TRANSGRESSSION, CRIMINOGÉNIE, CULTURE DE MORT ANTHROPOLOGIQUES - ET IMPÉRATIF DE REPENTANCE !!!

CRIMINOGÉNIE ANTHROPOLOGIQUE SYSTÉMIQUE,  

ABSOLUE SOUVERAINETÉ DE DIEU ET

 IMPÉRATIF CATÉGORIQUE DE REPENTANCE !

Dieu, sans tenir compte des temps d'ignorance, annonce maintenant à tous les hommes, en tous lieux, qu'ils aient à se repentir parce qu'il a fixé un jour où il jugera le monde selon la justice par l'homme qu'il a désigné, ce dont il a donné à tous une preuve certaine en le ressuscitant des morts ... (Actes des apôtres 17.30.31.

Le crime massif intra-spécifique, institutionnellement justifié et légitimé (au sein de la même famille naturelle humaine) au nom de pseudo-valeurs de liberté, constitue une arme de destruction massive, de conception et facture lucifériennes, destinée à fourvoyer les hommes loin de la seule, unique, exclusive et vraie liberté acquise par Christ à la croix. 

Cette arme agit fort insidieusement, tant à l'encontre des justiciers redresseurs de torts s'érigeant en Dieu pour leurs semblables, par leurs tragiques décisions et actions, que de ceux qui, ainsi brutalement privés de la possibilité de connaître le message du salut, périssent d'une mort prématurée et violente, en état de perdition.

Les belligérants des deux camps meurent ainsi, hors de Jésus, dans une pulsion de haine et de meurtre réciproque - la matrice de ce type de conflit sanglant, "perdant-perdant", n'étant, en dernière analyse qu'une lutte entre doubles identiques, de même nature et de semblables motivations, prédateurs-appropriateurs, hypnoïdement mystifiés et aliénés par la puissance de la chair, du péché et des forces hostiles, perverses polymorphes, démono-sataniques.

Ce cercle vicieux - cette systémie de mort, chronique, récurrente, addictive, exponentielle, catastrophique (thanato-systémie) - fruit vénéneux du" logos héraclitien" selon lequel, "la guerre est le père de tous les rois, de tous les dieux", parfaite et absolue antithèse du "logos johannique de l'amour", connaîtra son inévitable paroxysme avec le règne limité de sept années de l'ennemi catastrophique, ainsi que sa définitive suppression, lors de l'intervention souveraine, régalienne, du Christ-Roi.

Nous, disciples du christ, savons qu'aucun homme, aucun peuple n'est, et ne sera jamais, en mesure ou capacité d'apporter aucune liberté à quiconque, étant lui-même ataviquement invétéré dans l'esclavage  irrépressible du péché.

Ainsi les esclaves du péché tuent massivement d'autres esclaves du péché, au nom d'une liberté illusoire, fantasmatique, chimérique, sous l'effet insidieux, délétère, mortifère de la puissance générique, matricielle, configurationnelle de ce même péché, agissant au sein de leur conscience altérée, dénaturée, létalisée.

Cependant, la bible - Parole Éternelle de Dieu révélée aux hommes - leur déclare solennellement:

Quiconque se livre au péché est esclave du péché. Or, l'esclave ne demeure pas toujours dans la maison, le fils y demeure toujours. Si donc le Fils vous affranchit, vous serez réellement libres. (Jean 8.34-36)

Ne savez-vous pas qu'en vous livrant à quelqu'un comme esclaves pour lui obéir, vous êtes esclaves de celui à qui vous obéissez, soit du péché qui conduit à la mort, soit de l'obéissance qui conduit à la justice? (Romains 6.16)

Toute plante (par extension: constitutionnelle, institutionnelle, organisationnelle, scientifique, idéologique, économique, politique, culturelle, spirituelle, cultuelle - liste non exhaustive ...), que n'a pas plantée mon Père céleste, sera déracinée (extirpée, abolie, abrogée etc...). (Matthieu 15.13)

Dieu, sans tenir compte des temps d'ignorance, annonce maintenant à tous les hommes, en tous lieux, qu'ils aient à se repentir parce qu'il a fixé un jour où il jugera le monde selon la justice par l'homme qu'il a désigné, ce dont il a donné à tous une preuve certaine en le ressuscitant des morts... (Actes des apôtres 17.30.31)