. ET, COMME BÉTHANIE ÉTAIT PRÈS DE JÉRUSALEM, A QUINZE STADES ENVIRON, BEAUCOUP DE JUIFS ÉTAIENT VENUS VERS MARTHE ET MARIE POUR LES CONSOLER DE LA MORT DE LEUR FRÈRE.

LORSQUE MARTHE APPRIT QUE JÉSUS ARRIVAIT, ELLE ALLA AU-DEVANT DE LUI, TANDIS QUE MARIE SE TENAIT ASSISE A LA MAISON. MARTHE DIT A JÉSUS : SEIGNEUR, SI TU EUSSES ÉTÉ ICI, MON FRÈRE NE SERAIT PAS MORT. MAIS, MAINTENANT MÊME, JE SAIS QUE TOUT CE QUE TU DEMANDERAS A DIEU, DIEU TE L'ACCORDERA.

JÉSUS LUI DIT : TON FRÈRE RESSUSCITERA ! JE SAIS, LUI RÉPONDIT MARTHE, QU'IL RESSUSCITERA A LA RÉSURRECTION, AU DERNIER JOUR.

JÉSUS LUI DIT : JE SUIS LA RÉSURRECTION ET LA VIE ! CELUI QUI CROIT EN MOI VIVRA, QUAND MÊME IL SERAIT MORT ; ET, QUICONQUE VIT ET CROIT EN MOI NE MOURRA JAMAIS ! CROIS-TU CELA ?

ELLE LUI DIT : OUI, SEIGNEUR, JE CROIS QUE TU ES LE CHRIST, LE FILS DE DIEU, QUI DEVAIT VENIR DANS LE MONDE ! AYANT AINSI PARLÉ, ELLE S'EN ALLA. PUIS, ELLE APPELA SECRÈTEMENT MARIE, SA SŒUR, ET LUI DIT : LE MAÎTRE EST ICI ET IL TE DEMANDE.

DÈS QUE MARIE EUT ENTENDU, ELLE SE LEVA PROMPTEMENT, ET ALLA VERS LUI. CAR, JÉSUS N’ÉTAIT PAS ENCORE ENTRÉ DANS LE VILLAGE, MAIS, IL ÉTAIT DANS LE LIEU OÙ MARTHE L'AVAIT RENCONTRÉ.

LES JUIFS QUI ÉTAIENT AVEC MARIE DANS LA MAISON ET QUI LA CONSOLAIENT, L'AYANT VUE SE LEVER PROMPTEMENT ET SORTIR, LA SUIVIRENT, DISANT : ELLE VA AU SÉPULCRE, POUR Y PLEURER.

LORSQUE MARIE FUT ARRIVÉE LÀ OÙ ÉTAIT JÉSUS ET QU'ELLE LE VIT, ELLE TOMBA A SES PIEDS, ET LUI DIT : SEIGNEUR, SI TU EUSSES ÉTÉ ICI, MON FRÈRE NE SERAIT PAS MORT.

JÉSUS, LA VOYANT PLEURER, ELLE ET LES JUIFS QUI ÉTAIENT VENUS AVEC ELLE, FRÉMIT EN SON ESPRIT ET FUT TOUT ÉMU. ET, IL DIT : OÙ L'AVEZ-VOUS MIS ? SEIGNEUR, LUI RÉPONDIRENT-ILS : VIENS ET VOIS !

JÉSUS PLEURA. SUR QUOI LES JUIFS DIRENT : VOYEZ COMME IL L'AIMAIT. ET, QUELQUES-UNS D'ENTRE EUX DIRENT : LUI QUI A OUVERT LES YEUX DE L'AVEUGLE, NE POUVAIT-IL PAS FAIRE AUSSI QUE CET HOMME NE MOURÛT POINT ?

JÉSUS FRÉMISSANT DE NOUVEAU EN LUI-MÊME, SE RENDIT AU SÉPULCRE. C’ÉTAIT UNE GROTTE ET UNE PIERRE ÉTAIT PLACÉE DEVANT. JÉSUS DIT : ÔTEZ LA PIERRE ! MARTHE, LA SŒUR DU MORT, LUI DIT : SEIGNEUR, IL SENT DÉJÀ, CAR, IL Y A QUATRE JOURS QU'IL EST LÀ.

JÉSUS LUI DIT : NE T'AI-JE PAS DIT QUE, SI TU CROIS, TU VERRAS LA GLOIRE DE DIEU ? ILS ÔTÈRENT DONC LA PIERRE. ET JÉSUS LEVA LES YEUX EN HAUT ET DIT : PÈRE, JE TE RENDS GRÂCES DE CE QUE TU M'AS EXAUCÉ. POUR MOI, JE SAVAIS QUE TU M'EXAUCES TOUJOURS, MAIS J'AI PARLÉ À CAUSE DE LA FOULE QUI M'ENTOURE, AFIN QU'ILS CROIENT QUE C'EST TOI QUI M'AS ENVOYÉ.

AYANT DIT CELA, IL CRIA D'UNE VOIX FORTE : LAZARE, SORS ! ET LE MORT SORTIT, LES PIEDS ET LES MAINS LIÉS DE BANDES ET LE VISAGE ENVELOPPÉ D'UN LINGE. JÉSUS LEUR DIT : DÉLIEZ-LE ET LAISSEZ-LE ALLER ...

JEAN 11.45-57 - PLUSIEURS DES JUIFS QUI ÉTAIENT VENUS VERS MARIE, ET QUI VIRENT CE QUE FIT JÉSUS, CRURENT EN LUI. MAIS, QUELQUES-UNS D'ENTRE EUX ALLÈRENT TROUVER LES PHARISIENS ET LEUR DIRENT CE QUE JÉSUS AVAIT FAIT.

ALORS, LES PRINCIPAUX SACRIFICATEURS ET LES PHARISIENS ASSEMBLÈRENT LE SANHÉDRIN, ET DIRENT : QUE FERONS-NOUS ? CAR, CET HOMME FAIT BEAUCOUP DE MIRACLES. SI NOUS LE LAISSONS FAIRE, TOUS CROIRONT EN LUI, ET LES ROMAINS VIENDRONT DÉTRUIRE, ET NOTRE VILLE, ET NOTRE NATION.

L'UN D'EUX, CAÏPHE, QUI ÉTAIT SOUVERAIN SACRIFICATEUR CETTE ANNÉE-LÀ, LEUR DIT : VOUS N'Y ENTENDEZ RIEN ; VOUS NE RÉFLÉCHISSEZ PAS, QU'IL EST DANS VOTRE INTÉRÊT QU'UN SEUL HOMME MEURE POUR LE PEUPLE, ET QUE LA NATION ENTIÈRE NE PÉRISSE PAS.

OR, IL NE DIT PAS CELA DE LUI-MÊME ; MAIS, ÉTANT SOUVERAIN SACRIFICATEUR CETTE ANNÉE-LÀ, IL PROPHÉTISA QUE JÉSUS DEVAIT MOURIR POUR LA NATION. ET, CE N’ÉTAIT PAS POUR LA NATION SEULEMENT ; C’ÉTAIT AUSSI AFIN DE RÉUNIR EN UN SEUL CORPS LES ENFANTS DE DIEU DISPERSÉS. DÈS CE JOUR, ILS RÉSOLURENT DE LE FAIRE MOURIR. C'EST POURQUOI, JÉSUS NE SE MONTRA PLUS OUVERTEMENT PARMI LES JUIFS ; MAIS, IL SE RETIRA DANS LA CONTRÉE VOISINE DU DÉSERT, DANS UNE VILLE APPELÉE ÉPHRAÏM ; ET, LÀ, IL DEMEURAIT AVEC SES DISCIPLES.

LA PÂQUE DES JUIFS ÉTAIT PROCHE ; ET, BEAUCOUP DE GENS DU PAYS MONTÈRENT A JÉRUSALEM AVANT LA PÂQUE, POUR SE PURIFIER. ILS CHERCHAIENT JÉSUS, ET ILS SE DISAIENT LES UNS AUX AUTRES DANS LE TEMPLE : QUE VOUS EN SEMBLE ? NE VIENDRA-T-IL PAS A LA FÊTE ? OR, LES PRINCIPAUX SACRIFICATEURS ET LES PHARISIENS AVAIENT DONNÉ L'ORDRE QUE, SI QUELQU'UN SAVAIT OÙ IL ÉTAIT, IL LE DÉCLARÂT, AFIN QU'ON SE SAISÎT DE LUI.
 

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