dimanche 17 novembre 2019

JÉSUS RÉPONDIT : MA DOCTRINE N'EST PAS DE MOI ; MAIS, DE CELUI QUI M'A ENVOYÉ ! SI QUELQU'UN VEUT FAIRE SA VOLONTÉ, IL CONNAÎTRA SI MA DOCTRINE EST DE DIEU, OU SI JE PARLE DE MON CHEF. CELUI QUI PARLE DE SON CHEF CHERCHE SA PROPRE GLOIRE ; MAIS, CELUI QUI CHERCHE LA GLOIRE DE CELUI QUI L'A ENVOYÉ, CELUI-LÀ EST VRAI, ET IL N'Y A POINT D'INJUSTICE EN LUI.

                                    
  



JEAN 7.1-53, 8.1-59 - SI VOUS DEMEUREZ DANS MA PAROLE, VOUS ÊTES VRAIMENT MES DISCIPLES ; VOUS CONNAÎTREZ LA VÉRITÉ, ET LA VÉRITÉ VOUS AFFRANCHIRA ! ILS LUI RÉPONDIRENT: NOUS SOMMES LA POSTÉRITÉ D'ABRAHAM, ET NOUS NE FÛMES JAMAIS ESCLAVES DE PERSONNE ; COMMENT DIS-TU : VOUS DEVIENDREZ LIBRES ? EN VÉRITÉ, EN VÉRITÉ, JE VOUS LE DIS, LEUR RÉPLIQUA JÉSUS, QUICONQUE SE LIVRE AU PÉCHÉ EST ESCLAVE DU PÉCHÉ. OR, L'ESCLAVE NE DEMEURE PAS TOUJOURS DANS LA MAISON ; LE FILS Y DEMEURE TOUJOURS ! SI, DONC, LE FILS VOUS AFFRANCHIT, VOUS SEREZ RÉELLEMENT LIBRES !

JEAN 7.1-53 - JÉSUS PARCOURAIT LA GALILÉE, CAR IL NE VOULAIT PAS SÉJOURNER EN JUDÉE, PARCE QUE LES JUIFS CHERCHAIENT A LE FAIRE MOURIR. OR, LA FÊTE DES JUIFS, LA FÊTE DES TABERNACLES, ÉTAIT PROCHE. ET, SES FRÈRES LUI DIRENT : PARS D'ICI, ET VA EN JUDÉE, AFIN QUE TES DISCIPLES VOIENT AUSSI LES ŒUVRES QUE TU FAIS. PERSONNE N'AGIT EN SECRET, LORSQU'IL DÉSIRE PARAÎTRE : SI TU FAIS CES CHOSES, MONTRE-TOI TOI-MÊME AU MONDE ! CAR, SES FRÈRES, NON PLUS, NE CROYAIENT PAS EN LUI !

JÉSUS LEUR DIT : MON TEMPS N'EST PAS ENCORE VENU ; MAIS, VOTRE TEMPS EST TOUJOURS PRÊT. LE MONDE NE PEUT VOUS HAÏR ; MOI, IL ME HAIT, PARCE QUE JE RENDS DE LUI LE TÉMOIGNAGE QUE SES ŒUVRES SONT MAUVAISES. MONTEZ, VOUS, A CETTE FÊTE ! POUR MOI, JE N'Y MONTE POINT, PARCE QUE MON TEMPS N'EST PAS ENCORE ACCOMPLI. APRÈS LEUR AVOIR DIT CELA, IL RESTA EN GALILÉE. LORSQUE SES FRÈRES FURENT MONTÉS A LA FÊTE, IL Y MONTA AUSSI LUI-MÊME, NON PUBLIQUEMENT ; MAIS, COMME EN SECRET. LES JUIFS LE CHERCHAIENT PENDANT LA FÊTE, ET DISAIENT : OÙ EST-IL ?

IL Y AVAIT, DANS LA FOULE, GRANDE RUMEUR A SON SUJET. LES UNS DISAIENT : C'EST UN HOMME DE BIEN ! D'AUTRES DISAIENT : NON, IL ÉGARE LA MULTITUDE ! PERSONNE, TOUTEFOIS, NE PARLAIT LIBREMENT DE LUI, PAR CRAINTE DES JUIFS. VERS LE MILIEU DE LA FÊTE, JÉSUS MONTA AU TEMPLE ; ET, IL ENSEIGNAIT. LES JUIFS S'ÉTONNAIENT, DISANT : COMMENT CONNAÎT-IL LES ÉCRITURES, LUI QUI N'A POINT ÉTUDIÉ ?

JÉSUS LEUR RÉPONDIT : MA DOCTRINE N'EST PAS DE MOI ; MAIS, DE CELUI QUI M'A ENVOYÉ ! SI QUELQU'UN VEUT FAIRE SA VOLONTÉ, IL CONNAÎTRA SI MA DOCTRINE EST DE DIEU, OU SI JE PARLE DE MON CHEF. CELUI QUI PARLE DE SON CHEF CHERCHE SA PROPRE GLOIRE ; MAIS, CELUI QUI CHERCHE LA GLOIRE DE CELUI QUI L'A ENVOYÉ, CELUI-LÀ EST VRAI, ET IL N'Y A POINT D'INJUSTICE EN LUI.

MOÏSE NE VOUS A-T-IL PAS DONNÉ LA LOI ? ET, NUL DE VOUS N'OBSERVE LA LOI. POURQUOI CHERCHEZ-VOUS A ME FAIRE MOURIR ? LA FOULE RÉPONDIT : TU AS UN DÉMON. QUI EST-CE QUI CHERCHE A TE FAIRE MOURIR ? JÉSUS LEUR RÉPONDIT : J'AI FAIT UNE ŒUVRE ; ET, VOUS EN ÊTES TOUS ÉTONNÉS ! MOÏSE VOUS A DONNÉ LA CIRCONCISION, - NON QU'ELLE VIENNE DE MOÏSE, CAR ELLE VIENT DES PATRIARCHES, - ET, VOUS CIRCONCISEZ UN HOMME LE JOUR DU SABBAT. SI UN HOMME REÇOIT LA CIRCONCISION LE JOUR DU SABBAT, AFIN QUE LA LOI DE MOÏSE NE SOIT PAS VIOLÉE, POURQUOI VOUS IRRITEZ-VOUS CONTRE MOI DE CE QUE J'AI GUÉRI UN HOMME TOUT ENTIER LE JOUR DU SABBAT ? NE JUGEZ PAS SELON L'APPARENCE ; MAIS, JUGEZ SELON LA JUSTICE !

QUELQUES HABITANTS DE JÉRUSALEM DISAIENT : N'EST-CE PAS LÀ, CELUI QU'ILS CHERCHENT A FAIRE MOURIR ? ET, VOICI, IL PARLE LIBREMENT, ET ILS NE LUI DISENT RIEN ! EST-CE QUE VRAIMENT LES CHEFS AURAIENT RECONNU QU'IL EST LE CHRIST ? CEPENDANT, CELUI-CI, NOUS SAVONS D'OÙ IL EST ; MAIS, LE CHRIST, QUAND IL VIENDRA, PERSONNE NE SAURA D'OÙ IL EST ! ET, JÉSUS, ENSEIGNANT DANS LE TEMPLE, S’ÉCRIA : VOUS ME CONNAISSEZ, ET VOUS SAVEZ D'OÙ JE SUIS ! JE NE SUIS PAS VENU DE MOI-MÊME : MAIS, CELUI QUI M'A ENVOYÉ EST VRAI, ET VOUS NE LE CONNAISSEZ PAS. MOI, JE LE CONNAIS ; CAR, JE VIENS DE LUI, ET C'EST LUI QUI M'A ENVOYÉ !

ILS CHERCHAIENT, DONC, A SE SAISIR DE LUI, ET PERSONNE NE MIT LA MAIN SUR LUI, PARCE QUE SON HEURE N’ÉTAIT PAS ENCORE VENUE. PLUSIEURS, PARMI LA FOULE, CRURENT EN LUI, ET ILS DISAIENT : LE CHRIST, QUAND IL VIENDRA, FERA-T-IL PLUS DE MIRACLES QUE N'EN A FAIT CELUI-CI? LES PHARISIENS ENTENDIRENT LA FOULE MURMURANT DE LUI CES CHOSES. ALORS, LES PRINCIPAUX SACRIFICATEURS ET LES PHARISIENS ENVOYÈRENT DES HUISSIERS POUR LE SAISIR.

JÉSUS DIT : JE SUIS ENCORE AVEC VOUS POUR UN PEU DE TEMPS ; PUIS, JE M'EN VAIS VERS CELUI QUI M'A ENVOYÉ. VOUS ME CHERCHEREZ ET VOUS NE ME TROUVEREZ PAS ; ET, VOUS NE POUVEZ VENIR OÙ JE SERAI. SUR QUOI, LES JUIFS DIRENT ENTRE EUX : OÙ IRA-T-IL, QUE NOUS NE LE TROUVIONS PAS? IRA-T-IL PARMI CEUX QUI SONT DISPERSÉS CHEZ LES GRECS, ET ENSEIGNERA-T-IL LES GRECS ? QUE SIGNIFIE CETTE PAROLE QU'IL A DITE : VOUS ME CHERCHEREZ ET VOUS NE ME TROUVEREZ PAS, ET VOUS NE POUVEZ VENIR OÙ JE SERAI ?

LE DERNIER JOUR, LE GRAND JOUR DE LA FÊTE, JÉSUS, SE TENANT DEBOUT, S’ÉCRIA : SI QUELQU'UN A SOIF, QU'IL VIENNE A MOI, ET QU'IL BOIVE ! CELUI QUI CROIT EN MOI, DES FLEUVES D'EAU VIVE COULERONT DE SON SEIN ! COMME DIT L'ÉCRITURE - IL DIT CELA DE L'ESPRIT QUE DEVAIENT RECEVOIR CEUX QUI CROIRAIENT EN LUI ; CAR, L'ESPRIT N'ÉTAIT PAS ENCORE, PARCE QUE JÉSUS N'AVAIT PAS ENCORE ÉTÉ GLORIFIÉ !

DES GENS DE LA FOULE, AYANT ENTENDU CES PAROLES, DISAIENT : CELUI-CI EST VRAIMENT LE PROPHÈTE ! D'AUTRES DISAIENT : C'EST LE CHRIST. ET, D'AUTRES DISAIENT : EST-CE BIEN DE LA GALILÉE, QUE DOIT VENIR LE CHRIST ? L'ÉCRITURE NE DIT-ELLE PAS QUE C'EST DE LA POSTÉRITÉ DE DAVID ET DU VILLAGE DE BETHLÉHEM OÙ ÉTAIT DAVID, QUE LE CHRIST DOIT VENIR ? IL Y EUT, DONC, A CAUSE DE LUI, DIVISION PARMI LA FOULE. QUELQUES-UNS D'ENTRE EUX VOULAIENT LE SAISIR ; MAIS, PERSONNE NE MIT LA MAIN SUR LUI. AINSI, LES HUISSIERS RETOURNÈRENT VERS LES PRINCIPAUX SACRIFICATEURS ET LES PHARISIENS. ET, CEUX-CI LEUR DIRENT : POURQUOI, NE L'AVEZ-VOUS PAS AMENÉ ? LES HUISSIERS RÉPONDIRENT : JAMAIS, HOMME N'A PARLÉ COMME CET HOMME !

LES PHARISIENS LEUR RÉPLIQUÈRENT : EST-CE QUE VOUS AUSSI, VOUS AVEZ ÉTÉ SÉDUITS ? Y A-T-IL QUELQU'UN DES CHEFS OU DES PHARISIENS QUI AIT CRU EN LUI ? MAIS, CETTE FOULE QUI NE CONNAÎT PAS LA LOI, CE SONT DES MAUDITS ! NICODÈME, QUI ÉTAIT VENU DE NUIT VERS JÉSUS, ET QUI ÉTAIT L'UN D'ENTRE EUX, LEUR DIT : NOTRE LOI CONDAMNE-T-ELLE UN HOMME AVANT QU'ON L'ENTENDE ET QU'ON SACHE CE QU'IL A FAIT ? ILS LUI RÉPONDIRENT : ES-TU, AUSSI, GALILÉEN ? EXAMINE, ET TU VERRAS QUE DE LA GALILÉE IL NE SORT POINT DE PROPHÈTE ! - ET, CHACUN S'EN RETOURNA DANS SA MAISON.

JEAN 8.1-59 - JÉSUS SE RENDIT A LA MONTAGNE DES OLIVIERS. MAIS, DÈS LE MATIN, IL ALLA DE NOUVEAU DANS LE TEMPLE, ET TOUT LE PEUPLE VINT A LUI. S’ÉTANT ASSIS, IL LES ENSEIGNAIT. ALORS, LES SCRIBES ET LES PHARISIENS AMENÈRENT UNE FEMME SURPRISE EN ADULTÈRE ; ET, LA PLAÇANT AU MILIEU DU PEUPLE, ILS DIRENT A JÉSUS : MAÎTRE, CETTE FEMME A ÉTÉ SURPRISE EN FLAGRANT DÉLIT D’ADULTÈRE. MOÏSE, DANS LA LOI, NOUS A ORDONNÉ DE LAPIDER DE TELLES FEMMES : TOI DONC, QUE DIS-TU ?

ILS DISAIENT CELA POUR L'ÉPROUVER, AFIN DE POUVOIR L'ACCUSER. MAIS, JÉSUS, S’ÉTANT BAISSÉ, ÉCRIVAIT AVEC LE DOIGT SUR LA TERRE. COMME ILS CONTINUAIENT A L'INTERROGER, IL SE RELEVA ET LEUR DIT : QUE CELUI DE VOUS, QUI EST SANS PÉCHÉ, JETTE LE PREMIER LA PIERRE CONTRE ELLE. ET, S’ÉTANT DE NOUVEAU BAISSÉ, IL ÉCRIVAIT SUR LA TERRE.

QUAND ILS ENTENDIRENT CELA, ACCUSÉS PAR LEUR CONSCIENCE, ILS SE RETIRÈRENT UN A UN, DEPUIS LES PLUS ÂGÉS JUSQU'AUX DERNIERS ; ET JÉSUS RESTA SEUL AVEC LA FEMME, QUI ÉTAIT LÀ, AU MILIEU. ALORS, S’ÉTANT RELEVÉ, ET NE VOYANT PLUS QUE LA FEMME, JÉSUS LUI DIT : FEMME, OÙ SONT CEUX QUI T'ACCUSAIENT ? PERSONNE NE T'A-T-IL CONDAMNÉE ? ELLE RÉPONDIT : NON, SEIGNEUR. ET, JÉSUS LUI DIT : JE NE TE CONDAMNE PAS NON PLUS : VA, ET NE PÈCHE PLUS !

JÉSUS LEUR PARLA DE NOUVEAU, ET DIT : JE SUIS LA LUMIÈRE DU MONDE ; CELUI QUI ME SUIT NE MARCHERA PAS DANS LES TÉNÈBRES ; MAIS, IL AURA LA LUMIÈRE DE LA VIE ! LÀ-DESSUS, LES PHARISIENS LUI DIRENT : TU RENDS TÉMOIGNAGE DE TOI-MÊME ; TON TÉMOIGNAGE N'EST PAS VRAI!

JÉSUS LEUR RÉPONDIT : QUOIQUE JE RENDE TÉMOIGNAGE DE MOI-MÊME, MON TÉMOIGNAGE EST VRAI, CAR JE SAIS D’OÙ JE SUIS VENU ET OÙ JE VAIS ! MAIS, VOUS, VOUS NE SAVEZ D’OÙ JE VIENS, NI OÙ JE VAIS ! VOUS JUGEZ SELON LA CHAIR ; MOI, JE NE JUGE PERSONNE. ET, SI JE JUGE, MON JUGEMENT EST VRAI, CAR JE NE SUIS PAS SEUL ; MAIS, LE PÈRE QUI M'A ENVOYÉ EST AVEC MOI ! IL EST ÉCRIT DANS VOTRE LOI, QUE LE TÉMOIGNAGE DE DEUX HOMMES EST VRAI ; JE RENDS TÉMOIGNAGE DE MOI-MÊME, ET LE PÈRE QUI M'A ENVOYÉ REND TÉMOIGNAGE DE MOI !

ILS LUI DIRENT, DONC : OÙ EST TON PÈRE ? JÉSUS RÉPONDIT : VOUS NE CONNAISSEZ NI MOI, NI MON PÈRE. SI VOUS ME CONNAISSIEZ, VOUS CONNAÎTRIEZ, AUSSI, MON PÈRE ! JÉSUS DIT CES PAROLES, ENSEIGNANT DANS LE TEMPLE, AU LIEU OÙ ÉTAIT LE TRÉSOR ; ET, PERSONNE NE LE SAISIT, PARCE QUE SON HEURE N’ÉTAIT PAS ENCORE VENUE. JÉSUS LEUR DIT, ENCORE : JE M'EN VAIS, ET VOUS ME CHERCHEREZ, ET VOUS MOURREZ DANS VOTRE PÉCHÉ ; VOUS NE POUVEZ VENIR OÙ  JE VAIS !

SUR QUOI, LES JUIFS DIRENT : SE TUERA-T-IL LUI-MÊME, PUISQU'IL DIT : VOUS NE POUVEZ VENIR OU JE VAIS ? ET, IL LEUR DIT : VOUS ÊTES D'EN BAS ; MOI, JE SUIS D'EN HAUT ! VOUS ÊTES DE CE MONDE ; MOI, JE NE SUIS PAS DE CE MONDE ! C'EST POURQUOI, JE VOUS AI DIT QUE VOUS MOURREZ DANS VOS PÉCHÉS ; CAR, SI VOUS NE CROYEZ PAS CE QUE JE SUIS, VOUS MOURREZ DANS VOS PÉCHÉS !

QUI ES-TU ? LUI DIRENT-ILS. JÉSUS LEUR RÉPONDIT : CE QUE JE VOUS DIS DES LE COMMENCEMENT. J'AI BEAUCOUP DE CHOSES A DIRE DE VOUS, ET A JUGER EN VOUS ; MAIS, CELUI QUI M'A ENVOYÉ EST VRAI, ET CE QUE J'AI ENTENDU DE LUI, JE LE DIS AU MONDE ! ILS NE COMPRIRENT POINT QU'IL LEUR PARLAIT DU PÈRE. JÉSUS, DONC, LEUR DIT : QUAND VOUS AUREZ ÉLEVÉ LE FILS DE L'HOMME ; ALORS, VOUS CONNAÎTREZ CE QUE JE SUIS, ET QUE JE NE FAIS RIEN DE MOI-MÊME, MAIS QUE JE PARLE SELON CE QUE LE PÈRE M'A ENSEIGNÉ. CELUI QUI M'A ENVOYÉ EST AVEC MOI ; IL NE M'A PAS LAISSÉ SEUL ! PARCE QUE JE FAIS, TOUJOURS, CE QUI LUI EST AGRÉABLE.

COMME JÉSUS PARLAIT AINSI, PLUSIEURS CRURENT EN LUI. ET, IL DIT AUX JUIFS, QUI AVAIENT CRU EN LUI : SI VOUS DEMEUREZ DANS MA PAROLE, VOUS ÊTES VRAIMENT MES DISCIPLES ; VOUS CONNAÎTREZ LA VÉRITÉ, ET LA VÉRITÉ VOUS AFFRANCHIRA ! ILS LUI RÉPONDIRENT : NOUS SOMMES LA POSTÉRITÉ D'ABRAHAM, ET NOUS NE FÛMES JAMAIS ESCLAVES DE PERSONNE ; COMMENT DIS-TU: VOUS DEVIENDREZ LIBRES ? EN VÉRITÉ, EN VÉRITÉ, JE VOUS LE DIS, LEUR RÉPLIQUA JÉSUS, QUICONQUE SE LIVRE AU PÉCHÉ EST ESCLAVE DU PÉCHÉ. OR, L'ESCLAVE NE DEMEURE PAS TOUJOURS DANS LA MAISON ; LE FILS Y DEMEURE TOUJOURS ! SI, DONC, LE FILS VOUS AFFRANCHIT, VOUS SEREZ RÉELLEMENT LIBRES !

JE SAIS QUE VOUS ÊTES LA POSTÉRITÉ D’ABRAHAM ; MAIS, VOUS CHERCHEZ A ME FAIRE MOURIR, PARCE QUE MA PAROLE NE PÉNÈTRE PAS EN VOUS. JE DIS CE QUE J'AI VU CHEZ MON PÈRE ; ET, VOUS, VOUS FAITES CE QUE VOUS AVEZ ENTENDU DE LA PART DE VOTRE PÈRE ! ILS LUI RÉPONDIRENT : NOTRE PÈRE, C'EST ABRAHAM ! JÉSUS LEUR DIT : SI VOUS ÉTIEZ ENFANTS D'ABRAHAM, VOUS FERIEZ LES ŒUVRES D'ABRAHAM ! MAIS, MAINTENANT, VOUS CHERCHEZ A ME FAIRE MOURIR ; MOI, QUI VOUS AI DIT LA VÉRITÉ, QUE J'AI ENTENDUE DE DIEU. CELA, ABRAHAM NE L'A POINT FAIT ! VOUS FAITES LES ŒUVRES DE VOTRE PÈRE !

ILS LUI DIRENT : NOUS NE SOMMES PAS DES ENFANTS ILLÉGITIMES ; NOUS AVONS UN SEUL PÈRE, DIEU! JÉSUS LEUR DIT : SI DIEU ÉTAIT VOTRE PÈRE, VOUS M'AIMERIEZ, CAR C'EST DE DIEU QUE JE SUIS SORTI ET QUE JE VIENS ! JE NE SUIS PAS VENU DE MOI-MÊME, MAIS C'EST LUI QUI M'A ENVOYÉ !

POURQUOI ; NE COMPRENEZ-VOUS PAS MON LANGAGE ? PARCE QUE VOUS NE POUVEZ ÉCOUTER MA PAROLE. VOUS AVEZ POUR PÈRE LE DIABLE, ET VOUS VOULEZ ACCOMPLIR LES DÉSIRS DE VOTRE PÈRE!  IL A ÉTÉ MEURTRIER DÈS LE COMMENCEMENT, ET IL NE SE TIENT PAS DANS LA VÉRITÉ, PARCE QU'IL N'Y A PAS DE VÉRITÉ EN LUI. LORSQU'IL PROFÈRE LE MENSONGE, IL PARLE DE SON PROPRE FOND ; CAR, IL EST MENTEUR ET LE PÈRE DU MENSONGE ! ET, MOI, PARCE QUE JE DIS LA VÉRITÉ, VOUS NE ME CROYEZ PAS. QUI DE VOUS ME CONVAINCRA DE PÉCHÉ ? SI JE DIS LA VÉRITÉ, POURQUOI NE ME CROYEZ-VOUS PAS ? CELUI QUI EST DE DIEU, ÉCOUTE LES PAROLES DE DIEU ; VOUS N’ÉCOUTEZ PAS, PARCE QUE VOUS N’ÊTES PAS DE DIEU !

LES JUIFS LUI RÉPONDIRENT : N'AVONS-NOUS PAS RAISON DE DIRE QUE TU ES UN SAMARITAIN, ET QUE TU AS UN DÉMON ? JÉSUS RÉPLIQUA : JE N'AI POINT DE DÉMON ; MAIS J'HONORE MON PÈRE, ET VOUS M'OUTRAGEZ ! JE NE CHERCHE POINT MA GLOIRE ; IL EN EST UN QUI LA CHERCHE ET QUI JUGE. EN VÉRITÉ, EN VÉRITÉ, JE VOUS LE DIS, SI QUELQU'UN GARDE MA PAROLE, IL NE VERRA JAMAIS LA MORT !

MAINTENANT, LUI DIRENT LES JUIFS, NOUS CONNAISSONS QUE TU AS UN DÉMON. ABRAHAM EST MORT, LES PROPHÈTES AUSSI, ET TU DIS : SI QUELQU'UN GARDE MA PAROLE, IL NE VERRA JAMAIS LA MORT. ES-TU PLUS GRAND QUE NOTRE PÈRE ABRAHAM, QUI EST MORT ? LES PROPHÈTES, AUSSI, SONT MORTS. QUI PRÉTENDS-TU ÊTRE ? JÉSUS RÉPONDIT : SI JE ME GLORIFIE MOI-MÊME, MA GLOIRE N'EST RIEN. C'EST MON PÈRE QUI ME GLORIFIE, LUI QUE VOUS DITES ÊTRE VOTRE DIEU, ET QUE VOUS NE CONNAISSEZ PAS ! POUR MOI, JE LE CONNAIS ; ET, SI JE DISAIS QUE JE NE LE CONNAIS PAS, JE SERAIS SEMBLABLE A VOUS, UN MENTEUR. MAIS, JE LE CONNAIS, ET JE GARDE SA PAROLE ! ABRAHAM, VOTRE PÈRE, A TRESSAILLI DE JOIE DE CE QU'IL VERRAIT MON JOUR : IL L'A VU, ET IL S'EST RÉJOUI.

LES JUIFS LUI DIRENT : TU N'AS PAS ENCORE CINQUANTE ANS, ET TU AS VU ABRAHAM ! JÉSUS LEUR DIT : EN VÉRITÉ, EN VÉRITÉ, JE VOUS LE DIS, AVANT QU'ABRAHAM FÛT, JE SUIS ! LÀ-DESSUS, ILS PRIRENT DES PIERRES POUR LES JETER CONTRE LUI ; MAIS, JÉSUS SE CACHA, ET IL SORTIT DU TEMPLE.

MES BREBIS ENTENDENT MA VOIX ; JE LES CONNAIS, ET ELLES ME SUIVENT ! JE LEUR DONNE LA VIE ÉTERNELLE ; ELLES NE PÉRIRONT JAMAIS, ET PERSONNE NE LES RAVIRA DE MA MAIN ! MON PÈRE, QUI ME LES A DONNÉES, EST PLUS GRAND QUE TOUS ; ET, PERSONNE NE PEUT LES RAVIR DE LA MAIN DE MON PÈRE. MOI, ET LE PÈRE, NOUS SOMMES UN !


                                
          

 
JEAN 10.1.21, 22-39 ; 11.1-44, 45-57 - MES BREBIS ENTENDENT MA VOIX ; JE LES CONNAIS, ET ELLES ME SUIVENT. JE LEUR DONNE LA VIE ÉTERNELLE ; ELLES NE PÉRIRONT JAMAIS, ET PERSONNE NE LES RAVIRA DE MA MAIN ! MON PÈRE, QUI ME LES A DONNÉES, EST PLUS GRAND QUE TOUS ; ET, PERSONNE NE PEUT LES RAVIR DE LA MAIN DE MON PÈRE. MOI, ET LE PÈRE, NOUS SOMMES UN !

JEAN 10.1-21 - EN VÉRITÉ, EN VÉRITÉ, JE VOUS LE DIS, CELUI QUI N'ENTRE PAS PAR LA PORTE DANS LA BERGERIE, MAIS QUI Y MONTE PAR AILLEURS, EST UN VOLEUR ET UN BRIGAND. MAIS, CELUI QUI ENTRE PAR LA PORTE EST LE BERGER DES BREBIS ! LE PORTIER LUI OUVRE, ET LES BREBIS ENTENDENT SA VOIX ; IL APPELLE PAR LEUR NOM LES BREBIS QUI LUI APPARTIENNENT, ET IL LES CONDUIT DEHORS.

LORSQU'IL A FAIT SORTIR TOUTES SES PROPRES BREBIS, IL MARCHE DEVANT ELLES ; ET LES BREBIS LE SUIVENT, PARCE QU'ELLES CONNAISSENT SA VOIX. ELLES NE SUIVRONT POINT UN ÉTRANGER ; MAIS ELLES FUIRONT LOIN DE LUI, PARCE QU'ELLES NE CONNAISSENT PAS LA VOIX DES ÉTRANGERS !

JÉSUS LEUR DIT CETTE PARABOLE, MAIS ILS NE COMPRIRENT PAS DE QUOI IL LEUR PARLAIT. JÉSUS LEUR DIT ENCORE : EN VÉRITÉ, EN VÉRITÉ, JE VOUS LE DIS, JE SUIS LA PORTE DES BREBIS ! TOUS CEUX QUI SONT VENUS AVANT MOI SONT DES VOLEURS ET DES BRIGANDS ; MAIS LES BREBIS NE LES ONT POINT ÉCOUTÉS !

JE SUIS LA PORTE. SI QUELQU'UN ENTRE PAR MOI, IL SERA SAUVÉ ; IL ENTRERA ET IL SORTIRA, ET IL TROUVERA DES PÂTURAGES. LE VOLEUR NE VIENT QUE POUR DÉROBER, ÉGORGER ET DÉTRUIRE ; MOI, JE SUIS VENU AFIN QUE LES BREBIS AIENT LA VIE, ET QU'ELLES SOIENT DANS L'ABONDANCE.

JE SUIS LE BON BERGER. LE BON BERGER DONNE SA VIE POUR SES BREBIS ! MAIS, LE MERCENAIRE, QUI N'EST PAS LE BERGER, ET A QUI N'APPARTIENNENT PAS LES BREBIS, VOIT VENIR LE LOUP, ABANDONNE LES BREBIS, ET PREND LA FUITE ; ET LE LOUP LES RAVIT ET LES DISPERSE. LE MERCENAIRE S'ENFUIT, PARCE QU'IL EST MERCENAIRE, ET QU'IL NE SE MET POINT EN PEINE DES BREBIS.

JE SUIS LE BON BERGER !  JE CONNAIS MES BREBIS, ET ELLES ME CONNAISSENT, COMME LE PÈRE ME CONNAÎT ET COMME JE CONNAIS LE PÈRE ; ET, JE DONNE MA VIE POUR MES BREBIS. J'AI ENCORE D'AUTRES BREBIS, QUI NE SONT PAS DE CETTE BERGERIE ; CELLES-LÀ, IL FAUT QUE JE LES AMÈNE ; ELLES ENTENDRONT MA VOIX, ET IL Y AURA UN SEUL TROUPEAU, UN SEUL BERGER ! 

LE PÈRE M'AIME, PARCE QUE JE DONNE MA VIE, AFIN DE LA REPRENDRE. PERSONNE NE ME L’ÔTE, MAIS, JE LA DONNE DE MOI-MÊME ; J'AI LE POUVOIR DE LA DONNER, ET J'AI LE POUVOIR DE LA REPRENDRE : TEL EST L'ORDRE QUE J'AI REÇU DE MON PÈRE !

IL Y EUT DE NOUVEAU, A CAUSE DE CES PAROLES, DIVISION PARMI LES JUIFS. PLUSIEURS D'ENTRE EUX DISAIENT : IL A UN DÉMON, IL EST FOU ! POURQUOI L'ÉCOUTEZ-VOUS ?

D'AUTRES DISAIENT : CE NE SONT PAS LES PAROLES D'UN DÉMONIAQUE ; UN DÉMON PEUT-IL OUVRIR LES YEUX DES AVEUGLES ?

JEAN 10.22-39 - ON CÉLÉBRAIT A JÉRUSALEM LA FÊTE DE LA DÉDICACE. C’ÉTAIT L'HIVER. ET, JÉSUS SE PROMENAIT DANS LE TEMPLE, SOUS LE PORTIQUE DE SALOMON. LES JUIFS L’ENTOURÈRENT, ET LUI DIRENT : JUSQUES A QUAND, TIENDRAS-TU NOTRE ESPRIT EN SUSPENS ? SI TU ES LE CHRIST, DIS-LE-NOUS FRANCHEMENT !

JÉSUS LEUR RÉPONDIT : JE VOUS L'AI DIT, ET VOUS NE CROYEZ PAS. LES ŒUVRES QUE JE FAIS AU NOM DE MON PÈRE RENDENT TÉMOIGNAGE DE MOI. MAIS, VOUS NE CROYEZ PAS, PARCE QUE VOUS N’ÊTES PAS DE MES BREBIS !

MES BREBIS ENTENDENT MA VOIX ; JE LES CONNAIS, ET ELLES ME SUIVENT ! JE LEUR DONNE LA VIE ÉTERNELLE ; ELLES NE PÉRIRONT JAMAIS, ET PERSONNE NE LES RAVIRA DE MA MAIN ! MON PÈRE, QUI ME LES A DONNÉES, EST PLUS GRAND QUE TOUS ; ET, PERSONNE NE PEUT LES RAVIR DE LA MAIN DE MON PÈRE. MOI, ET LE PÈRE, NOUS SOMMES UN !

ALORS, LES JUIFS PRIRENT DE NOUVEAU DES PIERRES POUR LE LAPIDER - JÉSUS LEUR DIT : JE VOUS AI FAIT VOIR PLUSIEURS BONNES ŒUVRES VENANT DE MON PÈRE : POUR LAQUELLE ME LAPIDEZ-VOUS? LES JUIFS LUI RÉPONDIRENT : CE N'EST POINT POUR UNE BONNE ŒUVRE QUE NOUS TE LAPIDONS, MAIS, POUR UN BLASPHÈME ; ET, PARCE QUE TOI, QUI ES UN HOMME, TU TE FAIS DIEU !

JÉSUS LEUR RÉPONDIT : N'EST-IL PAS ÉCRIT DANS VOTRE LOI : J'AI DIT, VOUS ÊTES DES DIEUX ? SI ELLE A APPELÉ DIEUX, CEUX A QUI LA PAROLE DE DIEU A ÉTÉ ADRESSÉE, ET, SI L'ÉCRITURE NE PEUT ÊTRE ANÉANTIE, CELUI QUE LE PÈRE A SANCTIFIÉ ET ENVOYÉ DANS LE MONDE, VOUS LUI DITES : TU BLASPHÈMES ! ET, CELA, PARCE QUE J'AI DIT : JE SUIS LE FILS DE DIEU !

SI JE NE FAIS PAS LES ŒUVRES DE MON PÈRE, NE ME CROYEZ PAS. MAIS, SI JE LES FAIS, QUAND MÊME VOUS NE ME CROYEZ POINT, CROYEZ A CES ŒUVRES, AFIN QUE VOUS SACHIEZ ET RECONNAISSIEZ, QUE LE PÈRE EST EN MOI ET QUE JE SUIS DANS LE PÈRE !

LA-DESSUS, ILS CHERCHÈRENT ENCORE A LE SAISIR, MAIS IL S’ÉCHAPPA DE LEURS MAINS.

JEAN 11.1-44 - IL Y AVAIT UN HOMME MALADE, LAZARE, DE BÉTHANIE, VILLAGE DE MARIE ET DE MARTHE, SA SŒUR. C’ÉTAIT CETTE MARIE QUI OIGNIT DE PARFUM LE SEIGNEUR ET QUI LUI ESSUYA LES PIEDS AVEC SES CHEVEUX, ET C’ÉTAIT SON FRÈRE LAZARE QUI ÉTAIT MALADE.

LES SŒURS ENVOYÈRENT DIRE A JÉSUS : SEIGNEUR, VOICI, CELUI QUE TU AIMES EST MALADE. APRÈS AVOIR ENTENDU CELA, JÉSUS DIT : CETTE MALADIE N'EST POINT A LA MORT, MAIS ELLE EST POUR LA GLOIRE DE DIEU, AFIN QUE LE FILS DE DIEU SOIT GLORIFIÉ PAR ELLE.

OR, JÉSUS AIMAIT MARTHE, SA SŒUR ET LAZARE. LORS, DONC, QU'IL EUT APPRIS QUE LAZARE ÉTAIT MALADE, IL RESTA DEUX JOURS ENCORE DANS LE LIEU OÙ IL ÉTAIT, ET IL DIT ENSUITE AUX DISCIPLES: RETOURNONS EN JUDÉE. LES DISCIPLES LUI DIRENT : RABBI, LES JUIFS, TOUT RÉCEMMENT, CHERCHAIENT A TE LAPIDER, ET TU RETOURNES EN JUDÉE !

JÉSUS RÉPONDIT : N'Y A-T-IL PAS DOUZE HEURES AU JOUR ? SI QUELQU'UN MARCHE PENDANT LE JOUR, IL NE BRONCHE POINT, PARCE QU'IL VOIT LA LUMIÈRE DE CE MONDE, MAIS, SI QUELQU'UN MARCHE PENDANT LA NUIT, IL BRONCHE, PARCE QUE LA LUMIÈRE N'EST PAS EN LUI.

APRÈS CES PAROLES, IL LEUR DIT : LAZARE, NOTRE AMI, DORT, MAIS JE VAIS LE RÉVEILLER. LES DISCIPLES LUI DIRENT : SEIGNEUR, S'IL DORT, IL SERA GUÉRI. JÉSUS AVAIT PARLÉ DE SA MORT, MAIS ILS CRURENT QU'IL PARLAIT DE L'ASSOUPISSEMENT DU SOMMEIL. ALORS, JÉSUS LEUR DIT OUVERTEMENT : LAZARE EST MORT ; ET, A CAUSE DE VOUS, AFIN QUE VOUS CROYIEZ, JE ME RÉJOUIS DE CE QUE JE N’ÉTAIS PAS LÀ. MAIS, ALLONS VERS LUI.

SUR QUOI, THOMAS, APPELÈ DIDYME, DIT AUX AUTRES DISCIPLES : ALLONS AUSSI, AFIN DE MOURIR AVEC LUI ! JÉSUS, ÉTANT ARRIVÉ, TROUVA QUE LAZARE ÉTAIT DÉJÀ DEPUIS QUATRE JOURS DANS LE SÉPULCRE. ET, COMME BÉTHANIE ÉTAIT PRÈS DE JÉRUSALEM, A QUINZE STADES ENVIRON, BEAUCOUP DE JUIFS ÉTAIENT VENUS VERS MARTHE ET MARIE POUR LES CONSOLER DE LA MORT DE LEUR FRÈRE.

LORSQUE MARTHE APPRIT QUE JÉSUS ARRIVAIT, ELLE ALLA AU-DEVANT DE LUI, TANDIS QUE MARIE SE TENAIT ASSISE A LA MAISON. MARTHE DIT A JÉSUS : SEIGNEUR, SI TU EUSSES ÉTÉ ICI, MON FRÈRE NE SERAIT PAS MORT. MAIS, MAINTENANT MÊME, JE SAIS QUE TOUT CE QUE TU DEMANDERAS A DIEU, DIEU TE L'ACCORDERA.

JÉSUS LUI DIT : TON FRÈRE RESSUSCITERA ! JE SAIS, LUI RÉPONDIT MARTHE, QU'IL RESSUSCITERA A LA RÉSURRECTION, AU DERNIER JOUR.

JÉSUS LUI DIT : JE SUIS LA RÉSURRECTION ET LA VIE ! CELUI QUI CROIT EN MOI VIVRA, QUAND MÊME IL SERAIT MORT ; ET, QUICONQUE VIT ET CROIT EN MOI NE MOURRA JAMAIS ! CROIS-TU CELA ?

ELLE LUI DIT : OUI, SEIGNEUR, JE CROIS QUE TU ES LE CHRIST, LE FILS DE DIEU, QUI DEVAIT VENIR DANS LE MONDE ! AYANT AINSI PARLÉ, ELLE S'EN ALLA. PUIS, ELLE APPELA SECRÈTEMENT MARIE, SA SŒUR, ET LUI DIT : LE MAÎTRE EST ICI ET IL TE DEMANDE.

DÈS QUE MARIE EUT ENTENDU, ELLE SE LEVA PROMPTEMENT, ET ALLA VERS LUI. CAR, JÉSUS N’ÉTAIT PAS ENCORE ENTRÉ DANS LE VILLAGE, MAIS, IL ÉTAIT DANS LE LIEU OÙ MARTHE L'AVAIT RENCONTRÉ.

LES JUIFS QUI ÉTAIENT AVEC MARIE DANS LA MAISON ET QUI LA CONSOLAIENT, L'AYANT VUE SE LEVER PROMPTEMENT ET SORTIR, LA SUIVIRENT, DISANT : ELLE VA AU SÉPULCRE, POUR Y PLEURER.

LORSQUE MARIE FUT ARRIVÉE LÀ OÙ ÉTAIT JÉSUS ET QU'ELLE LE VIT, ELLE TOMBA A SES PIEDS, ET LUI DIT : SEIGNEUR, SI TU EUSSES ÉTÉ ICI, MON FRÈRE NE SERAIT PAS MORT.

JÉSUS, LA VOYANT PLEURER, ELLE ET LES JUIFS QUI ÉTAIENT VENUS AVEC ELLE, FRÉMIT EN SON ESPRIT ET FUT TOUT ÉMU. ET, IL DIT : OÙ L'AVEZ-VOUS MIS ? SEIGNEUR, LUI RÉPONDIRENT-ILS : VIENS ET VOIS !

JÉSUS PLEURA. SUR QUOI LES JUIFS DIRENT : VOYEZ COMME IL L'AIMAIT. ET, QUELQUES-UNS D'ENTRE EUX DIRENT : LUI QUI A OUVERT LES YEUX DE L'AVEUGLE, NE POUVAIT-IL PAS FAIRE AUSSI QUE CET HOMME NE MOURÛT POINT ?

JÉSUS FRÉMISSANT DE NOUVEAU EN LUI-MÊME, SE RENDIT AU SÉPULCRE. C’ÉTAIT UNE GROTTE ET UNE PIERRE ÉTAIT PLACÉE DEVANT. JÉSUS DIT : ÔTEZ LA PIERRE ! MARTHE, LA SŒUR DU MORT, LUI DIT : SEIGNEUR, IL SENT DÉJÀ, CAR, IL Y A QUATRE JOURS QU'IL EST LÀ.

JÉSUS LUI DIT : NE T'AI-JE PAS DIT QUE, SI TU CROIS, TU VERRAS LA GLOIRE DE DIEU ? ILS ÔTÈRENT DONC LA PIERRE. ET JÉSUS LEVA LES YEUX EN HAUT ET DIT : PÈRE, JE TE RENDS GRÂCES DE CE QUE TU M'AS EXAUCÉ. POUR MOI, JE SAVAIS QUE TU M'EXAUCES TOUJOURS, MAIS J'AI PARLÉ À CAUSE DE LA FOULE QUI M'ENTOURE, AFIN QU'ILS CROIENT QUE C'EST TOI QUI M'AS ENVOYÉ.

AYANT DIT CELA, IL CRIA D'UNE VOIX FORTE : LAZARE, SORS ! ET LE MORT SORTIT, LES PIEDS ET LES MAINS LIÉS DE BANDES ET LE VISAGE ENVELOPPÉ D'UN LINGE. JÉSUS LEUR DIT : DÉLIEZ-LE ET LAISSEZ-LE ALLER ...

JEAN 11.45-57 - PLUSIEURS DES JUIFS QUI ÉTAIENT VENUS VERS MARIE, ET QUI VIRENT CE QUE FIT JÉSUS, CRURENT EN LUI. MAIS, QUELQUES-UNS D'ENTRE EUX ALLÈRENT TROUVER LES PHARISIENS ET LEUR DIRENT CE QUE JÉSUS AVAIT FAIT.

ALORS, LES PRINCIPAUX SACRIFICATEURS ET LES PHARISIENS ASSEMBLÈRENT LE SANHÉDRIN, ET DIRENT : QUE FERONS-NOUS ? CAR, CET HOMME FAIT BEAUCOUP DE MIRACLES. SI NOUS LE LAISSONS FAIRE, TOUS CROIRONT EN LUI, ET LES ROMAINS VIENDRONT DÉTRUIRE, ET NOTRE VILLE, ET NOTRE NATION.

L'UN D'EUX, CAÏPHE, QUI ÉTAIT SOUVERAIN SACRIFICATEUR CETTE ANNÉE-LÀ, LEUR DIT : VOUS N'Y ENTENDEZ RIEN ; VOUS NE RÉFLÉCHISSEZ PAS, QU'IL EST DANS VOTRE INTÉRÊT QU'UN SEUL HOMME MEURE POUR LE PEUPLE, ET QUE LA NATION ENTIÈRE NE PÉRISSE PAS.

OR, IL NE DIT PAS CELA DE LUI-MÊME ; MAIS, ÉTANT SOUVERAIN SACRIFICATEUR CETTE ANNÉE-LÀ, IL PROPHÉTISA QUE JÉSUS DEVAIT MOURIR POUR LA NATION. ET, CE N’ÉTAIT PAS POUR LA NATION SEULEMENT ; C’ÉTAIT AUSSI AFIN DE RÉUNIR EN UN SEUL CORPS LES ENFANTS DE DIEU DISPERSÉS. DÈS CE JOUR, ILS RÉSOLURENT DE LE FAIRE MOURIR. C'EST POURQUOI, JÉSUS NE SE MONTRA PLUS OUVERTEMENT PARMI LES JUIFS ; MAIS, IL SE RETIRA DANS LA CONTRÉE VOISINE DU DÉSERT, DANS UNE VILLE APPELÉE ÉPHRAÏM ; ET, LÀ, IL DEMEURAIT AVEC SES DISCIPLES.

LA PÂQUE DES JUIFS ÉTAIT PROCHE ; ET, BEAUCOUP DE GENS DU PAYS MONTÈRENT A JÉRUSALEM AVANT LA PÂQUE, POUR SE PURIFIER. ILS CHERCHAIENT JÉSUS, ET ILS SE DISAIENT LES UNS AUX AUTRES DANS LE TEMPLE : QUE VOUS EN SEMBLE ? NE VIENDRA-T-IL PAS A LA FÊTE ? OR, LES PRINCIPAUX SACRIFICATEURS ET LES PHARISIENS AVAIENT DONNÉ L'ORDRE QUE, SI QUELQU'UN SAVAIT OÙ IL ÉTAIT, IL LE DÉCLARÂT, AFIN QU'ON SE SAISÎT DE LUI.