jeudi 18 avril 2013

QUICONQUE AIME, EST NE DE DIEU ET CONNAIT DIEU !



1 JEAN 4.1-21,5.1-15, 18-21
CELUI QUI EST NE DE DIEU TRIOMPHE DU MONDE ET LA VICTOIRE QUI TRIOMPHE DU MONDE, C'EST NOTRE FOI. QUI EST CELUI QUI A TRIOMPHE DU MONDE, SINON CELUI QUI CROIT QUE JÉSUS EST LE FILS DE DIEU !!!

JÉSUS-CHRIST S'EST DONNÉ AFIN DE NOUS ARRACHER AU PRÉSENT SIÈCLE MAUVAIS...



 

DANIEL 6.26b-27 
UN ROYAUME INSONDABLE, 
INCOMMENSURABLE, INÉPUISABLE, ÉTERNEL!
Car il est le Dieu vivant,
 Il subsiste éternellement.
Son royaume ne sera jamais détruit
Sa domination durera jusqu'à la fin.
C'est lui qui délivre et qui sauve, 
Qui opère des signes et des prodiges 
Dans les cieux et sur la terre...

mardi 16 avril 2013

SACERDOCE ROYAL: DANS LE ROYAUME DE DIEU, REGNER, C'EST SERVIR !



Dans sa mission de transmission de l’appel de Dieu à la repentance et à la conversion, Jésus insiste significativement sur l’exigence radicale de Dieu, quant à la reconnaissance et au règlement, sans délai, par le transgresseur, de sa condition d'être intégralement perdu et déchu, éternellement séparé de son créateur...

La légitimité de Dieu à faire valoir clairement ses exigences radicales est fondée sur sa transcendance absolue, son essence libre et indépendante de toutes conditions et réserves. Lui Seul, dans l’univers, est pure capacité de communiquer la vie éternelle, mais surtout et par-dessus tout, de définir les irréductibles critères d’entrée dans cette Vie Royale.

En vérité, en vérité, je te le dis, si un homme ne naît d'eau et d'Esprit, il ne peut entrer dans le royaume de Dieu. Ce qui est né de la chair est chair, et ce qui est né de l'Esprit est esprit. Ne t'étonne pas que je t'aie dit: IL FAUT que vous naissiez de nouveau. (Jean 3:6-7)

Dieu qui se révèle et qui invite à entrer dans le Royaume, à vivre une universelle et indissoluble  communauté de vie de personne et de biens avec Lui, est le Maître Absolu dont la Volonté d’Amour Infinie exige une Obéissance Totale – non servile, mais filiale – inconditionnelle et illimitée.

L’ACCÈS AU ROYAUME IMPLIQUE UN RENVERSEMENT 
COMPLET DE VISION ET DE  VALEURS ...

Déjà, dans l’ancien testament, YHWH se révèle comme le Dieu jaloux, exclusif, libérateur de l’esclavage mais dont la volonté exigeante entend bien façonner la totalité de la vie de l’homme.

Cependant, Jésus - Dieu venu en chair, Prince de la Vie, Autorité Eternelle Suprême - ne manquera pas de nous enseigner par son exemple la signification du véritable amour et de l’obéissance parfaite, au travers du sacrifice suprême de la Croix.

Par le lavage des pieds de ses disciples, peu avant sa mise à mort sacrificielle, il démontrera encore, avec force, qu’au travers de l’accomplissement des temps, il restera Le Maître Serviteur (Jean 13:1-17; Philippiens 2:5-11)

Là où sévissaient les ataviques structures hiérarchiques de dominance issues de la première humanité déchue, s’épanouit , tout en grâce, le Sacerdoce Royal d’une Nation Sainte - générée par le sacrifice sanglant de son Roi - nation dont la devise sera à jamais: Régner, c’est Servir !

Vous m'appelez Maître et Seigneur; et vous dites bien, car je le suis. Si donc je vous ai lavé les pieds, moi, le Seigneur et le Maître, vous devez aussi vous laver les pieds les uns aux autres; car je vous ai donné un exemple, afin que vous fassiez comme je vous ai fait (Jean 13:13-15)

Jésus leur dit: Les rois des nations les maîtrisent et ceux qui les dominent sont appelés bienfaiteurs. Qu'il n'en soit pas de même pour vous. Mais que le plus grand parmi vous soit comme le plus petit, et celui qui gouverne comme celui qui sert. Car quel est le plus grand, celui qui est à table, ou celui qui sert? N'est-ce pas celui qui est à table? Et moi, cependant, je suis au milieu de vous comme celui qui sert (Luc 22 :25-27)

Vous, au contraire, vous êtes une race élue, un sacerdoce royal, une nation sainte, un peuple acquis, afin que vous annonciez les vertus de celui qui vous a appelés des ténèbres à son admirable lumière (1Pierre 2:9)

Ô profondeur des richesses et de la sagesse et de la connaissance de Dieu ! Que ses jugements sont incompréhensibles, et ses voies impossibles à trouver ! Car qui est-ce qui a connu la pensée du Seigneur ? Ou, qui a été son conseiller ? Ou qui est-ce qui lui a donné le premier, et il lui sera rendu ? Car de lui, et par lui, et pour lui sont toutes choses. A lui soit gloire éternellement : Amen ! (Romains 11:33-36)

lundi 15 avril 2013

UN MONDE A LA CROISÉE DES CHEMINS !



LA MESURE EST COMBLE ...
ET LE TEMPS EST COURT !

Chaque être humain est convoqué par le créateur, en colloque singulier, hors de tous biais philosophiques ou religieux, en vue d’une résolution décisive et définitive de la question du péché le concernant.

Aucun ne réalisera jamais la finalité pour laquelle il a été créé, sans abandon de ses dénégations, justifications, et sans traitement à la racine, de la question majeure du péché, cause de tous désordres et faillites - individuels et collectifs.

Des défis, risques et enjeux cruciaux s’imposent en ces temps de la fin à cette humanité en rupture de ban, contumax, dont la crise systémique transgressive initiée en éden, au tout début de son existence, n’a jamais cessé de s’amplifier catastrophiquement depuis, en dépit des efforts effrénés déployés par les diverses civilisations historiques - occidentale incluse.

La mesure est comble, le temps est court, l’urgence est à la prise de conscience et de décision. Il n’est qu’une seule alternative: la perdition inhérente au péché ou le salut inhérent à la grâce - chacune avec ses incidences et conséquences éternelles distinctes et opposées.

Le monde vit une période charnière située entre deux ères. Depuis Jean-Baptiste, l’histoire du salut tend irrésistiblement vers sa résolution. La phase finale de cette histoire a été spécialement inaugurée par la personne et l’œuvre de Jésus.

Dès lors, la volonté de Dieu ne peut plus être amalgamée avec un système moral ou théologique palliatif car, dès maintenant, le disciple entre par son choix décisif en communauté indissoluble de vie avec Jésus, conscient qu’en ces derniers temps, en la Venue Personnelle de son Créateur, il a trouvé le règne de Dieu.

Il est seulement maintenant possible d’obéir librement à Dieu et de l’aimer directement et intrinsèquement de tout son être.

dimanche 14 avril 2013

LA GRÂCE DE DIEU, INGENIERIE DIVINE !


DIVIN PROCESS DE GRÂCE


Le salut est, à tel point, tout aussi individuel que le chemin qui y mène, que lorsque l’Esprit-Saint intervient dans la vie de l’homme, il le conduit personnellement dans un réel process d’identification au Christ crucifié, ressuscité et glorifié, vecteur d’un changement complet de sa structure d’existence.


Vous savez où je vais, et vous en savez le chemin. Thomas lui dit: Seigneur, nous ne savons où tu vas; comment pouvons-nous en savoir le chemin? Jésus lui dit: Je suis le chemin, la vérité, et la vie. Nul ne vient au Père que par moi (Jean 14 :4-6)


Cette conformation au Christ dans sa mort, sa résurrection et sa glorification produit un effet de radical bouleversement de la condition de l’homme, sous forme de passage de l’ancienne, atavique structure d’existence transgressive, « pour la mort », à une nouvelle structure d’existence, « pour la vie ». Dès lors, conscient de son insertion dans l’univers de la résurrection, l’homme est et se sait irréversiblement mort au péché, ne se concevant plus en fonction des pseudo-valeurs de la chair, mais uniquement en fonction des authentiques valeurs de l’Esprit.


Si nous sommes morts avec Christ, nous croyons que nous vivrons aussi avec lui, sachant que Christ ressuscité des morts ne meurt plus, la mort n'a plus de pouvoir sur lui (Romains 6:8-9)


Ne livrez pas vos membres au péché, comme des instruments d'iniquité, mais donnez-vous vous-mêmes à Dieu, comme étant vivants de morts que vous étiez et offrez à Dieu vos membres comme des instruments de justice (Romains 6:13)


Considérant, dès lors, le fait que chacun construit son présent en fonction de la perception qu’il a de son avenir, toute condition présente est configurée différemment, selon que l’on vit sous le règne du péché et de la mort ou celui de la justice et de la vie; sous le régime de l’incrédulité et de la transgression ou celui de la foi et de la justice; celui de la tristesse ou de la joie; du mensonge ou de la vérité; de la haine ou de l’amour; de la honte ou de la gloire… etc…


Ainsi le rapport à la vie ou rapport au Christ est le fait d’une identification, conformation et insertion de l’être régénéré dans le Christ, faisant de celui-ci un être participant au Christ, devenant un seul être avec Lui, dans une relation de type singulier, exclusif, organique. A ce stade, le chrétien est dans l’Esprit et non plus dans la chair, l’Esprit l’ayant introduit dans une relation organique au Christ, l’ayant définitivement établi fils de résurrection, constitué dans la filiation eschatologique.


Celui qui s'attache au Seigneur est avec lui un seul esprit (1 Corinthiens 6:16)


Je suis le cep, vous êtes les sarments. Celui qui demeure en moi et en qui je demeure porte beaucoup de fruit, car sans moi vous ne pouvez rien faire (Jean 15:5)


Tous ceux qui sont conduits par l'Esprit de Dieu sont fils de Dieu. Et vous n'avez point reçu un esprit de servitude, pour être encore dans la crainte; mais vous avez reçu un Esprit d'adoption, par lequel nous crions: Abba! Père! (Romains 8 :14-15)


mardi 2 avril 2013

DIEU VEUT UNE RELATION DIRECTE ET PERSONNELLE AVEC SES ENFANTS !


L’amour de Dieu pour ses enfants étant indéfectible, « l’être au Christ » vit dans la certitude absolue que Dieu œuvre en permanence à son bien, en fonction de son plan de salut, selon l’esprit de la grâce - tout risque d’échec étant exclu - Dieu ne pouvant ni faillir ni échouer.



Nous savons, du reste, que toutes choses concourent au bien de ceux qui aiment Dieu, de ceux qui sont appelés selon son dessein (Romains 8:28)



Dans toutes ces choses nous sommes plus que vainqueurs par celui qui nous a aimés (Romains 8:28)



De plus, le salut étant de nature éminemment individuelle, il n’est, hors de la personne concernée, aucune puissance existant dans l’univers, susceptible de faire obstacle à la manifestation de l’Amour inextinguible de Dieu ou le détourner de son but.



J’ai l'assurance que ni la mort ni la vie, ni les anges ni les dominations, ni les choses présentes ni les choses à venir, ni les puissances, ni la hauteur, ni la profondeur, ni aucune autre créature ne pourra nous séparer de l'amour de Dieu manifesté en Jésus Christ notre Seigneur. (Romains 8:38-39)