mercredi 20 novembre 2019

LES JUIFS POURSUIVAIENT JÉSUS, PARCE QU'IL FAISAIT CES CHOSES (GUÉRISONS), LE JOUR DU SABBAT. MAIS, JÉSUS LEUR RÉPONDIT : MON PÈRE AGIT JUSQU’À PRÉSENT ; MOI, AUSSI, J'AGIS ! A CAUSE DE CELA, LES JUIFS CHERCHAIENT ENCORE PLUS A LE FAIRE MOURIR, NON SEULEMENT PARCE QU'IL VIOLAIT LE SABBAT ; MAIS, PARCE QU'IL APPELAIT DIEU SON PROPRE PÈRE, SE FAISANT, LUI-MÊME, ÉGAL A DIEU !






JEAN 5.1-47, 6.1-71 - EN VÉRITÉ, EN VÉRITÉ, JE VOUS LE DIS, CELUI QUI ÉCOUTE MA PAROLE, ET QUI CROIT A CELUI QUI M'A ENVOYÉ, A LA VIE ÉTERNELLE ET NE VIENT POINT EN JUGEMENT ; MAIS, IL EST PASSÉ DE LA MORT A LA VIE !

JEAN 5.1-47 - IL Y EUT UNE FÊTE DES JUIFS, ET JÉSUS MONTA A JÉRUSALEM. OR, A JÉRUSALEM, PRÈS DE LA PORTE DES BREBIS, IL Y A UNE PISCINE QUI S'APPELLE EN HÉBREU BETHESDA, ET QUI A CINQ PORTIQUES. SOUS CES PORTIQUES ÉTAIENT COUCHÉS EN GRAND NOMBRE DES MALADES, DES AVEUGLES, DES BOITEUX, DES PARALYTIQUES, QUI ATTENDAIENT LE MOUVEMENT DE L’EAU ; CAR, UN ANGE DESCENDAIT DE TEMPS EN TEMPS DANS LA PISCINE ET AGITAIT L’EAU ; ET, CELUI QUI Y DESCENDAIT LE PREMIER APRÈS QUE L'EAU AVAIT ÉTÉ AGITÉE ÉTAIT GUÉRI, QUELLE QUE FÛT SA MALADIE.

LÀ, SE TROUVAIT UN HOMME MALADE DEPUIS TRENTE-HUIT ANS. JÉSUS, L'AYANT VU COUCHÉ, ET SACHANT QU'IL ÉTAIT MALADE DEPUIS LONGTEMPS, LUI DIT : VEUX-TU ÊTRE GUÉRI ? LE MALADE LUI RÉPONDIT : SEIGNEUR, JE N'AI PERSONNE POUR ME JETER DANS LA PISCINE QUAND L'EAU EST AGITÉE; ET, PENDANT QUE J'Y VAIS, UN AUTRE DESCEND AVANT MOI. LÈVE-TOI, LUI DIT JÉSUS, PRENDS TON LIT, ET MARCHE ! AUSSITÔT, CET HOMME FUT GUÉRI ; IL PRIT SON LIT, ET MARCHA !

C'ÉTAIT UN JOUR DE SABBAT. LES JUIFS DIRENT, DONC, A CELUI QUI AVAIT ÉTÉ GUÉRI : C'EST LE SABBAT !  IL NE T'EST PAS PERMIS D'EMPORTER TON LIT ! IL LEUR RÉPONDIT : CELUI QUI M'A GUÉRI M'A DIT : PRENDS TON LIT, ET MARCHE ! ILS LUI DEMANDÈRENT : QUI EST L'HOMME QUI T'A DIT : PRENDS TON LIT, ET MARCHE ? MAIS, CELUI QUI AVAIT ÉTÉ GUÉRI NE SAVAIT PAS QUI C’ÉTAIT ; CAR, JÉSUS AVAIT DISPARU DE LA FOULE QUI ÉTAIT EN CE LIEU.

DEPUIS, JÉSUS LE TROUVA DANS LE TEMPLE, ET LUI DIT : VOICI, TU AS ÉTÉ GUÉRI ; NE PÈCHE PLUS, DE PEUR QU'IL NE T'ARRIVE QUELQUE CHOSE DE PIRE. CET HOMME S'EN ALLA, ET ANNONÇA AUX JUIFS QUE C'ÉTAIT JÉSUS QUI L'AVAIT GUÉRI. C'EST POURQUOI, LES JUIFS POURSUIVAIENT JÉSUS, PARCE QU'IL FAISAIT CES CHOSES LE JOUR DU SABBAT. MAIS, JÉSUS LEUR RÉPONDIT : MON PÈRE AGIT JUSQU’À PRÉSENT ; MOI, AUSSI, J'AGIS !

A CAUSE DE CELA, LES JUIFS CHERCHAIENT ENCORE PLUS A LE FAIRE MOURIR, NON SEULEMENT PARCE QU'IL VIOLAIT LE SABBAT ; MAIS, PARCE QU'IL APPELAIT DIEU SON PROPRE PÈRE, SE FAISANT, LUI-MÊME, ÉGAL A DIEU !

JÉSUS REPRIT, DONC, LA PAROLE ET LEUR DIT : EN VÉRITÉ, EN VÉRITÉ, JE VOUS LE DIS, LE FILS NE PEUT RIEN FAIRE DE LUI-MÊME, IL NE FAIT QUE CE QU'IL VOIT FAIRE AU PÈRE ; ET, TOUT CE QUE LE PÈRE FAIT, LE FILS AUSSI LE FAIT PAREILLEMENT. CAR, LE PÈRE AIME LE FILS, ET LUI MONTRE TOUT CE QU'IL FAIT ; ET, IL LUI MONTRERA DES ŒUVRES PLUS GRANDES QUE CELLES-CI, AFIN QUE VOUS SOYEZ DANS L’ÉTONNEMENT.

CAR, COMME LE PÈRE RESSUSCITE LES MORTS ET DONNE LA VIE ; AINSI, LE FILS DONNE LA VIE A QUI IL VEUT ! LE PÈRE NE JUGE PERSONNE ; MAIS, IL A REMIS TOUT JUGEMENT AU FILS, AFIN QUE TOUS HONORENT LE FILS, COMME ILS HONORENT LE PÈRE. CELUI QUI N'HONORE PAS LE FILS, N'HONORE PAS LE PÈRE QUI L'A ENVOYÉ !

EN VÉRITÉ, EN VÉRITÉ, JE VOUS LE DIS, CELUI QUI ÉCOUTE MA PAROLE, ET QUI CROIT A CELUI QUI M'A ENVOYÉ, A LA VIE ÉTERNELLE ET NE VIENT POINT EN JUGEMENT ; MAIS, IL EST PASSÉ DE LA MORT A LA VIE !

EN VÉRITÉ, EN VÉRITÉ, JE VOUS LE DIS, L'HEURE VIENT, ET ELLE EST DÉJÀ VENUE, OÙ LES MORTS ENTENDRONT LA VOIX DU FILS DE DIEU ; ET, CEUX QUI L'AURONT ENTENDUE VIVRONT. CAR, COMME LE PÈRE A LA VIE EN LUI-MÊME ; AINSI, IL A DONNÉ AU FILS D'AVOIR LA VIE EN LUI-MÊME. ET, IL LUI A DONNÉ LE POUVOIR DE JUGER, PARCE QU'IL EST FILS DE L'HOMME !

NE VOUS ÉTONNEZ PAS DE CELA ; CAR, L'HEURE VIENT OÙ TOUS CEUX QUI SONT DANS LES SÉPULCRES ENTENDRONT SA VOIX, ET EN SORTIRONT ! CEUX QUI AURONT FAIT LE BIEN RESSUSCITERONT POUR LA VIE ; MAIS, CEUX QUI AURONT FAIT LE MAL RESSUSCITERONT POUR LE JUGEMENT !

JE NE PUIS RIEN FAIRE DE MOI-MÊME : SELON QUE J'ENTENDS, JE JUGE ; ET, MON JUGEMENT EST JUSTE, PARCE QUE JE NE CHERCHE PAS MA VOLONTÉ, MAIS LA VOLONTÉ DE CELUI QUI M'A ENVOYÉ. SI C'EST MOI QUI RENDS TÉMOIGNAGE DE MOI-MÊME, MON TÉMOIGNAGE N'EST PAS VRAI. IL Y EN A UN AUTRE QUI REND TÉMOIGNAGE DE MOI, ET JE SAIS QUE LE TÉMOIGNAGE QU'IL REND DE MOI EST VRAI !

VOUS AVEZ ENVOYÉ VERS JEAN, ET IL A RENDU TÉMOIGNAGE A LA VÉRITÉ. POUR MOI, CE N'EST PAS D'UN HOMME QUE JE REÇOIS LE TÉMOIGNAGE ; MAIS, JE DIS CECI, AFIN QUE VOUS SOYEZ SAUVÉS. JEAN ÉTAIT LA LAMPE QUI BRÛLE ET QUI LUIT, ET VOUS AVEZ VOULU VOUS RÉJOUIR UNE HEURE A SA LUMIÈRE.

MOI, J'AI UN TÉMOIGNAGE PLUS GRAND QUE CELUI DE JEAN ; CAR, LES ŒUVRES QUE LE PÈRE M'A DONNÉ D'ACCOMPLIR, CES ŒUVRES MÊMES QUE JE FAIS TÉMOIGNENT DE MOI QUE C'EST LE PÈRE QUI M'A ENVOYÉ. ET, LE PÈRE QUI M'A ENVOYÉ A RENDU LUI-MÊME TÉMOIGNAGE DE MOI. VOUS N'AVEZ JAMAIS ENTENDU SA VOIX, VOUS N'AVEZ POINT VU SA FACE, ET SA PAROLE NE DEMEURE POINT EN VOUS, PARCE QUE VOUS NE CROYEZ PAS A CELUI QU'IL A ENVOYÉ !

VOUS SONDEZ LES ÉCRITURES, PARCE QUE VOUS PENSEZ AVOIR EN ELLES LA VIE ÉTERNELLE : CE SONT ELLES QUI RENDENT TÉMOIGNAGE DE MOI. ET VOUS NE VOULEZ PAS VENIR A MOI POUR AVOIR LA VIE ! JE NE TIRE PAS MA GLOIRE DES HOMMES. MAIS, JE SAIS QUE VOUS N'AVEZ POINT EN VOUS L'AMOUR DE DIEU. JE SUIS VENU AU NOM DE MON PÈRE, ET VOUS NE ME RECEVEZ PAS ; SI UN AUTRE VIENT EN SON PROPRE NOM, VOUS LE RECEVREZ !

COMMENT POUVEZ-VOUS CROIRE, VOUS QUI TIREZ VOTRE GLOIRE LES UNS DES AUTRES, ET QUI NE CHERCHEZ POINT LA GLOIRE QUI VIENT DE DIEU SEUL ? NE PENSEZ PAS QUE, MOI, JE VOUS ACCUSERAI DEVANT LE PÈRE ; CELUI QUI VOUS ACCUSE, C'EST MOÏSE, EN QUI VOUS AVEZ MIS VOTRE ESPÉRANCE! CAR, SI VOUS CROYIEZ MOÏSE, VOUS ME CROIRIEZ, AUSSI, PARCE QU'IL A ÉCRIT DE MOI. MAIS, SI VOUS NE CROYEZ PAS A SES ÉCRITS, COMMENT CROIREZ-VOUS A MES PAROLES ? 

JEAN 6.1-71JÉSUS S'EN ALLA DE L'AUTRE CÔTÉ DE LA MER DE GALILÉE, DE TIBÉRIADE. UNE GRANDE FOULE LE SUIVAIT, PARCE QU'ELLE VOYAIT LES MIRACLES QU'IL OPÉRAIT SUR LES MALADES - JÉSUS MONTA SUR LA MONTAGNE, ET LÀ IL S'ASSIT AVEC SES DISCIPLES. OR, LA PÂQUE ÉTAIT PROCHE, LA FÊTE DES JUIFS. AYANT LEVÉ LES YEUX, ET VOYANT QU'UNE GRANDE FOULE VENAIT A LUI, JÉSUS DIT A PHILIPPE : OU ACHÈTERONS-NOUS DES PAINS, POUR QUE CES GENS AIENT A MANGER? IL DISAIT CELA POUR L’ÉPROUVER ; CAR, IL SAVAIT CE QU'IL ALLAIT FAIRE.

PHILIPPE LUI RÉPONDIT : LES PAINS QU'ON AURAIT POUR DEUX CENTS DENIERS NE SUFFIRAIENT PAS POUR QUE CHACUN EN REÇUT UN PEU. UN DE SES DISCIPLES, ANDRÉ, FRÈRE DE SIMON PIERRE, LUI DIT : IL Y A ICI UN JEUNE GARÇON QUI A CINQ PAINS D'ORGE ET DEUX POISSONS ; MAIS, QU'EST-CE QUE CELA POUR TANT DE GENS ? JÉSUS DIT : FAITES-LES ASSEOIR. IL Y AVAIT DANS CE LIEU BEAUCOUP D'HERBE. ILS S'ASSIRENT, DONC, AU NOMBRE D'ENVIRON CINQ MILLE HOMMES. JÉSUS PRIT LES PAINS, RENDIT GRÂCES, ET LES DISTRIBUA A CEUX QUI ÉTAIENT ASSIS ; IL LEUR DONNA, DE MÊME, DES POISSONS, AUTANT QU'ILS EN VOULURENT.

LORSQU'ILS FURENT RASSASIÉS, IL DIT A SES DISCIPLES : RAMASSEZ LES MORCEAUX QUI RESTENT, AFIN QUE RIEN NE SE PERDE. ILS LES RAMASSÈRENT, DONC, ET ILS REMPLIRENT DOUZE PANIERS AVEC LES MORCEAUX QUI RESTÈRENT DES CINQ PAINS D'ORGE, APRÈS QUE TOUS EURENT MANGÉ. CES GENS, AYANT VU LE MIRACLE QUE JÉSUS AVAIT FAIT, DISAIENT : CELUI-CI EST VRAIMENT LE PROPHÈTE QUI DOIT VENIR DANS LE MONDE !  ET, JÉSUS, SACHANT QU'ILS ALLAIENT VENIR L'ENLEVER POUR LE FAIRE ROI, SE RETIRA DE NOUVEAU SUR LA MONTAGNE, LUI SEUL. QUAND LE SOIR FUT VENU, SES DISCIPLES DESCENDIRENT AU BORD DE LA MER. ÉTANT MONTÉS DANS UNE BARQUE, ILS TRAVERSAIENT LA MER POUR SE RENDRE A CAPERNAÜM. IL FAISAIT DÉJÀ NUIT, ET JÉSUS NE LES AVAIT PAS ENCORE REJOINTS.

IL SOUFFLAIT UN GRAND VENT, ET LA MER ÉTAIT AGITÉE. APRÈS AVOIR RAMÉ ENVIRON VINGT-CINQ OU TRENTE STADES, ILS VIRENT JÉSUS MARCHANT SUR LA MER ET S'APPROCHANT DE LA BARQUE. ET, ILS EURENT PEUR. MAIS, JÉSUS LEUR DIT : C'EST MOI ; N'AYEZ PAS PEUR ! ILS VOULAIENT, DONC, LE PRENDRE DANS LA BARQUE ; ET, AUSSITÔT, LA BARQUE ABORDA AU LIEU OÙ ILS ALLAIENT. LA FOULE QUI ÉTAIT RESTÉE DE L'AUTRE CÔTÉ DE LA MER AVAIT REMARQUÉ QU'IL NE SE TROUVAIT LÀ QU’UNE SEULE BARQUE, ET QUE JÉSUS N'ÉTAIT PAS MONTÉ DANS CETTE BARQUE AVEC SES DISCIPLES ; MAIS, QU'ILS ÉTAIENT PARTIS SEULS.

LE LENDEMAIN, COMME D'AUTRES BARQUES ÉTAIENT ARRIVÉES DE TIBÉRIADE PRÈS DU LIEU OÙ ILS AVAIENT MANGÉ LE PAIN APRÈS QUE LE SEIGNEUR EÛT RENDU GRÂCES, LES GENS DE LA FOULE, AYANT VU QUE NI JÉSUS, NI SES DISCIPLES, N'ÉTAIENT LÀ, MONTÈRENT EUX-MÊMES DANS CES BARQUES ET ALLÈRENT A CAPERNAÜM A LA RECHERCHE DE JÉSUS. ET, L'AYANT TROUVÉ AU DELÀ DE LA MER, ILS LUI DIRENT : RABBI, QUAND ES-TU VENU ICI ?

JÉSUS LEUR RÉPONDIT : EN VÉRITÉ, EN VÉRITÉ, JE VOUS LE DIS, VOUS ME CHERCHEZ ; NON, PARCE QUE VOUS AVEZ VU DES MIRACLES, MAIS PARCE QUE VOUS AVEZ MANGÉ DES PAINS, ET QUE VOUS AVEZ ÉTÉ RASSASIÉS. TRAVAILLEZ, NON POUR LA NOURRITURE QUI PÉRIT, MAIS, POUR CELLE QUI SUBSISTE POUR LA VIE ÉTERNELLE, ET QUE LE FILS DE L'HOMME VOUS DONNERA ; CAR, C'EST LUI QUE LE PÈRE, QUE DIEU, A MARQUÉ DE SON SCEAU !  ILS LUI DIRENT : QUE DEVONS-NOUS FAIRE, POUR FAIRE LES ŒUVRES DE DIEU ? JÉSUS, LEUR RÉPONDIT : L'ŒUVRE DE DIEU, C'EST QUE VOUS CROYIEZ EN CELUI QU'IL A ENVOYÉ !

QUEL MIRACLE FAIS-TU, DONC, LUI DIRENT-ILS, AFIN QUE NOUS LE VOYIONS, ET QUE NOUS CROYIONS EN TOI ? QUE FAIS-TU ? NOS PÈRES ONT MANGÉ LA MANNE DANS LE DÉSERT, SELON CE QUI EST ÉCRIT : IL LEUR DONNA LE PAIN DU CIEL A MANGER. JÉSUS, LEUR DIT : EN VÉRITÉ, EN VÉRITÉ, JE VOUS LE DIS, MOÏSE NE VOUS A PAS DONNÉ LE PAIN DU CIEL ; MAIS, MON PÈRE VOUS DONNE LE VRAI PAIN DU CIEL, CAR LE PAIN DE DIEU, C'EST CELUI QUI DESCEND DU CIEL ET QUI DONNE LA VIE AU MONDE !

ILS LUI DIRENT : SEIGNEUR, DONNE-NOUS TOUJOURS CE PAIN ! JÉSUS, LEUR DIT : JE SUIS LE PAIN DE VIE ! CELUI QUI VIENT A MOI N'AURA JAMAIS FAIM, ET CELUI QUI CROIT EN MOI N'AURA JAMAIS SOIF ! MAIS, JE VOUS L'AI DIT, VOUS M'AVEZ VU, ET VOUS NE CROYEZ POINT. TOUS CEUX QUE LE PÈRE ME DONNE VIENDRONT A MOI, ET JE NE METTRAI PAS DEHORS CELUI QUI VIENT A MOI ; CAR, JE SUIS DESCENDU DU CIEL POUR FAIRE, NON MA VOLONTÉ, MAIS LA VOLONTÉ DE CELUI QUI M'A ENVOYÉ ! OR, LA VOLONTÉ DE CELUI QUI M'A ENVOYÉ, C'EST QUE JE NE PERDE RIEN DE TOUT CE QU'IL M'A DONNÉ ; MAIS, QUE JE LE RESSUSCITE AU DERNIER JOUR ! LA VOLONTÉ DE MON PÈRE, C'EST QUE, QUICONQUE VOIT LE FILS ET CROIT EN LUI AIT LA VIE ÉTERNELLE ; ET, JE LE RESSUSCITERAI AU DERNIER JOUR !

LES JUIFS MURMURAIENT A SON SUJET, PARCE QU'IL AVAIT DIT : JE SUIS LE PAIN QUI EST DESCENDU DU CIEL. ET, ILS DISAIENT : N'EST-CE PAS LA JÉSUS, LE FILS DE JOSEPH, CELUI DONT NOUS CONNAISSONS LE PÈRE ET LA MÈRE ? COMMENT DONC DIT-IL : JE SUIS DESCENDU DU CIEL? JÉSUS, LEUR RÉPONDIT : NE MURMUREZ PAS ENTRE VOUS. NUL NE PEUT VENIR A MOI, SI LE PÈRE QUI M'A ENVOYÉ NE L’ATTIRE ; ET, JE LE RESSUSCITERAI AU DERNIER JOUR ! IL EST ÉCRIT DANS LES PROPHÈTES: ILS SERONT TOUS ENSEIGNÉS DE DIEU. AINSI, QUICONQUE A ENTENDU LE PÈRE, ET A REÇU SON ENSEIGNEMENT, VIENT A MOI ! C’EST QUE, NUL N'A VU LE PÈRE, SINON CELUI QUI VIENT DE DIEU ; CELUI-LÀ, A VU LE PÈRE. EN VÉRITÉ, EN VÉRITÉ, JE VOUS LE DIS, CELUI QUI CROIT EN MOI A LA VIE ÉTERNELLE ! JE SUIS LE PAIN DE VIE !

VOS PÈRES ONT MANGÉ LA MANNE DANS LE DÉSERT, ET ILS SONT MORTS. C’EST ICI, LE PAIN QUI DESCEND DU CIEL, AFIN QUE CELUI QUI EN MANGE NE MEURE POINT ! JE SUIS LE PAIN VIVANT QUI EST DESCENDU DU CIEL. SI QUELQU'UN MANGE DE CE PAIN, IL VIVRA ÉTERNELLEMENT ; ET LE PAIN QUE JE DONNERAI, C'EST MA CHAIR, QUE JE DONNERAI POUR LA VIE DU MONDE !  LÀ-DESSUS, LES JUIFS DISPUTAIENT ENTRE EUX, DISANT : COMMENT PEUT-IL NOUS DONNER SA CHAIR A MANGER ?

JÉSUS, LEUR DIT : EN VÉRITÉ, EN VÉRITÉ, JE VOUS LE DIS, SI VOUS NE MANGEZ LA CHAIR DU FILS DE L'HOMME, ET SI VOUS NE BUVEZ SON SANG, VOUS N'AVEZ POINT LA VIE EN VOUS-MÊMES. CELUI QUI MANGE MA CHAIR ET QUI BOIT MON SANG A LA VIE ÉTERNELLE ; ET JE LE RESSUSCITERAI AU DERNIER JOUR ! CAR, MA CHAIR EST VRAIMENT UNE NOURRITURE, ET MON SANG EST VRAIMENT UN BREUVAGE. CELUI QUI MANGE MA CHAIR ET QUI BOIT MON SANG DEMEURE EN MOI, ET JE DEMEURE EN LUI. COMME LE PÈRE QUI EST VIVANT M'A ENVOYÉ, ET QUE JE VIS PAR LE PÈRE ; AINSI, CELUI QUI ME MANGE VIVRA PAR MOI ! C’EST ICI, LE PAIN QUI EST DESCENDU DU CIEL. IL N'EN EST PAS COMME DE VOS PÈRES QUI ONT MANGÉ LA MANNE ET QUI SONT MORTS : CELUI QUI MANGE CE PAIN VIVRA ÉTERNELLEMENT ! JÉSUS DIT CES CHOSES DANS LA SYNAGOGUE, ENSEIGNANT A CAPERNAÜM.

PLUSIEURS DE SES DISCIPLES, APRÈS L'AVOIR ENTENDU, DIRENT : CETTE PAROLE EST DURE ; QUI PEUT L’ÉCOUTER ? JÉSUS, SACHANT EN LUI-MÊME QUE SES DISCIPLES MURMURAIENT A CE SUJET, LEUR DIT: CELA VOUS SCANDALISE-T-IL ? ET, SI VOUS VOYEZ LE FILS DE L'HOMME MONTER OÙ IL ÉTAIT AUPARAVANT ?... C'EST L'ESPRIT QUI VIVIFIE ; LA CHAIR NE SERT DE RIEN ! LES PAROLES QUE JE VOUS AI DITES SONT ESPRIT ET VIE ! MAIS, IL EN EST PARMI VOUS QUELQUES-UNS QUI NE CROIENT POINT. CAR, JÉSUS SAVAIT, DÈS LE COMMENCEMENT, QUI ÉTAIENT CEUX QUI NE CROYAIENT POINT, ET QUI ÉTAIT CELUI QUI LE LIVRERAIT. ET, IL AJOUTA : C'EST POURQUOI, JE VOUS AI DIT, QUE NUL NE PEUT VENIR A MOI, SI CELA NE LUI A ÉTÉ DONNÉ PAR LE PÈRE !

DÈS CE MOMENT, PLUSIEURS DE SES DISCIPLES SE RETIRÈRENT, ET ILS N'ALLAIENT PLUS AVEC LUI. JÉSUS, DONC, DIT AUX DOUZE : ET VOUS, NE VOULEZ-VOUS PAS, AUSSI, VOUS EN ALLER ? SIMON PIERRE LUI RÉPONDIT : SEIGNEUR, A QUI IRIONS-NOUS ? TU AS LES PAROLES DE LA VIE ÉTERNELLE ! ET, NOUS AVONS CRU ET NOUS AVONS CONNU QUE TU ES LE CHRIST, LE SAINT DE DIEU ! JÉSUS, LEUR RÉPONDIT : N'EST-CE PAS MOI, QUI VOUS AI CHOISIS, VOUS LES DOUZE ? ET, L'UN DE VOUS EST UN DÉMON ! IL PARLAIT DE JUDAS ISCARIOT, FILS DE SIMON ; CAR, C’ÉTAIT LUI QUI DEVAIT LE LIVRER - LUI, L'UN DES DOUZE.





JE SUIS DESCENDU DU CIEL POUR FAIRE, NON MA VOLONTÉ, MAIS LA VOLONTÉ DE CELUI QUI M'A ENVOYÉ ! OR, LA VOLONTÉ DE CELUI QUI M'A ENVOYÉ, C'EST QUE JE NE PERDE RIEN DE TOUT CE QU'IL M'A DONNÉ ; MAIS, QUE JE LE RESSUSCITE AU DERNIER JOUR ! LA VOLONTÉ DE MON PÈRE, C'EST QUE, QUICONQUE VOIT LE FILS ET CROIT EN LUI AIT LA VIE ÉTERNELLE ; ET, JE LE RESSUSCITERAI, AU DERNIER JOUR !





JEAN 6.1-71, 7.1-53 - TRAVAILLEZ, NON POUR LA NOURRITURE QUI PÉRIT, MAIS, POUR CELLE QUI SUBSISTE POUR LA VIE ÉTERNELLE, ET QUE LE FILS DE L'HOMME VOUS DONNERA ; CAR, C'EST LUI QUE LE PÈRE, QUE DIEU, A MARQUÉ DE SON SCEAU !  ILS LUI DIRENT : QUE DEVONS-NOUS FAIRE, POUR FAIRE LES ŒUVRES DE DIEU ? JÉSUS, LEUR RÉPONDIT : L'ŒUVRE DE DIEU, C'EST QUE VOUS CROYIEZ EN CELUI QU'IL A ENVOYÉ ! 

JEAN 6.1-71 – JÉSUS S'EN ALLA DE L'AUTRE CÔTÉ DE LA MER DE GALILÉE, DE TIBÉRIADE. UNE GRANDE FOULE LE SUIVAIT, PARCE QU'ELLE VOYAIT LES MIRACLES QU'IL OPÉRAIT SUR LES MALADES - JÉSUS MONTA SUR LA MONTAGNE ; ET, LÀ, IL S'ASSIT AVEC SES DISCIPLES. OR, LA PÂQUE ÉTAIT PROCHE, LA FÊTE DES JUIFS. AYANT LEVÉ LES YEUX, ET VOYANT QU'UNE GRANDE FOULE VENAIT A LUI, JÉSUS DIT A PHILIPPE : OU ACHÈTERONS-NOUS DES PAINS, POUR QUE CES GENS AIENT A MANGER? IL DISAIT CELA POUR L’ÉPROUVER ; CAR, IL SAVAIT CE QU'IL ALLAIT FAIRE.

PHILIPPE LUI RÉPONDIT : LES PAINS QU'ON AURAIT POUR DEUX CENTS DENIERS NE SUFFIRAIENT PAS POUR QUE CHACUN EN REÇÛT UN PEU. UN DE SES DISCIPLES, ANDRÉ, FRÈRE DE SIMON PIERRE, LUI DIT : IL Y A ICI UN JEUNE GARÇON QUI A CINQ PAINS D'ORGE ET DEUX POISSONS ; MAIS, QU'EST-CE QUE CELA POUR TANT DE GENS ? JÉSUS DIT : FAITES-LES ASSEOIR. IL Y AVAIT DANS CE LIEU BEAUCOUP D'HERBE. ILS S'ASSIRENT DONC, AU NOMBRE D'ENVIRON CINQ MILLE HOMMES. JÉSUS PRIT LES PAINS, RENDIT GRÂCES, ET LES DISTRIBUA A CEUX QUI ÉTAIENT ASSIS ; IL LEUR DONNA, DE MÊME, DES POISSONS, AUTANT QU'ILS EN VOULURENT.

LORSQU'ILS FURENT RASSASIÉS, IL DIT A SES DISCIPLES : RAMASSEZ LES MORCEAUX QUI RESTENT, AFIN QUE RIEN NE SE PERDE. ILS LES RAMASSÈRENT DONC, ET ILS REMPLIRENT DOUZE PANIERS AVEC LES MORCEAUX QUI RESTÈRENT DES CINQ PAINS D'ORGE, APRÈS QUE TOUS EURENT MANGÉ. CES GENS, AYANT VU LE MIRACLE QUE JÉSUS AVAIT FAIT, DISAIENT : CELUI-CI EST VRAIMENT LE PROPHÈTE QUI DOIT VENIR DANS LE MONDE ! ET, JÉSUS, SACHANT QU'ILS ALLAIENT VENIR L'ENLEVER POUR LE FAIRE ROI, SE RETIRA DE NOUVEAU SUR LA MONTAGNE, LUI SEUL. QUAND LE SOIR FUT VENU, SES DISCIPLES DESCENDIRENT AU BORD DE LA MER. ÉTANT MONTÉS DANS UNE BARQUE, ILS TRAVERSAIENT LA MER POUR SE RENDRE A CAPERNAÜM. IL FAISAIT DÉJÀ NUIT, ET JÉSUS NE LES AVAIT PAS ENCORE REJOINTS.

IL SOUFFLAIT UN GRAND VENT, ET LA MER ÉTAIT AGITÉE. APRÈS AVOIR RAMÉ ENVIRON VINGT-CINQ OU TRENTE STADES, ILS VIRENT JÉSUS MARCHANT SUR LA MER ET S'APPROCHANT DE LA BARQUE. ET, ILS EURENT PEUR. MAIS, JÉSUS LEUR DIT : C'EST MOI ! N'AYEZ PAS PEUR. ILS VOULAIENT, DONC, LE PRENDRE DANS LA BARQUE ; ET, AUSSITÔT, LA BARQUE ABORDA AU LIEU OÙ ILS ALLAIENT. LA FOULE QUI ÉTAIT RESTÉE DE L'AUTRE CÔTÉ DE LA MER AVAIT REMARQUÉ QU'IL NE SE TROUVAIT LÀ QU’UNE SEULE BARQUE, ET QUE JÉSUS N'ÉTAIT PAS MONTÉ DANS CETTE BARQUE AVEC SES DISCIPLES, MAIS QU'ILS ÉTAIENT PARTIS SEULS.

LE LENDEMAIN, COMME D'AUTRES BARQUES ÉTAIENT ARRIVÉES DE TIBÉRIADE PRÈS DU LIEU OÙ ILS AVAIENT MANGÉ LE PAIN APRÈS QUE LE SEIGNEUR EÛT RENDU GRÂCES, LES GENS DE LA FOULE, AYANT VU QUE NI JÉSUS NI SES DISCIPLES N'ÉTAIENT LÀ, MONTÈRENT EUX-MÊMES DANS CES BARQUES ET ALLÈRENT A CAPERNAÜM A LA RECHERCHE DE JÉSUS. ET, L'AYANT TROUVÉ AU DELÀ DE LA MER, ILS LUI DIRENT : RABBI, QUAND ES-TU VENU ICI ?

JÉSUS LEUR RÉPONDIT : EN VÉRITÉ, EN VÉRITÉ, JE VOUS LE DIS, VOUS ME CHERCHEZ ; NON, PARCE QUE VOUS AVEZ VU DES MIRACLES, MAIS PARCE QUE VOUS AVEZ MANGÉ DES PAINS, ET QUE VOUS AVEZ ÉTÉ RASSASIÉS. TRAVAILLEZ, NON POUR LA NOURRITURE QUI PÉRIT, MAIS, POUR CELLE QUI SUBSISTE POUR LA VIE ÉTERNELLE, ET QUE LE FILS DE L'HOMME VOUS DONNERA ; CAR, C'EST LUI QUE LE PÈRE, QUE DIEU, A MARQUÉ DE SON SCEAU !  ILS LUI DIRENT : QUE DEVONS-NOUS FAIRE, POUR FAIRE LES ŒUVRES DE DIEU ? JÉSUS, LEUR RÉPONDIT : L'ŒUVRE DE DIEU, C'EST QUE VOUS CROYIEZ EN CELUI QU'IL A ENVOYÉ !

QUEL MIRACLE FAIS-TU, DONC, LUI DIRENT-ILS, AFIN QUE NOUS LE VOYIONS, ET QUE NOUS CROYIONS EN TOI ? QUE FAIS-TU ? NOS PÈRES ONT MANGÉ LA MANNE DANS LE DÉSERT, SELON CE QUI EST ÉCRIT : IL LEUR DONNA LE PAIN DU CIEL A MANGER. JÉSUS, LEUR DIT : EN VÉRITÉ, EN VÉRITÉ, JE VOUS LE DIS, MOÏSE NE VOUS A PAS DONNÉ LE PAIN DU CIEL ; MAIS, MON PÈRE VOUS DONNE LE VRAI PAIN DU CIEL, CAR LE PAIN DE DIEU, C'EST CELUI QUI DESCEND DU CIEL ET QUI DONNE LA VIE AU MONDE !

ILS LUI DIRENT : SEIGNEUR, DONNE-NOUS TOUJOURS CE PAIN ! JÉSUS, LEUR DIT : JE SUIS LE PAIN DE VIE ! CELUI QUI VIENT A MOI N'AURA JAMAIS FAIM, ET CELUI QUI CROIT EN MOI N'AURA JAMAIS SOIF ! MAIS, JE VOUS L'AI DIT, VOUS M'AVEZ VU, ET VOUS NE CROYEZ POINT. TOUS CEUX QUE LE PÈRE ME DONNE VIENDRONT A MOI, ET JE NE METTRAI PAS DEHORS CELUI QUI VIENT A MOI ; CAR, JE SUIS DESCENDU DU CIEL POUR FAIRE, NON MA VOLONTÉ, MAIS LA VOLONTÉ DE CELUI QUI M'A ENVOYÉ ! OR, LA VOLONTÉ DE CELUI QUI M'A ENVOYÉ, C'EST QUE JE NE PERDE RIEN DE TOUT CE QU'IL M'A DONNÉ ; MAIS, QUE JE LE RESSUSCITE AU DERNIER JOUR ! LA VOLONTÉ DE MON PÈRE, C'EST QUE, QUICONQUE VOIT LE FILS ET CROIT EN LUI AIT LA VIE ÉTERNELLE; ET, JE LE RESSUSCITERAI AU DERNIER JOUR !

LES JUIFS MURMURAIENT A SON SUJET, PARCE QU'IL AVAIT DIT : JE SUIS LE PAIN QUI EST DESCENDU DU CIEL. ET, ILS DISAIENT : N'EST-CE PAS LA JÉSUS, LE FILS DE JOSEPH, CELUI DONT NOUS CONNAISSONS LE PÈRE ET LA MÈRE ? COMMENT DONC DIT-IL : JE SUIS DESCENDU DU CIEL?  JÉSUS, LEUR RÉPONDIT : NE MURMUREZ PAS ENTRE VOUS. NUL NE PEUT VENIR A MOI, SI LE PÈRE QUI M'A ENVOYÉ NE L’ATTIRE ; ET, JE LE RESSUSCITERAI AU DERNIER JOUR ! IL EST ÉCRIT DANS LES PROPHÈTES: ILS SERONT TOUS ENSEIGNÉS DE DIEU. AINSI, QUICONQUE A ENTENDU LE PÈRE, ET A REÇU SON ENSEIGNEMENT, VIENT A MOI ! C’EST QUE, NUL N'A VU LE PÈRE, SINON CELUI QUI VIENT DE DIEU ; CELUI-LÀ, A VU LE PÈRE. EN VÉRITÉ, EN VÉRITÉ, JE VOUS LE DIS, CELUI QUI CROIT EN MOI A LA VIE ÉTERNELLE ! JE SUIS LE PAIN DE VIE !

VOS PÈRES ONT MANGÉ LA MANNE DANS LE DÉSERT, ET ILS SONT MORTS. C’EST ICI, LE PAIN QUI DESCEND DU CIEL, AFIN QUE CELUI QUI EN MANGE NE MEURE POINT ! JE SUIS LE PAIN VIVANT QUI EST DESCENDU DU CIEL. SI QUELQU'UN MANGE DE CE PAIN, IL VIVRA ÉTERNELLEMENT ; ET LE PAIN QUE JE DONNERAI, C'EST MA CHAIR, QUE JE DONNERAI POUR LA VIE DU MONDE !  LÀ-DESSUS, LES JUIFS DISPUTAIENT ENTRE EUX, DISANT : COMMENT PEUT-IL NOUS DONNER SA CHAIR A MANGER ?

JÉSUS, LEUR DIT : EN VÉRITÉ, EN VÉRITÉ, JE VOUS LE DIS, SI VOUS NE MANGEZ LA CHAIR DU FILS DE L'HOMME, ET SI VOUS NE BUVEZ SON SANG, VOUS N'AVEZ POINT LA VIE EN VOUS-MÊMES. CELUI QUI MANGE MA CHAIR ET QUI BOIT MON SANG A LA VIE ÉTERNELLE ; ET JE LE RESSUSCITERAI AU DERNIER JOUR ! CAR, MA CHAIR EST VRAIMENT UNE NOURRITURE, ET MON SANG EST VRAIMENT UN BREUVAGE. CELUI QUI MANGE MA CHAIR ET QUI BOIT MON SANG DEMEURE EN MOI, ET JE DEMEURE EN LUI. COMME LE PÈRE QUI EST VIVANT M'A ENVOYÉ, ET QUE JE VIS PAR LE PÈRE ; AINSI, CELUI QUI ME MANGE VIVRA PAR MOI ! C’EST ICI, LE PAIN QUI EST DESCENDU DU CIEL. IL N'EN EST PAS COMME DE VOS PÈRES QUI ONT MANGÉ LA MANNE ET QUI SONT MORTS : CELUI QUI MANGE CE PAIN VIVRA ÉTERNELLEMENT ! JÉSUS DIT CES CHOSES DANS LA SYNAGOGUE, ENSEIGNANT A CAPERNAÜM.

PLUSIEURS DE SES DISCIPLES, APRÈS L'AVOIR ENTENDU, DIRENT : CETTE PAROLE EST DURE ; QUI PEUT L’ÉCOUTER ? JÉSUS, SACHANT EN LUI-MÊME QUE SES DISCIPLES MURMURAIENT A CE SUJET, LEUR DIT: CELA VOUS SCANDALISE-T-IL ? ET, SI VOUS VOYEZ LE FILS DE L'HOMME MONTER OÙ IL ÉTAIT AUPARAVANT ?... C'EST L'ESPRIT QUI VIVIFIE ; LA CHAIR NE SERT DE RIEN ! LES PAROLES QUE JE VOUS AI DITES SONT ESPRIT ET VIE ! MAIS, IL EN EST PARMI VOUS QUELQUES-UNS QUI NE CROIENT POINT. CAR, JÉSUS SAVAIT, DÈS LE COMMENCEMENT, QUI ÉTAIENT CEUX QUI NE CROYAIENT POINT, ET QUI ÉTAIT CELUI QUI LE LIVRERAIT. ET, IL AJOUTA : C'EST POURQUOI, JE VOUS AI DIT, QUE NUL NE PEUT VENIR A MOI, SI CELA NE LUI A ÉTÉ DONNÉ PAR LE PÈRE.

DÈS CE MOMENT, PLUSIEURS DE SES DISCIPLES SE RETIRÈRENT, ET ILS N'ALLAIENT PLUS AVEC LUI. JÉSUS, DONC, DIT AUX DOUZE : ET VOUS, NE VOULEZ-VOUS PAS AUSSI VOUS EN ALLER ? SIMON PIERRE LUI RÉPONDIT : SEIGNEUR, A QUI IRIONS-NOUS ? TU AS LES PAROLES DE LA VIE ÉTERNELLE ! ET, NOUS AVONS CRU ET NOUS AVONS CONNU QUE TU ES LE CHRIST, LE SAINT DE DIEU ! JÉSUS, LEUR RÉPONDIT: N'EST-CE PAS MOI, QUI VOUS AI CHOISIS, VOUS LES DOUZE ? ET, L'UN DE VOUS EST UN DÉMON ! IL PARLAIT DE JUDAS ISCARIOT, FILS DE SIMON ; CAR, C’ÉTAIT LUI QUI DEVAIT LE LIVRER - LUI, L'UN DES DOUZE. 

JEAN 7.1-53 - JÉSUS PARCOURAIT LA GALILÉE, CAR IL NE VOULAIT PAS SÉJOURNER EN JUDÉE, PARCE QUE LES JUIFS CHERCHAIENT A LE FAIRE MOURIR. OR, LA FÊTE DES JUIFS, LA FÊTE DES TABERNACLES, ÉTAIT PROCHE. ET, SES FRÈRES LUI DIRENT : PARS D'ICI, ET VA EN JUDÉE, AFIN QUE TES DISCIPLES VOIENT AUSSI LES ŒUVRES QUE TU FAIS. PERSONNE N'AGIT EN SECRET, LORSQU'IL DÉSIRE PARAÎTRE : SI TU FAIS CES CHOSES, MONTRE-TOI TOI-MÊME AU MONDE ! CAR, SES FRÈRES, NON PLUS, NE CROYAIENT PAS EN LUI !

JÉSUS LEUR DIT : MON TEMPS N'EST PAS ENCORE VENU ; MAIS, VOTRE TEMPS EST TOUJOURS PRÊT. LE MONDE NE PEUT VOUS HAÏR ; MOI, IL ME HAIT, PARCE QUE JE RENDS DE LUI LE TÉMOIGNAGE QUE SES ŒUVRES SONT MAUVAISES. MONTEZ, VOUS, A CETTE FÊTE ! POUR MOI, JE N'Y MONTE POINT, PARCE QUE MON TEMPS N'EST PAS ENCORE ACCOMPLI. APRÈS LEUR AVOIR DIT CELA, IL RESTA EN GALILÉE. LORSQUE SES FRÈRES FURENT MONTÉS A LA FÊTE, IL Y MONTA AUSSI LUI-MÊME, NON PUBLIQUEMENT ; MAIS, COMME EN SECRET. LES JUIFS LE CHERCHAIENT PENDANT LA FÊTE, ET DISAIENT : OÙ EST-IL ?

IL Y AVAIT, DANS LA FOULE, GRANDE RUMEUR A SON SUJET. LES UNS DISAIENT : C'EST UN HOMME DE BIEN ! D'AUTRES DISAIENT : NON, IL ÉGARE LA MULTITUDE ! PERSONNE, TOUTEFOIS, NE PARLAIT LIBREMENT DE LUI, PAR CRAINTE DES JUIFS. VERS LE MILIEU DE LA FÊTE, JÉSUS MONTA AU TEMPLE ; ET, IL ENSEIGNAIT. LES JUIFS S'ÉTONNAIENT, DISANT : COMMENT CONNAÎT-IL LES ÉCRITURES, LUI QUI N'A POINT ÉTUDIÉ ?

JÉSUS LEUR RÉPONDIT : MA DOCTRINE N'EST PAS DE MOI ; MAIS, DE CELUI QUI M'A ENVOYÉ ! SI QUELQU'UN VEUT FAIRE SA VOLONTÉ, IL CONNAÎTRA SI MA DOCTRINE EST DE DIEU, OU SI JE PARLE DE MON CHEF. CELUI QUI PARLE DE SON CHEF CHERCHE SA PROPRE GLOIRE ; MAIS, CELUI QUI CHERCHE LA GLOIRE DE CELUI QUI L'A ENVOYÉ, CELUI-LÀ EST VRAI, ET IL N'Y A POINT D'INJUSTICE EN LUI.

MOÏSE NE VOUS A-T-IL PAS DONNÉ LA LOI ? ET, NUL DE VOUS N'OBSERVE LA LOI. POURQUOI CHERCHEZ-VOUS A ME FAIRE MOURIR ? LA FOULE RÉPONDIT : TU AS UN DÉMON. QUI EST-CE QUI CHERCHE A TE FAIRE MOURIR ? JÉSUS LEUR RÉPONDIT : J'AI FAIT UNE ŒUVRE ; ET, VOUS EN ÊTES TOUS ÉTONNÉS ! MOÏSE VOUS A DONNÉ LA CIRCONCISION, - NON QU'ELLE VIENNE DE MOÏSE, CAR ELLE VIENT DES PATRIARCHES, - ET, VOUS CIRCONCISEZ UN HOMME LE JOUR DU SABBAT. SI UN HOMME REÇOIT LA CIRCONCISION LE JOUR DU SABBAT, AFIN QUE LA LOI DE MOÏSE NE SOIT PAS VIOLÉE, POURQUOI VOUS IRRITEZ-VOUS CONTRE MOI DE CE QUE J'AI GUÉRI UN HOMME TOUT ENTIER LE JOUR DU SABBAT ? NE JUGEZ PAS SELON L'APPARENCE ; MAIS, JUGEZ SELON LA JUSTICE !

QUELQUES HABITANTS DE JÉRUSALEM DISAIENT : N'EST-CE PAS LÀ, CELUI QU'ILS CHERCHENT A FAIRE MOURIR ? ET, VOICI, IL PARLE LIBREMENT, ET ILS NE LUI DISENT RIEN ! EST-CE QUE VRAIMENT LES CHEFS AURAIENT RECONNU QU'IL EST LE CHRIST ? CEPENDANT, CELUI-CI, NOUS SAVONS D'OÙ IL EST ; MAIS, LE CHRIST, QUAND IL VIENDRA, PERSONNE NE SAURA D'OÙ IL EST ! ET, JÉSUS, ENSEIGNANT DANS LE TEMPLE, S’ÉCRIA : VOUS ME CONNAISSEZ, ET VOUS SAVEZ D'OÙ JE SUIS ! JE NE SUIS PAS VENU DE MOI-MÊME : MAIS, CELUI QUI M'A ENVOYÉ EST VRAI, ET VOUS NE LE CONNAISSEZ PAS. MOI, JE LE CONNAIS ; CAR, JE VIENS DE LUI, ET C'EST LUI QUI M'A ENVOYÉ !

ILS CHERCHAIENT, DONC, A SE SAISIR DE LUI, ET PERSONNE NE MIT LA MAIN SUR LUI, PARCE QUE SON HEURE N’ÉTAIT PAS ENCORE VENUE. PLUSIEURS, PARMI LA FOULE, CRURENT EN LUI, ET ILS DISAIENT : LE CHRIST, QUAND IL VIENDRA, FERA-T-IL PLUS DE MIRACLES QUE N'EN A FAIT CELUI-CI? LES PHARISIENS ENTENDIRENT LA FOULE MURMURANT DE LUI CES CHOSES. ALORS, LES PRINCIPAUX SACRIFICATEURS ET LES PHARISIENS ENVOYÈRENT DES HUISSIERS POUR LE SAISIR.

JÉSUS DIT : JE SUIS ENCORE AVEC VOUS POUR UN PEU DE TEMPS ; PUIS, JE M'EN VAIS VERS CELUI QUI M'A ENVOYÉ. VOUS ME CHERCHEREZ ET VOUS NE ME TROUVEREZ PAS ; ET, VOUS NE POUVEZ VENIR OÙ JE SERAI. SUR QUOI, LES JUIFS DIRENT ENTRE EUX : OÙ IRA-T-IL, QUE NOUS NE LE TROUVIONS PAS? IRA-T-IL PARMI CEUX QUI SONT DISPERSÉS CHEZ LES GRECS, ET ENSEIGNERA-T-IL LES GRECS ? QUE SIGNIFIE CETTE PAROLE QU'IL A DITE : VOUS ME CHERCHEREZ ET VOUS NE ME TROUVEREZ PAS, ET VOUS NE POUVEZ VENIR OÙ JE SERAI ?

LE DERNIER JOUR, LE GRAND JOUR DE LA FÊTE, JÉSUS, SE TENANT DEBOUT, S’ÉCRIA : SI QUELQU'UN A SOIF, QU'IL VIENNE A MOI, ET QU'IL BOIVE ! CELUI QUI CROIT EN MOI, DES FLEUVES D'EAU VIVE COULERONT DE SON SEIN ! COMME DIT L'ÉCRITURE - IL DIT CELA DE L'ESPRIT QUE DEVAIENT RECEVOIR CEUX QUI CROIRAIENT EN LUI ; CAR, L'ESPRIT N'ÉTAIT PAS ENCORE, PARCE QUE JÉSUS N'AVAIT PAS ENCORE ÉTÉ GLORIFIÉ !

DES GENS DE LA FOULE, AYANT ENTENDU CES PAROLES, DISAIENT : CELUI-CI EST VRAIMENT LE PROPHÈTE ! D'AUTRES DISAIENT : C'EST LE CHRIST. ET, D'AUTRES DISAIENT : EST-CE BIEN DE LA GALILÉE, QUE DOIT VENIR LE CHRIST ? L'ÉCRITURE NE DIT-ELLE PAS QUE C'EST DE LA POSTÉRITÉ DE DAVID ET DU VILLAGE DE BETHLÉHEM OÙ ÉTAIT DAVID, QUE LE CHRIST DOIT VENIR ? IL Y EUT, DONC, A CAUSE DE LUI, DIVISION PARMI LA FOULE. QUELQUES-UNS D'ENTRE EUX VOULAIENT LE SAISIR ; MAIS, PERSONNE NE MIT LA MAIN SUR LUI. AINSI, LES HUISSIERS RETOURNÈRENT VERS LES PRINCIPAUX SACRIFICATEURS ET LES PHARISIENS. ET, CEUX-CI LEUR DIRENT : POURQUOI, NE L'AVEZ-VOUS PAS AMENÉ ? LES HUISSIERS RÉPONDIRENT : JAMAIS, HOMME N'A PARLÉ COMME CET HOMME !

LES PHARISIENS LEUR RÉPLIQUÈRENT : EST-CE QUE VOUS AUSSI, VOUS AVEZ ÉTÉ SÉDUITS ? Y A-T-IL QUELQU'UN DES CHEFS OU DES PHARISIENS QUI AIT CRU EN LUI ? MAIS, CETTE FOULE QUI NE CONNAÎT PAS LA LOI, CE SONT DES MAUDITS ! NICODÈME, QUI ÉTAIT VENU DE NUIT VERS JÉSUS, ET QUI ÉTAIT L'UN D'ENTRE EUX, LEUR DIT : NOTRE LOI CONDAMNE-T-ELLE UN HOMME AVANT QU'ON L'ENTENDE ET QU'ON SACHE CE QU'IL A FAIT ? ILS LUI RÉPONDIRENT : ES-TU, AUSSI, GALILÉEN ? EXAMINE, ET TU VERRAS QUE DE LA GALILÉE IL NE SORT POINT DE PROPHÈTE ! - ET, CHACUN S'EN RETOURNA DANS SA MAISON.

lundi 18 novembre 2019

L’ESPRIT DU SEIGNEUR EST SUR MOI, PARCE QU’IL M’A OINT POUR ANNONCER UNE BONNE NOUVELLE AUX PAUVRES ; IL M’A ENVOYÉ POUR GUÉRIR CEUX QUI ONT LE CŒUR BRISÉ, POUR PROCLAMER AUX CAPTIFS LA DÉLIVRANCE, ET AUX AVEUGLES LE RECOUVREMENT DE LA VUE, POUR RENVOYER LIBRES LES OPPRIMÉS, POUR PUBLIER UNE ANNÉE DE GRÂCE DU SEIGNEUR !

                                    
         


JEAN 9.1-41, 10.1-21 - L’ESPRIT DU SEIGNEUR EST SUR MOI, PARCE QU’IL M’A OINT POUR ANNONCER UNE BONNE NOUVELLE AUX PAUVRES ; IL M’A ENVOYÉ POUR GUÉRIR CEUX QUI ONT LE CŒUR BRISÉ, POUR PROCLAMER AUX CAPTIFS LA DÉLIVRANCE, ET AUX AVEUGLES LE RECOUVREMENT DE LA VUE, POUR RENVOYER LIBRES LES OPPRIMÉS, POUR PUBLIER UNE ANNÉE DE GRÂCE DU SEIGNEUR !  (LUC 4.18-19)

JEAN 9.1-41 - JÉSUS VIT, EN PASSANT, UN HOMME AVEUGLE DE NAISSANCE. SES DISCIPLES LUI FIRENT CETTE QUESTION : RABBI, QUI A PÉCHÉ, CET HOMME OU SES PARENTS, POUR QU'IL SOIT NÉ AVEUGLE ?

JÉSUS RÉPONDIT : CE N'EST PAS QUE LUI OU SES PARENTS AIENT PÉCHÉ ; MAIS, C'EST AFIN QUE LES ŒUVRES DE DIEU SOIENT MANIFESTÉES EN LUI. IL FAUT QUE JE FASSE, TANDIS QU'IL EST JOUR, LES ŒUVRES DE CELUI QUI M'A ENVOYÉ ; LA NUIT VIENT, OU PERSONNE NE PEUT TRAVAILLER. PENDANT QUE JE SUIS DANS LE MONDE, JE SUIS LA LUMIÈRE DU MONDE. APRÈS AVOIR DIT CELA, IL CRACHA A TERRE, ET FIT DE LA BOUE AVEC SA SALIVE. PUIS, IL APPLIQUA CETTE BOUE SUR LES YEUX DE L'AVEUGLE, ET LUI DIT : VA, ET LAVE-TOI AU RÉSERVOIR DE SILOÉ (NOM QUI SIGNIFIE ENVOYÉ). IL Y ALLA, SE LAVA, ET S'EN RETOURNA, VOYANT CLAIR!

SES VOISINS ET CEUX QUI, AUPARAVANT, L'AVAIENT CONNU COMME UN MENDIANT DISAIENT : N'EST-CE PAS LÀ, CELUI QUI SE TENAIT ASSIS, ET QUI MENDIAIT ? LES UNS DISAIENT : C'EST LUI ! D'AUTRES DISAIENT : NON, MAIS IL LUI RESSEMBLE ! ET, LUI-MÊME DISAIT : C'EST MOI ! ILS LUI DIRENT, DONC : COMMENT TES YEUX ONT-ILS ÉTÉ OUVERTS ?

IL RÉPONDIT : L'HOMME QU'ON APPELLE JÉSUS A FAIT DE LA BOUE, A OINT MES YEUX, ET M'A DIT : VA AU RÉSERVOIR DE SILOÉ, ET LAVE-TOI ! J'Y SUIS ALLÉ, JE ME SUIS LAVÉ, ET J'AI RECOUVRÉ LA VUE. ILS LUI DIRENT : OÙ EST CET HOMME ? IL RÉPONDIT : JE NE SAIS ! ILS MENÈRENT VERS LES PHARISIENS CELUI QUI AVAIT ÉTÉ AVEUGLE. OR, C’ÉTAIT UN JOUR DE SABBAT, QUE JÉSUS AVAIT FAIT DE LA BOUE, ET LUI AVAIT OUVERT LES YEUX. DE NOUVEAU, LES PHARISIENS, AUSSI LUI DEMANDÈRENT COMMENT IL AVAIT RECOUVRÉ LA VUE. ET, IL LEUR DIT : IL A APPLIQUÉ DE LA BOUE SUR MES YEUX, JE ME SUIS LAVÉ, ET JE VOIS ! SUR QUOI, QUELQUES-UNS DES PHARISIENS DIRENT : CET HOMME NE VIENT PAS DE DIEU, CAR IL N'OBSERVE PAS LE SABBAT. D'AUTRES DIRENT : COMMENT UN HOMME PÉCHEUR PEUT-IL FAIRE DE TELS MIRACLES ? ET, IL Y EUT DIVISION PARMI EUX. ILS DIRENT, ENCORE, A L’AVEUGLE : TOI, QUE DIS-TU DE LUI, SUR CE QU'IL T'A OUVERT LES YEUX ? IL RÉPONDIT : C'EST UN PROPHÈTE !

LES JUIFS NE CRURENT POINT, QU'IL EÛT ÉTÉ AVEUGLE ET QU'IL EÛT RECOUVRÉ LA VUE, JUSQU’À CE QU'ILS EUSSENT FAIT VENIR SES PARENTS. ET, ILS LES INTERROGÈRENT, DISANT : EST-CE LÀ, VOTRE FILS, QUE VOUS DITES ÊTRE NÉ AVEUGLE ? COMMENT, DONC, VOIT-IL, MAINTENANT ? SES PARENTS RÉPONDIRENT : NOUS SAVONS, QUE C'EST NOTRE FILS, ET QU'IL EST NÉ AVEUGLE ; MAIS, COMMENT IL VOIT MAINTENANT, OU QUI LUI A OUVERT LES YEUX, C'EST CE QUE NOUS NE SAVONS. INTERROGEZ-LE, LUI-MÊME ; IL A DE L'ÂGE, IL PARLERA DE CE QUI LE CONCERNE ! SES PARENTS DIRENT CELA, PARCE QU'ILS CRAIGNAIENT LES JUIFS ; CAR, LES JUIFS ÉTAIENT DÉJÀ CONVENUS, QUE, SI QUELQU'UN RECONNAISSAIT JÉSUS POUR LE CHRIST, IL SERAIT EXCLU DE LA SYNAGOGUE. C'EST POURQUOI, SES PARENTS DIRENT : IL A DE L'ÂGE, INTERROGEZ-LE, LUI-MÊME!

LES PHARISIENS APPELÈRENT UNE SECONDE FOIS L'HOMME QUI AVAIT ÉTÉ AVEUGLE, ET ILS LUI DIRENT : DONNE GLOIRE A DIEU, NOUS SAVONS QUE CET HOMME EST UN PÉCHEUR. IL RÉPONDIT : S'IL EST UN PÉCHEUR, JE NE SAIS ; JE SAIS UNE CHOSE, C'EST QUE J’ÉTAIS AVEUGLE, ET QUE MAINTENANT JE VOIS. ILS LUI DIRENT : QUE T'A-T-IL FAIT ? COMMENT T'A-T-IL OUVERT LES YEUX ? IL LEUR RÉPONDIT : JE VOUS L'AI DÉJÀ DIT, ET VOUS N'AVEZ PAS ÉCOUTÉ ; POURQUOI VOULEZ-VOUS L'ENTENDRE ENCORE ? VOULEZ-VOUS, AUSSI, DEVENIR SES DISCIPLES ? ILS L’INJURIÈRENT, ET DIRENT : C'EST TOI QUI ES SON DISCIPLE ; NOUS, NOUS SOMMES DISCIPLES DE MOÏSE. NOUS SAVONS, QUE DIEU A PARLÉ A MOÏSE ; MAIS, CELUI-CI, NOUS NE SAVONS D’OÙ IL EST !

CET HOMME LEUR RÉPONDIT : IL EST ÉTONNANT, QUE VOUS NE SACHIEZ D’OÙ IL EST ; ET, CEPENDANT IL M'A OUVERT LES YEUX ! NOUS SAVONS, QUE DIEU N'EXAUCE POINT LES PÉCHEURS ; MAIS, SI QUELQU'UN L'HONORE ET FAIT SA VOLONTÉ, C'EST CELUI LÀ, QU'IL L'EXAUCE. JAMAIS, ON N'A ENTENDU DIRE, QUE QUELQU'UN AIT OUVERT LES YEUX D'UN AVEUGLE-NÉ. SI CET HOMME NE VENAIT PAS DE DIEU, IL NE POURRAIT RIEN FAIRE. ILS LUI RÉPONDIRENT : TU ES NÉ TOUT ENTIER DANS LE PÉCHÉ, ET TU NOUS ENSEIGNES ! ET, ILS LE CHASSÈRENT.

JÉSUS APPRIT QU'ILS L'AVAIENT CHASSÉ ; ET, L'AYANT RENCONTRÉ, IL LUI DIT : CROIS-TU AU FILS DE DIEU ? IL RÉPONDIT : ET, QUI EST-IL, SEIGNEUR, AFIN QUE JE CROIE EN LUI ? TU L'AS VU, LUI DIT JÉSUS ; ET, CELUI QUI TE PARLE, C'EST LUI ! ET, IL DIT : JE CROIS, SEIGNEUR! ET, IL SE PROSTERNA DEVANT LUI. PUIS, JÉSUS DIT : JE SUIS VENU DANS CE MONDE POUR UN JUGEMENT ; POUR QUE CEUX QUI NE VOIENT POINT VOIENT, ET QUE CEUX QUI VOIENT DEVIENNENT AVEUGLES.

QUELQUES PHARISIENS QUI ÉTAIENT AVEC LUI, AYANT ENTENDU CES PAROLES, LUI DIRENT: NOUS AUSSI, SOMMES-NOUS AVEUGLES ? JÉSUS LEUR RÉPONDIT : SI VOUS ÉTIEZ AVEUGLES, VOUS N'AURIEZ PAS DE PÉCHÉ. MAIS, MAINTENANT, VOUS DITES : NOUS VOYONS. C'EST POUR CELA, QUE VOTRE PÉCHÉ SUBSISTE !

JEAN 10.1-21 - EN VÉRITÉ, EN VÉRITÉ, JE VOUS LE DIS, CELUI QUI N'ENTRE PAS PAR LA PORTE DANS LA BERGERIE, MAIS QUI Y MONTE PAR AILLEURS, EST UN VOLEUR ET UN BRIGAND. MAIS, CELUI QUI ENTRE PAR LA PORTE EST LE BERGER DES BREBIS ! LE PORTIER LUI OUVRE, ET LES BREBIS ENTENDENT SA VOIX ; IL APPELLE PAR LEUR NOM LES BREBIS QUI LUI APPARTIENNENT, ET IL LES CONDUIT DEHORS.

LORSQU'IL A FAIT SORTIR TOUTES SES PROPRES BREBIS, IL MARCHE DEVANT ELLES ; ET LES BREBIS LE SUIVENT, PARCE QU'ELLES CONNAISSENT SA VOIX. ELLES NE SUIVRONT POINT UN ÉTRANGER ; MAIS ELLES FUIRONT LOIN DE LUI, PARCE QU'ELLES NE CONNAISSENT PAS LA VOIX DES ÉTRANGERS !

JÉSUS LEUR DIT CETTE PARABOLE, MAIS ILS NE COMPRIRENT PAS DE QUOI IL LEUR PARLAIT. JÉSUS LEUR DIT ENCORE : EN VÉRITÉ, EN VÉRITÉ, JE VOUS LE DIS, JE SUIS LA PORTE DES BREBIS! TOUS CEUX QUI SONT VENUS AVANT MOI SONT DES VOLEURS ET DES BRIGANDS ; MAIS LES BREBIS NE LES ONT POINT ÉCOUTÉS !

JE SUIS LA PORTE. SI QUELQU'UN ENTRE PAR MOI, IL SERA SAUVÉ ; IL ENTRERA ET IL SORTIRA, ET IL TROUVERA DES PÂTURAGES. LE VOLEUR NE VIENT QUE POUR DÉROBER, ÉGORGER ET DÉTRUIRE ; MOI, JE SUIS VENU AFIN QUE LES BREBIS AIENT LA VIE, ET QU'ELLES SOIENT DANS L'ABONDANCE.

JE SUIS LE BON BERGER. LE BON BERGER DONNE SA VIE POUR SES BREBIS ! MAIS, LE MERCENAIRE, QUI N'EST PAS LE BERGER, ET A QUI N'APPARTIENNENT PAS LES BREBIS, VOIT VENIR LE LOUP, ABANDONNE LES BREBIS, ET PREND LA FUITE ; ET LE LOUP LES RAVIT ET LES DISPERSE. LE MERCENAIRE S'ENFUIT, PARCE QU'IL EST MERCENAIRE, ET QU'IL NE SE MET POINT EN PEINE DES BREBIS.

JE SUIS LE BON BERGER !  JE CONNAIS MES BREBIS, ET ELLES ME CONNAISSENT, COMME LE PÈRE ME CONNAÎT ET COMME JE CONNAIS LE PÈRE ; ET, JE DONNE MA VIE POUR MES BREBIS. J'AI ENCORE D'AUTRES BREBIS, QUI NE SONT PAS DE CETTE BERGERIE ; CELLES-LÀ, IL FAUT QUE JE LES AMÈNE ; ELLES ENTENDRONT MA VOIX, ET IL Y AURA UN SEUL TROUPEAU, UN SEUL BERGER !

LE PÈRE M'AIME, PARCE QUE JE DONNE MA VIE, AFIN DE LA REPRENDRE. PERSONNE NE ME L’ÔTE, MAIS, JE LA DONNE DE MOI-MÊME ; J'AI LE POUVOIR DE LA DONNER, ET J'AI LE POUVOIR DE LA REPRENDRE : TEL EST L'ORDRE QUE J'AI REÇU DE MON PÈRE !

IL Y EUT DE NOUVEAU, A CAUSE DE CES PAROLES, DIVISION PARMI LES JUIFS. PLUSIEURS D'ENTRE EUX DISAIENT : IL A UN DÉMON, IL EST FOU ! POURQUOI L'ÉCOUTEZ-VOUS ? D'AUTRES DISAIENT : CE NE SONT PAS LES PAROLES D'UN DÉMONIAQUE ; UN DÉMON PEUT-IL OUVRIR LES YEUX DES AVEUGLES ?

JEAN 10.22-39 - ON CÉLÉBRAIT A JÉRUSALEM LA FÊTE DE LA DÉDICACE. C’ÉTAIT L'HIVER. ET, JÉSUS SE PROMENAIT DANS LE TEMPLE, SOUS LE PORTIQUE DE SALOMON. LES JUIFS L’ENTOURÈRENT, ET LUI DIRENT : JUSQUES A QUAND, TIENDRAS-TU NOTRE ESPRIT EN SUSPENS ? SI TU ES LE CHRIST, DIS-LE-NOUS FRANCHEMENT !

JÉSUS LEUR RÉPONDIT : JE VOUS L'AI DIT, ET VOUS NE CROYEZ PAS. LES ŒUVRES QUE JE FAIS AU NOM DE MON PÈRE RENDENT TÉMOIGNAGE DE MOI. MAIS, VOUS NE CROYEZ PAS, PARCE QUE VOUS N’ÊTES PAS DE MES BREBIS !

MES BREBIS ENTENDENT MA VOIX ; JE LES CONNAIS, ET ELLES ME SUIVENT ! JE LEUR DONNE LA VIE ÉTERNELLE ; ELLES NE PÉRIRONT JAMAIS, ET PERSONNE NE LES RAVIRA DE MA MAIN ! MON PÈRE, QUI ME LES A DONNÉES, EST PLUS GRAND QUE TOUS ; ET, PERSONNE NE PEUT LES RAVIR DE LA MAIN DE MON PÈRE. MOI, ET LE PÈRE, NOUS SOMMES UN !

ALORS, LES JUIFS PRIRENT DE NOUVEAU DES PIERRES POUR LE LAPIDER - JÉSUS LEUR DIT : JE VOUS AI FAIT VOIR PLUSIEURS BONNES ŒUVRES VENANT DE MON PÈRE : POUR LAQUELLE ME LAPIDEZ-VOUS ? LES JUIFS LUI RÉPONDIRENT : CE N'EST POINT POUR UNE BONNE ŒUVRE QUE NOUS TE LAPIDONS, MAIS, POUR UN BLASPHÈME, ET PARCE QUE TOI, QUI ES UN HOMME, TU TE FAIS DIEU !

JÉSUS LEUR RÉPONDIT : N'EST-IL PAS ÉCRIT DANS VOTRE LOI : J'AI DIT, VOUS ÊTES DES DIEUX? SI ELLE A APPELÉ DIEUX, CEUX A QUI LA PAROLE DE DIEU A ÉTÉ ADRESSÉE, ET, SI L'ÉCRITURE NE PEUT ÊTRE ANÉANTIE, CELUI QUE LE PÈRE A SANCTIFIÉ ET ENVOYÉ DANS LE MONDE, VOUS LUI DITES : TU BLASPHÈMES ! ET, CELA, PARCE QUE J'AI DIT : JE SUIS LE FILS DE DIEU !

SI JE NE FAIS PAS LES ŒUVRES DE MON PÈRE, NE ME CROYEZ PAS. MAIS, SI JE LES FAIS, QUAND MÊME VOUS NE ME CROYEZ POINT, CROYEZ A CES ŒUVRES, AFIN QUE VOUS SACHIEZ ET RECONNAISSIEZ, QUE LE PÈRE EST EN MOI ET QUE JE SUIS DANS LE PÈRE ! LÀ-DESSUS, ILS CHERCHÈRENT ENCORE A LE SAISIR ; MAIS, IL S’ÉCHAPPA DE LEURS MAINS.