APOCALYPSE 14.1-20, 15.1-8, 16.1-21 - UN SECOND ANGE SUIVIT, EN DISANT : ELLE EST TOMBÉE, ELLE EST TOMBÉE, BABYLONE LA GRANDE, QUI A ABREUVÉ TOUTES LES NATIONS DU VIN DE LA FUREUR DE SON IMPUDICITÉ !
APOCALYPSE 14.1-20 - JE REGARDAI ; ET, VOICI, L'AGNEAU SE TENAIT SUR LA MONTAGNE DE SION, ET AVEC LUI CENT QUARANTE-QUATRE MILLE PERSONNES QUI AVAIENT SON NOM ET LE NOM DE SON PÈRE ÉCRITS SUR LEURS FRONTS. ET, J'ENTENDIS, DU CIEL, UNE VOIX, COMME UN BRUIT DE GROSSES EAUX, COMME LE BRUIT D'UN GRAND TONNERRE ; ET, LA VOIX QUE J'ENTENDIS ÉTAIT COMME CELLE DE JOUEURS DE HARPES JOUANT DE LEURS HARPES.
ET ILS CHANTAIENT UN CANTIQUE NOUVEAU DEVANT LE TRÔNE, ET DEVANT LES QUATRE ÊTRES VIVANTS ET LES VIEILLARDS. ET PERSONNE NE POUVAIT APPRENDRE LE CANTIQUE, SI CE N'EST LES CENT QUARANTE-QUATRE MILLE, QUI AVAIENT ÉTÉ RACHETÉS DE LA TERRE. CE SONT CEUX, QUI NE SE SONT PAS SOUILLÉS AVEC DES FEMMES, CAR ILS SONT VIERGES ; ILS SUIVENT L'AGNEAU PARTOUT OÙ IL VA. ILS ONT ÉTÉ RACHETÉS D'ENTRE LES HOMMES, COMME DES PRÉMICES POUR DIEU ET POUR L’AGNEAU ; ET, DANS LEUR BOUCHE, IL NE S'EST POINT TROUVÉ DE MENSONGE, CAR ILS SONT IRRÉPRÉHENSIBLES !
JE VIS UN AUTRE ANGE, QUI VOLAIT PAR LE MILIEU DU CIEL, AYANT UN ÉVANGILE ÉTERNEL, POUR L'ANNONCER AUX HABITANTS DE LA TERRE ; A TOUTE NATION ; A TOUTE TRIBU ; A TOUTE LANGUE ; ET, A TOUT PEUPLE. IL DISAIT D'UNE VOIX FORTE : CRAIGNEZ DIEU, ET DONNEZ-LUI GLOIRE ! CAR, L'HEURE DE SON JUGEMENT EST VENUE ; ET ADOREZ CELUI QUI A FAIT LE CIEL, ET LA TERRE, ET LA MER, ET LES SOURCES D’EAUX !
ET UN AUTRE, UN SECOND ANGE SUIVIT, EN DISANT : ELLE EST TOMBÉE, ELLE EST TOMBÉE, BABYLONE LA GRANDE, QUI A ABREUVÉ TOUTES LES NATIONS DU VIN DE LA FUREUR DE SON IMPUDICITÉ !
ET UN AUTRE, UN TROISIÈME ANGE LES SUIVIT ; EN DISANT, D'UNE VOIX FORTE : SI QUELQU'UN ADORE LA BÊTE ET SON IMAGE, ET REÇOIT UNE MARQUE SUR SON FRONT, OU SUR SA MAIN, IL BOIRA, LUI AUSSI, DU VIN DE LA FUREUR DE DIEU VERSÉ SANS MÉLANGE DANS LA COUPE DE SA COLÈRE ; ET, IL SERA TOURMENTÉ DANS LE FEU ET LE SOUFRE DEVANT LES SAINTS ANGES, ET DEVANT L'AGNEAU ! ET, LA FUMÉE DE LEUR TOURMENT MONTE AUX SIÈCLES DES SIÈCLES ; ET, ILS N'ONT DE REPOS NI JOUR, NI NUIT, CEUX QUI ADORENT LA BÊTE ET SON IMAGE, ET QUICONQUE REÇOIT LA MARQUE DE SON NOM !
C'EST ICI LA PERSÉVÉRANCE DES SAINTS, QUI GARDENT LES COMMANDEMENTS DE DIEU ET LA FOI DE JÉSUS ! ET, J'ENTENDIS, DU CIEL, UNE VOIX QUI DISAIT : ÉCRIS : HEUREUX, DÈS A PRÉSENT, LES MORTS QUI MEURENT DANS LE SEIGNEUR ! OUI, DIT L'ESPRIT ! AFIN QU'ILS SE REPOSENT DE LEURS TRAVAUX ; CAR, LEURS ŒUVRES LES SUIVENT ! JE REGARDAI ; ET, VOICI, IL Y AVAIT UNE NUÉE BLANCHE, ET SUR LA NUÉE ÉTAIT ASSIS QUELQU'UN QUI RESSEMBLAIT A UN FILS D'HOMME, AYANT SUR SA TÊTE UNE COURONNE D'OR, ET DANS SA MAIN UNE FAUCILLE TRANCHANTE.
ET UN AUTRE ANGE SORTIT DU TEMPLE, CRIANT D'UNE VOIX FORTE A CELUI QUI ÉTAIT ASSIS SUR LA NUÉE : LANCE TA FAUCILLE, ET MOISSONNE ; CAR, L'HEURE DE MOISSONNER EST VENUE, CAR LA MOISSON DE LA TERRE EST MURE ! ET CELUI QUI ÉTAIT ASSIS SUR LA NUÉE JETA SA FAUCILLE SUR LA TERRE. ET LA TERRE FUT MOISSONNÉE.
ET UN AUTRE ANGE SORTIT DU TEMPLE QUI EST DANS LE CIEL, AYANT, LUI AUSSI, UNE FAUCILLE TRANCHANTE.
ET UN AUTRE ANGE, QUI AVAIT AUTORITÉ SUR LE FEU, SORTIT DE L'AUTEL ET S'ADRESSA D'UNE VOIX FORTE A CELUI QUI AVAIT LA FAUCILLE TRANCHANTE, DISANT : LANCE TA FAUCILLE TRANCHANTE, ET VENDANGE LES GRAPPES DE LA VIGNE DE LA TERRE ; CAR, LES RAISINS DE LA TERRE SONT MURS !
ET L'ANGE JETA SA FAUCILLE SUR LA TERRE. ET, IL VENDANGEA LA VIGNE DE LA TERRE, ET JETA LA VENDANGE DANS LA GRANDE CUVE DE LA COLÈRE DE DIEU. ET, LA CUVE FUT FOULÉE HORS DE LA VILLE, ET DU SANG SORTIT DE LA CUVE, JUSQU'AUX MORS DES CHEVAUX, SUR UNE ÉTENDUE DE MILLE SIX CENTS STADES.
APOCALYPSE 15.1-8 - PUIS, JE VIS DANS LE CIEL UN AUTRE SIGNE, GRAND ET ADMIRABLE. SEPT ANGES, QUI TENAIENT SEPT FLÉAUX, LES DERNIERS ; CAR, PAR EUX, S'ACCOMPLIT LA COLÈRE DE DIEU !
ET JE VIS COMME UNE MER DE VERRE, MÊLÉE DE FEU, ET CEUX QUI AVAIENT VAINCU LA BÊTE ET SON IMAGE, ET LE NOMBRE DE SON NOM, DEBOUT SUR LA MER DE VERRE, AYANT DES HARPES DE DIEU. ET, ILS CHANTENT LE CANTIQUE DE MOÏSE, LE SERVITEUR DE DIEU, ET LE CANTIQUE DE L'AGNEAU, EN DISANT : TES ŒUVRES SONT GRANDES ET ADMIRABLES, SEIGNEUR DIEU TOUT PUISSANT ! TES VOIES SONT JUSTES ET VÉRITABLES, ROI DES NATIONS ! QUI NE CRAINDRAIT, SEIGNEUR, ET NE GLORIFIERAIT TON NOM ? CAR, SEUL TU ES SAINT. ET, TOUTES LES NATIONS VIENDRONT, ET SE PROSTERNERONT DEVANT TOI, PARCE QUE TES JUGEMENTS ONT ÉTÉ MANIFESTÉS !
APRÈS CELA, JE REGARDAI, ET LE TEMPLE DU TABERNACLE DU TÉMOIGNAGE FUT OUVERT DANS LE CIEL. ET, LES SEPT ANGES QUI TENAIENT LES SEPT FLÉAUX SORTIRENT DU TEMPLE, REVÊTUS D'UN LIN PUR, ÉCLATANT, ET AYANT DES CEINTURES D'OR AUTOUR DE LA POITRINE. ET, L'UN DES QUATRE ÊTRES VIVANTS DONNA AUX SEPT ANGES SEPT COUPES D'OR, PLEINES DE LA COLÈRE DU DIEU QUI VIT AUX SIÈCLES DES SIÈCLES. ET, LE TEMPLE FUT REMPLI DE FUMÉE, A CAUSE DE LA GLOIRE DE DIEU ET DE SA PUISSANCE ; ET, PERSONNE NE POUVAIT ENTRER DANS LE TEMPLE, JUSQU’À CE QUE LES SEPT FLÉAUX DES SEPT ANGES FUSSENT ACCOMPLIS !
APOCALYPSE 16.1-21 - ET J'ENTENDIS UNE VOIX FORTE QUI VENAIT DU TEMPLE ET QUI DISAIT AUX SEPT ANGES : ALLEZ, ET VERSEZ SUR LA TERRE LES SEPT COUPES DE LA COLÈRE DE DIEU !
LE PREMIER ALLA, ET IL VERSA SA COUPE SUR LA TERRE. ET, UN ULCÈRE MALIN ET DOULOUREUX FRAPPA LES HOMMES QUI AVAIENT LA MARQUE DE LA BÊTE ET QUI ADORAIENT SON IMAGE.
LE SECOND VERSA SA COUPE DANS LA MER. ET ELLE DEVINT DU SANG, COMME CELUI D'UN MORT ET TOUT ÊTRE VIVANT MOURUT, TOUT CE QUI ÉTAIT DANS LA MER.
LE TROISIÈME VERSA SA COUPE DANS LES FLEUVES ET DANS LES SOURCES D'EAUX. ET, ILS DEVINRENT DU SANG.
ET J'ENTENDIS L'ANGE DES EAUX, QUI DISAIT : TU ES JUSTE, TOI QUI ES, ET QUI ÉTAIS ; TU ES SAINT, PARCE QUE TU AS EXERCÉ CE JUGEMENT. CAR ILS ONT VERSÉ LE SANG DES SAINTS ET DES PROPHÈTES, ET TU LEUR AS DONNE DU SANG A BOIRE : ILS EN SONT DIGNES ! ET J'ENTENDIS L'AUTEL QUI DISAIT : OUI, SEIGNEUR DIEU TOUT PUISSANT, TES JUGEMENTS SONT VÉRITABLES ET JUSTES !
LE QUATRIÈME VERSA SA COUPE SUR LE SOLEIL. ET IL LUI FUT DONNÉ DE BRÛLER LES HOMMES PAR LE FEU ET LES HOMMES FURENT BRÛLÉS PAR UNE GRANDE CHALEUR, ET ILS BLASPHÉMÈRENT LE NOM DU DIEU QUI A L’AUTORITÉ SUR CES FLÉAUX, ET ILS NE SE REPENTIRENT PAS POUR LUI DONNER GLOIRE !
LE CINQUIÈME VERSA SA COUPE SUR LE TRÔNE DE LA BÊTE. ET SON ROYAUME FUT COUVERT DE TÉNÈBRES ET LES HOMMES SE MORDAIENT LA LANGUE DE DOULEUR, ET ILS BLASPHÉMÈRENT LE DIEU DU CIEL A CAUSE DE LEURS DOULEURS ET DE LEURS ULCÈRES ET ILS NE SE REPENTIRENT PAS DE LEURS ŒUVRES !
LE SIXIÈME VERSA SA COUPE SUR LE GRAND FLEUVE, L'EUPHRATE. ET, SON EAU TARIT, AFIN QUE LE CHEMIN DES ROIS VENANT DE L'ORIENT FUT PRÉPARÉ.
ET JE VIS SORTIR DE LA BOUCHE DU DRAGON, ET DE LA BOUCHE DE LA BÊTE, ET DE LA BOUCHE DU FAUX PROPHÈTE, TROIS ESPRITS IMPURS SEMBLABLES A DES GRENOUILLES. CAR, CE SONT DES ESPRITS DE DÉMONS, QUI FONT DES PRODIGES ET QUI VONT VERS LES ROIS DE TOUTE LA TERRE, AFIN DE LES RASSEMBLER POUR LE COMBAT DU GRAND JOUR DU DIEU TOUT PUISSANT ! - VOICI, JE VIENS COMME UN VOLEUR. HEUREUX CELUI QUI VEILLE ET QUI GARDE SES VÊTEMENTS, AFIN QU'IL NE MARCHE PAS NU ET QU'ON NE VOIE PAS SA HONTE ! - ILS LES RASSEMBLÈRENT DANS LE LIEU APPELÉ EN HÉBREU : HARMAGUÉDON.
LE SEPTIÈME VERSA SA COUPE DANS L'AIR. ET IL SORTIT DU TEMPLE, DU TRÔNE, UNE VOIX FORTE, QUI DISAIT : C'EN EST FAIT ! ET IL Y EUT DES ÉCLAIRS, DES VOIX, DES TONNERRES ET UN GRAND TREMBLEMENT DE TERRE TEL QU'IL N'Y AVAIT JAMAIS EU DEPUIS QUE L'HOMME EST SUR LA TERRE, UN AUSSI GRAND TREMBLEMENT.
ET LA GRANDE VILLE FUT DIVISÉE EN TROIS PARTIES ET LES VILLES DES NATIONS TOMBÈRENT, ET DIEU SE SOUVINT DE BABYLONE LA GRANDE POUR LUI DONNER LA COUPE DU VIN DE SON ARDENTE COLÈRE. ET TOUTES LES ÎLES S'ENFUIRENT ET LES MONTAGNES NE FURENT PAS RETROUVÉES. ET UNE GROSSE GRÊLE DONT LES GRÊLONS PESAIENT UN TALENT TOMBA DU CIEL SUR LES HOMMES, ET LES HOMMES BLASPHÉMÈRENT DIEU A CAUSE DU FLÉAU DE LA GRÊLE, PARCE QUE CE FLÉAU ÉTAIT TRÈS GRAND.
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