JE SUIS LE VRAI CEP ET MON PÈRE EST LE VIGNERON. TOUT SARMENT QUI EST EN MOI ET QUI NE PORTE PAS DE FRUIT, IL LE RETRANCHE, ET TOUT SARMENT QUI PORTE DU FRUIT, IL L’ÉMONDE AFIN QU'IL PORTE ENCORE PLUS DE FRUIT.
DÉJÀ VOUS ÊTES PURS A CAUSE DE LA PAROLE QUE JE VOUS AI ANNONCÉE. DEMEUREZ EN MOI, ET JE DEMEURERAI EN VOUS. COMME LE SARMENT NE PEUT DE LUI-MÊME PORTER DU FRUIT S'IL NE DEMEURE ATTACHÉ AU CEP, AINSI VOUS NE LE POUVEZ NON PLUS SI VOUS NE DEMEUREZ EN MOI.
JE SUIS LE CEP, VOUS ÊTES LES SARMENTS. CELUI QUI DEMEURE EN MOI ET EN QUI JE DEMEURE PORTE BEAUCOUP DE FRUIT, CAR, SANS MOI, VOUS NE POUVEZ RIEN FAIRE. SI QUELQU'UN NE DEMEURE PAS EN MOI, IL EST JETÉ DEHORS, COMME LE SARMENT ET IL SÈCHE, PUIS ON RAMASSE LES SARMENTS, ON LES JETTE AU FEU ET ILS BRÛLENT. SI VOUS DEMEUREZ EN MOI, ET QUE MES PAROLES DEMEURENT EN VOUS, DEMANDEZ CE QUE VOUS VOUDREZ ET CELA VOUS SERA ACCORDÉ.
SI VOUS PORTEZ BEAUCOUP DE FRUIT, C'EST AINSI QUE MON PÈRE SERA GLORIFIÉ ET QUE VOUS SEREZ MES DISCIPLES. COMME LE PÈRE M'A AIMÉ, JE VOUS AI AUSSI AIMÉS. DEMEUREZ DANS MON AMOUR. SI VOUS GARDEZ MES COMMANDEMENTS, VOUS DEMEUREREZ DANS MON AMOUR, DE MÊME QUE J'AI GARDÉ LES COMMANDEMENTS DE MON PÈRE ET QUE JE DEMEURE DANS SON AMOUR.
JE VOUS AI DIT CES CHOSES, AFIN QUE MA JOIE SOIT EN VOUS ET QUE VOTRE JOIE SOIT PARFAITE. C'EST ICI MON COMMANDEMENT: AIMEZ-VOUS LES UNS LES AUTRES COMME JE VOUS AI AIMÉS. IL N'Y A PAS DE PLUS GRAND AMOUR QUE DE DONNER SA VIE POUR SES AMIS. VOUS ÊTES MES AMIS SI VOUS FAITES CE QUE JE VOUS COMMANDE.
JE NE VOUS APPELLE PLUS SERVITEURS PARCE QUE LE SERVITEUR NE SAIT PAS CE QUE FAIT SON MAÎTRE, MAIS JE VOUS AI APPELÉS AMIS PARCE QUE JE VOUS AI FAIT CONNAÎTRE TOUT CE QUE J'AI APPRIS DE MON PÈRE.
CE N'EST PAS VOUS QUI M'AVEZ CHOISI, MAIS MOI, JE VOUS AI CHOISIS, ET JE VOUS AI ÉTABLIS AFIN QUE VOUS ALLIEZ, ET QUE VOUS PORTIEZ DU FRUIT ET QUE VOTRE FRUIT DEMEURE, AFIN QUE CE QUE VOUS DEMANDEREZ AU PÈRE EN MON NOM, IL VOUS LE DONNE. CE QUE JE VOUS COMMANDE, C'EST DE VOUS AIMER LES UNS LES AUTRES.
IL Y EUT UNE FÊTE DES JUIFS, ET JÉSUS MONTA A JÉRUSALEM. OR, A JÉRUSALEM, PRÈSDE LA PORTE DES BREBIS, IL Y A UNE PISCINE QUI S'APPELLE EN HÉBREU BETHESDA, ETQUI A CINQ PORTIQUES. SOUS CES PORTIQUES ÉTAIENT COUCHÉS EN GRAND NOMBRE DESMALADES, DES AVEUGLES, DES BOITEUX, DES PARALYTIQUES, QUI ATTENDAIENT LEMOUVEMENT DE L'EAU; CAR UN ANGE DESCENDAIT DE TEMPS EN TEMPS DANS LA PISCINE,ET AGITAIT L'EAU; ET CELUI QUI Y DESCENDAIT LE PREMIER APRÈS QUE L'EAU AVAITÉTÉ AGITÉE ÉTAIT GUÉRI, QUELLE QUE FÛT SA MALADIE.
LÀ, SE TROUVAIT UN HOMME MALADE DEPUISTRENTE-HUIT ANS. JÉSUS, L'AYANTVU COUCHÉ, ET SACHANT QU'IL ÉTAIT MALADE DEPUIS LONGTEMPS, LUI DIT: VEUX-TUÊTRE GUÉRI ? LE MALADE LUI RÉPONDIT: SEIGNEUR, JE N'AI PERSONNE POUR ME JETERDANS LA PISCINE QUAND L'EAU EST AGITÉE, ET, PENDANT QUE J'Y VAIS, UN AUTREDESCEND AVANT MOI. LÈVE-TOI, LUI DIT JÉSUS, PRENDS TON LIT, ET MARCHE. AUSSITÔT CET HOMME FUT GUÉRI; IL PRIT SONLIT, ET MARCHA.
C’ÉTAIT UNJOUR DE SABBAT. LES JUIFS DIRENT DONC A CELUI QUI AVAIT ÉTÉ GUÉRI: C'EST LESABBAT; IL NE T'EST PAS PERMIS D'EMPORTER TON LIT. IL LEUR RÉPONDIT: CELUI QUIM'A GUÉRI M'A DIT: PRENDS TON LIT, ET MARCHE.
ILS LUI DEMANDÈRENT: QUI ESTL'HOMME QUI T'A DIT: PRENDS TON LIT, ET MARCHE ? MAIS CELUI QUI AVAIT ÉTÉ GUÉRINE SAVAIT PAS QUI C’ÉTAIT; CAR JÉSUS AVAIT DISPARU DE LA FOULE QUI ÉTAIT EN CELIEU.
DEPUIS, JÉSUSLE TROUVA DANS LE TEMPLE, ET LUI DIT: VOICI, TU AS ÉTÉ GUÉRI; NE PÈCHE PLUS, DEPEUR QU'IL NE T'ARRIVE QUELQUE CHOSE DE PIRE. CET HOMME S'EN ALLA, ET ANNONÇAAUX JUIFS QUE C’ÉTAIT JÉSUS QUI L'AVAIT GUÉRI. C'EST POURQUOI, LES JUIFSPOURSUIVAIENT JÉSUS, PARCE QU'IL FAISAIT CES CHOSES LE JOUR DU SABBAT.
MAIS,JÉSUS LEUR RÉPONDIT: MON PÈRE AGIT JUSQU’À PRÉSENT; MOI AUSSI, J'AGIS. A CAUSEDE CELA, LES JUIFS CHERCHAIENT ENCORE PLUS A LE FAIRE MOURIR, NON SEULEMENTPARCE QU'IL VIOLAIT LE SABBAT, MAIS PARCE QU'IL APPELAIT DIEU SON PROPRE PÈRE,SE FAISANT LUI-MÊME ÉGAL A DIEU.
JÉSUS REPRITDONC LA PAROLE, ET LEUR DIT: EN VÉRITÉ, EN VÉRITÉ, JE VOUS LE DIS, LE FILS NEPEUT RIEN FAIRE DE LUI-MÊME, IL NE FAIT QUE CE QU'IL VOIT FAIRE AU PÈRE; ETTOUT CE QUE LE PÈRE FAIT, LE FILS AUSSI LE FAIT PAREILLEMENT.
CAR, LE PÈRE AIMELE FILS, ET LUI MONTRE TOUT CE QU'IL FAIT; ET IL LUI MONTRERA DES ŒUVRES PLUSGRANDES QUE CELLES-CI, AFIN QUE VOUS SOYEZ DANS L’ÉTONNEMENT. CAR, COMME LEPÈRE RESSUSCITE LES MORTS ET DONNE LA VIE, AINSI LE FILS DONNE LA VIE A QUI ILVEUT.
LE PÈRE NEJUGE PERSONNE, MAIS IL A REMIS TOUT JUGEMENT AU FILS, AFIN QUE TOUS HONORENT LEFILS COMME ILS HONORENT LE PÈRE. CELUI QUI N'HONORE PAS LE FILS N'HONORE PAS LEPÈRE QUI L'A ENVOYÉ.
EN VÉRITÉ, ENVÉRITÉ, JE VOUS LE DIS, CELUI QUI ÉCOUTE MA PAROLE, ET QUI CROIT A CELUI QUIM'A ENVOYÉ, A LA VIE ÉTERNELLE ET NE VIENT POINT EN JUGEMENT, MAIS IL EST PASSEDE LA MORT A LA VIE.
EN VÉRITÉ, EN VÉRITÉ, JE VOUS LE DIS, L'HEURE VIENT, ETELLE EST DÉJÀ VENUE, OÙ LES MORTS ENTENDRONT LA VOIX DU FILS DE DIEU; ET CEUXQUI L'AURONT ENTENDUE VIVRONT ! CAR, COMME LE PÈRE A LA VIE EN LUI-MÊME, AINSIIL A DONNÉ AU FILS D'AVOIR LA VIE EN LUI-MÊME. ET, IL LUI A DONNÉ LE POUVOIR DEJUGER, PARCE QU'IL EST FILS DE L'HOMME.
NE VOUSÉTONNEZ PAS DE CELA; CAR, L'HEURE VIENT OÙ TOUS CEUX QUI SONT DANS LES SÉPULCRESENTENDRONT SA VOIX, ET EN SORTIRONT. CEUX QUI AURONT FAIT LE BIEN RESSUSCITERONTPOUR LA VIE, MAIS CEUX QUI AURONT FAIT LE MALRESSUSCITERONT POUR LE JUGEMENT.
JE NE PUIS RIEN FAIRE DE MOI-MÊME: SELON QUE J'ENTENDS, JE JUGE; ET MONJUGEMENT EST JUSTE, PARCE QUE JE NE CHERCHE PAS MA VOLONTÉ, MAIS LA VOLONTÉ DECELUI QUI M'A ENVOYÉ. SI C'EST MOI QUI RENDS TÉMOIGNAGE DE MOI-MÊME, MONTÉMOIGNAGE N'EST PAS VRAI. IL Y EN A UN AUTRE QUI REND TÉMOIGNAGE DE MOI, ET JESAIS QUE LE TÉMOIGNAGE QU'IL REND DE MOI EST VRAI.
VOUS AVEZENVOYÉ VERS JEAN, ET IL A RENDU TÉMOIGNAGE A LA VÉRITÉ. POUR MOI CE N'EST PASD'UN HOMME QUE JE REÇOIS LE TÉMOIGNAGE; MAIS JE DIS CECI, AFIN QUE VOUS SOYEZSAUVÉS. JEAN ÉTAIT LA LAMPE QUI BRÛLE ET QUI LUIT, ET VOUS AVEZ VOULU VOUSRÉJOUIR UNE HEURE A SA LUMIÈRE.
MOI, J'AIUN TÉMOIGNAGE PLUS GRAND QUE CELUI DE JEAN; CAR LES ŒUVRES QUE LE PÈRE M'ADONNÉ D'ACCOMPLIR, CES ŒUVRES MÊMES QUE JE FAIS, TÉMOIGNENT DE MOI QUE C'EST LEPÈRE QUI M'A ENVOYÉ. ET, LE PÈRE QUI M'A ENVOYÉ A RENDU LUI-MÊME TÉMOIGNAGE DEMOI.
VOUS N'AVEZJAMAIS ENTENDU SA VOIX, VOUS N'AVEZ POINT VU SA FACE, ET SA PAROLE NE DEMEUREPOINT EN VOUS, PARCE QUE VOUS NE CROYEZ PAS A CELUI QU'IL A ENVOYÉ.
VOUS SONDEZLES ÉCRITURES, PARCE QUE VOUS PENSEZ AVOIR EN ELLES LA VIE ÉTERNELLE: CE SONTELLES QUI RENDENT TÉMOIGNAGE DE MOI. ET VOUS NE VOULEZ PAS VENIR A MOI POURAVOIR LA VIE ! JE NE TIRE PAS MA GLOIRE DES HOMMES. MAIS, JE SAIS QUE VOUSN'AVEZ POINT EN VOUS L'AMOUR DE DIEU.
JE SUIS VENUAU NOM DE MON PÈRE, ET VOUS NE ME RECEVEZ PAS; SI UN AUTRE VIENT EN SON PROPRENOM, VOUS LE RECEVREZ. COMMENT POUVEZ-VOUS CROIRE, VOUS QUI TIREZ VOTRE GLOIRELES UNS DES AUTRES, ET QUI NE CHERCHEZ POINT LA GLOIRE QUI VIENT DE DIEU SEUL ?
NE PENSEZ PAS QUE MOI JE VOUS ACCUSERAI DEVANT LE PÈRE; CELUI QUI VOUSACCUSE,C'EST MOÏSE, EN QUI VOUS AVEZ MIS VOTRE ESPÉRANCE. CAR, SI VOUS CROYIEZ MOÏSE,VOUS ME CROIRIEZ AUSSI, PARCE QU'IL A ÉCRIT DE MOI. MAIS SI VOUS NE CROYEZ PASA SES ÉCRITS, COMMENT CROIREZ-VOUS A MES PAROLES ?
IL Y EUT UNE FÊTE DES JUIFS, ET JÉSUS MONTA A JÉRUSALEM. OR, A JÉRUSALEM, PRÈSDE LA PORTE DES BREBIS, IL Y A UNE PISCINE QUI S'APPELLE EN HÉBREU BETHESDA, ETQUI A CINQ PORTIQUES. SOUS CES PORTIQUES ÉTAIENT COUCHÉS EN GRAND NOMBRE DESMALADES, DES AVEUGLES, DES BOITEUX, DES PARALYTIQUES, QUI ATTENDAIENT LEMOUVEMENT DE L'EAU; CAR UN ANGE DESCENDAIT DE TEMPS EN TEMPS DANS LA PISCINE,ET AGITAIT L'EAU; ET CELUI QUI Y DESCENDAIT LE PREMIER APRÈS QUE L'EAU AVAITÉTÉ AGITÉE ÉTAIT GUÉRI, QUELLE QUE FÛT SA MALADIE.
LÀ, SE TROUVAIT UN HOMME MALADE DEPUISTRENTE-HUIT ANS. JÉSUS, L'AYANTVU COUCHÉ, ET SACHANT QU'IL ÉTAIT MALADE DEPUIS LONGTEMPS, LUI DIT: VEUX-TUÊTRE GUÉRI ? LE MALADE LUI RÉPONDIT: SEIGNEUR, JE N'AI PERSONNE POUR ME JETERDANS LA PISCINE QUAND L'EAU EST AGITÉE, ET, PENDANT QUE J'Y VAIS, UN AUTREDESCEND AVANT MOI. LÈVE-TOI, LUI DIT JÉSUS, PRENDS TON LIT, ET MARCHE. AUSSITÔT CET HOMME FUT GUÉRI; IL PRIT SONLIT, ET MARCHA.
C’ÉTAIT UNJOUR DE SABBAT. LES JUIFS DIRENT DONC A CELUI QUI AVAIT ÉTÉ GUÉRI: C'EST LESABBAT; IL NE T'EST PAS PERMIS D'EMPORTER TON LIT. IL LEUR RÉPONDIT: CELUI QUIM'A GUÉRI M'A DIT: PRENDS TON LIT, ET MARCHE.
ILS LUI DEMANDÈRENT: QUI ESTL'HOMME QUI T'A DIT: PRENDS TON LIT, ET MARCHE ? MAIS CELUI QUI AVAIT ÉTÉ GUÉRINE SAVAIT PAS QUI C’ÉTAIT; CAR JÉSUS AVAIT DISPARU DE LA FOULE QUI ÉTAIT EN CELIEU.
DEPUIS, JÉSUSLE TROUVA DANS LE TEMPLE, ET LUI DIT: VOICI, TU AS ÉTÉ GUÉRI; NE PÈCHE PLUS, DEPEUR QU'IL NE T'ARRIVE QUELQUE CHOSE DE PIRE. CET HOMME S'EN ALLA, ET ANNONÇAAUX JUIFS QUE C’ÉTAIT JÉSUS QUI L'AVAIT GUÉRI. C'EST POURQUOI, LES JUIFSPOURSUIVAIENT JÉSUS, PARCE QU'IL FAISAIT CES CHOSES LE JOUR DU SABBAT.
MAIS,JÉSUS LEUR RÉPONDIT: MON PÈRE AGIT JUSQU’À PRÉSENT; MOI AUSSI, J'AGIS. A CAUSEDE CELA, LES JUIFS CHERCHAIENT ENCORE PLUS A LE FAIRE MOURIR, NON SEULEMENTPARCE QU'IL VIOLAIT LE SABBAT, MAIS PARCE QU'IL APPELAIT DIEU SON PROPRE PÈRE,SE FAISANT LUI-MÊME ÉGAL A DIEU.
JÉSUS REPRITDONC LA PAROLE, ET LEUR DIT: EN VÉRITÉ, EN VÉRITÉ, JE VOUS LE DIS, LE FILS NEPEUT RIEN FAIRE DE LUI-MÊME, IL NE FAIT QUE CE QU'IL VOIT FAIRE AU PÈRE; ETTOUT CE QUE LE PÈRE FAIT, LE FILS AUSSI LE FAIT PAREILLEMENT.
CAR, LE PÈRE AIMELE FILS, ET LUI MONTRE TOUT CE QU'IL FAIT; ET IL LUI MONTRERA DES ŒUVRES PLUSGRANDES QUE CELLES-CI, AFIN QUE VOUS SOYEZ DANS L’ÉTONNEMENT. CAR, COMME LEPÈRE RESSUSCITE LES MORTS ET DONNE LA VIE, AINSI LE FILS DONNE LA VIE A QUI ILVEUT.
LE PÈRE NEJUGE PERSONNE, MAIS IL A REMIS TOUT JUGEMENT AU FILS, AFIN QUE TOUS HONORENT LEFILS COMME ILS HONORENT LE PÈRE. CELUI QUI N'HONORE PAS LE FILS N'HONORE PAS LEPÈRE QUI L'A ENVOYÉ.
EN VÉRITÉ, ENVÉRITÉ, JE VOUS LE DIS, CELUI QUI ÉCOUTE MA PAROLE, ET QUI CROIT A CELUI QUIM'A ENVOYÉ, A LA VIE ÉTERNELLE ET NE VIENT POINT EN JUGEMENT, MAIS IL EST PASSEDE LA MORT A LA VIE.
EN VÉRITÉ, EN VÉRITÉ, JE VOUS LE DIS, L'HEURE VIENT, ETELLE EST DÉJÀ VENUE, OÙ LES MORTS ENTENDRONT LA VOIX DU FILS DE DIEU; ET CEUXQUI L'AURONT ENTENDUE VIVRONT ! CAR, COMME LE PÈRE A LA VIE EN LUI-MÊME, AINSIIL A DONNÉ AU FILS D'AVOIR LA VIE EN LUI-MÊME. ET, IL LUI A DONNÉ LE POUVOIR DEJUGER, PARCE QU'IL EST FILS DE L'HOMME.
NE VOUSÉTONNEZ PAS DE CELA; CAR, L'HEURE VIENT OÙ TOUS CEUX QUI SONT DANS LES SÉPULCRESENTENDRONT SA VOIX, ET EN SORTIRONT. CEUX QUI AURONT FAIT LE BIEN RESSUSCITERONTPOUR LA VIE, MAIS CEUX QUI AURONT FAIT LE MALRESSUSCITERONT POUR LE JUGEMENT.
JE NE PUIS RIEN FAIRE DE MOI-MÊME: SELON QUE J'ENTENDS, JE JUGE; ET MONJUGEMENT EST JUSTE, PARCE QUE JE NE CHERCHE PAS MA VOLONTÉ, MAIS LA VOLONTÉ DECELUI QUI M'A ENVOYÉ. SI C'EST MOI QUI RENDS TÉMOIGNAGE DE MOI-MÊME, MONTÉMOIGNAGE N'EST PAS VRAI. IL Y EN A UN AUTRE QUI REND TÉMOIGNAGE DE MOI, ET JESAIS QUE LE TÉMOIGNAGE QU'IL REND DE MOI EST VRAI.
VOUS AVEZENVOYÉ VERS JEAN, ET IL A RENDU TÉMOIGNAGE A LA VÉRITÉ. POUR MOI CE N'EST PASD'UN HOMME QUE JE REÇOIS LE TÉMOIGNAGE; MAIS JE DIS CECI, AFIN QUE VOUS SOYEZSAUVÉS. JEAN ÉTAIT LA LAMPE QUI BRÛLE ET QUI LUIT, ET VOUS AVEZ VOULU VOUSRÉJOUIR UNE HEURE A SA LUMIÈRE.
MOI, J'AIUN TÉMOIGNAGE PLUS GRAND QUE CELUI DE JEAN; CAR LES ŒUVRES QUE LE PÈRE M'ADONNÉ D'ACCOMPLIR, CES ŒUVRES MÊMES QUE JE FAIS, TÉMOIGNENT DE MOI QUE C'EST LEPÈRE QUI M'A ENVOYÉ. ET, LE PÈRE QUI M'A ENVOYÉ A RENDU LUI-MÊME TÉMOIGNAGE DEMOI.
VOUS N'AVEZJAMAIS ENTENDU SA VOIX, VOUS N'AVEZ POINT VU SA FACE, ET SA PAROLE NE DEMEUREPOINT EN VOUS, PARCE QUE VOUS NE CROYEZ PAS A CELUI QU'IL A ENVOYÉ.
VOUS SONDEZLES ÉCRITURES, PARCE QUE VOUS PENSEZ AVOIR EN ELLES LA VIE ÉTERNELLE: CE SONTELLES QUI RENDENT TÉMOIGNAGE DE MOI. ET VOUS NE VOULEZ PAS VENIR A MOI POURAVOIR LA VIE ! JE NE TIRE PAS MA GLOIRE DES HOMMES. MAIS, JE SAIS QUE VOUSN'AVEZ POINT EN VOUS L'AMOUR DE DIEU.
JE SUIS VENUAU NOM DE MON PÈRE, ET VOUS NE ME RECEVEZ PAS; SI UN AUTRE VIENT EN SON PROPRENOM, VOUS LE RECEVREZ. COMMENT POUVEZ-VOUS CROIRE, VOUS QUI TIREZ VOTRE GLOIRELES UNS DES AUTRES, ET QUI NE CHERCHEZ POINT LA GLOIRE QUI VIENT DE DIEU SEUL ?
NE PENSEZ PAS QUE MOI JE VOUS ACCUSERAI DEVANT LE PÈRE; CELUI QUI VOUSACCUSE,C'EST MOÏSE, EN QUI VOUS AVEZ MIS VOTRE ESPÉRANCE. CAR, SI VOUS CROYIEZ MOÏSE,VOUS ME CROIRIEZ AUSSI, PARCE QU'IL A ÉCRIT DE MOI. MAIS SI VOUS NE CROYEZ PASA SES ÉCRITS, COMMENT CROIREZ-VOUS A MES PAROLES ?
JÉSUS S'EN ALLA DE L'AUTRE CÔTÉDE LA MER DE GALILÉE, DE TIBÉRIADE. UNE GRANDEFOULE LE SUIVAIT, PARCE QU'ELLE VOYAIT LES MIRACLES QU'IL OPÉRAIT SUR LESMALADES. JÉSUS MONTA SUR LA MONTAGNE, ET LA IL S'ASSIT AVEC SES DISCIPLES.
OR, LA PÂQUE ÉTAITPROCHE, LA FÊTE DES JUIFS. AYANT LEVÉ LES YEUX, ET VOYANT QU'UNE GRANDE FOULEVENAIT A LUI, JÉSUS DIT A PHILIPPE: OÙ ACHÈTERONS-NOUS DES PAINS, POUR QUE CESGENS AIENT A MANGER ? IL DISAIT CELA POURL’ÉPROUVER, CAR IL SAVAIT CE QU'ILALLAIT FAIRE.
PHILIPPE LUIRÉPONDIT: LES PAINS QU'ON AURAIT POUR DEUX CENTS DENIERS NE SUFFIRAIENT PASPOUR QUE CHACUN EN REÇÛT UN PEU. UN DE SES DISCIPLES, ANDRÉ, FRÈRE DE SIMONPIERRE, LUI DIT: IL Y A ICI UN JEUNE GARÇON QUI A CINQ PAINS D'ORGE ET DEUXPOISSONS; MAIS QU'EST-CE QUE CELA POUR TANT DE GENS? .
JÉSUS DIT:FAITES-LES ASSEOIR. IL Y AVAIT DANS CE LIEU BEAUCOUP D'HERBE. ILS S'ASSIRENTDONC, AU NOMBRE D'ENVIRON CINQ MILLE HOMMES. JÉSUS PRIT LES PAINS, RENDITGRÂCES, ET LES DISTRIBUA A CEUX QUI ÉTAIENT ASSIS; IL LEUR DONNA DE MÊME DESPOISSONS, AUTANT QU'ILS EN VOULURENT. LORSQU'ILS FURENT RASSASIÉS, IL DIT A SESDISCIPLES: RAMASSEZ LES MORCEAUX QUI RESTENT, AFIN QUE RIEN NE SE PERDE.
ILS LESRAMASSÈRENT DONC, ET ILS REMPLIRENT DOUZE PANIERS AVEC LES MORCEAUX QUIRESTÈRENT DES CINQ PAINS D'ORGE, APRÈS QUE TOUS EURENT MANGÉ. CES GENS, AYANTVU LE MIRACLE QUE JÉSUS AVAIT FAIT, DISAIENT: CELUI-CI EST VRAIMENT LE PROPHÈTEQUI DOIT VENIR DANS LE MONDE. ET, JÉSUS, SACHANT QU'ILS ALLAIENT VENIRL'ENLEVER POUR LE FAIRE ROI, SE RETIRA DE NOUVEAU SUR LA MONTAGNE, LUI SEUL.
QUAND LE SOIRFUT VENU, SES DISCIPLES DESCENDIRENT AU BORD DE LA MER. ÉTANT MONTÉS DANS UNEBARQUE, ILS TRAVERSAIENT LA MER POUR SE RENDRE ACAPERNAÜM. IL FAISAIT DÉJÀNUIT, ET JÉSUS NE LES AVAIT PAS ENCORE REJOINTS. ILSOUFFLAIT UN GRAND VENT, ETLA MER ÉTAIT AGITÉE.
APRÈS AVOIRRAMÉ ENVIRON VINGT-CINQ OU TRENTE STADES, ILS VIRENT JÉSUS MARCHANT SUR LA MERET S'APPROCHANT DE LA BARQUE. ET ILS EURENT PEUR. MAIS, JÉSUS LEUR DIT: C'ESTMOI; N'AYEZ PAS PEUR ! ILS VOULAIENT DONC LE PRENDRE DANS LA BARQUE, ETAUSSITÔT, LA BARQUE ABORDA AU LIEU OÙ ILS ALLAIENT. LA FOULE QUI ÉTAIT RESTÉEDE L'AUTRE CÔTÉ DE LA MER AVAIT REMARQUÉ QU'IL NE SE TROUVAIT LÀ QU'UNE SEULEBARQUE, ET QUE JÉSUS N’ÉTAIT PAS MONTÉ DANS CETTE BARQUE AVEC SES DISCIPLES,MAIS QU'ILS ÉTAIENT PARTIS SEULS. .
LE LENDEMAIN,COMME D'AUTRES BARQUES ÉTAIENT ARRIVÉES DE TIBÉRIADE PRÈS DU LIEU OÙ ILSAVAIENT MANGÉ LE PAIN APRÈS QUE LE SEIGNEUR EUT RENDU GRÂCES, LES GENS DE LAFOULE, AYANT VU QUE NI JÉSUS NI SES DISCIPLES N’ÉTAIENT LÀ, MONTÈRENT EUX-MÊMESDANS CES BARQUES ET ALLÈRENT A CAPERNAÜM A LA RECHERCHE DE JÉSUS. ET, L'AYANT TROUVÉ AU DELÀ DE LA MER,ILS LUIDIRENT: RABBI, QUAND ES-TU VENU ICI ?
JÉSUS LEURRÉPONDIT: EN VÉRITÉ, EN VÉRITÉ, JE VOUS LE DIS, VOUS MECHERCHEZ, NON PARCE QUEVOUS AVEZ VU DES MIRACLES, MAIS PARCE QUE VOUS AVEZ MANGÉ DES PAINS ET QUE VOUSAVEZ ÉTÉ RASSASIÉS. TRAVAILLEZ, NON POUR LA NOURRITURE QUI PÉRIT, MAIS POURCELLE QUI SUBSISTE POUR LA VIEÉTERNELLE, ET QUE LE FILS DE L'HOMME VOUSDONNERA; CAR C'EST LUI QUE LE PÈRE, QUE DIEU A MARQUE DE SON SCEAU.
ILS LUIDIRENT: QUE DEVONS-NOUS FAIRE, POUR FAIRE LES ŒUVRES DE DIEU ? JÉSUS LEURRÉPONDIT: L’ŒUVRE DE DIEU, C'EST QUE VOUS CROYIEZ EN CELUI QU'IL A ENVOYÉ. QUELMIRACLE FAIS-TU DONC, LUI DIRENT-ILS, AFIN QUE NOUS LE VOYIONS, ET QUE NOUSCROYIONS EN TOI ? QUE FAIS-TU ? NOS PÈRES ONT MANGÉ LA MANNE DANS LE DÉSERT,SELON CE QUI EST ÉCRIT: IL LEUR DONNA LE PAIN DU CIEL A MANGER.
JÉSUS LEURDIT: EN VÉRITÉ, EN VÉRITÉ, JE VOUS LE DIS, MOÏSE NE VOUS A PAS DONNÉ LE PAIN DUCIEL, MAIS MON PÈRE VOUS DONNÉ LE VRAI PAIN DU CIEL; CAR, LE PAIN DE DIEU,C'EST CELUI QUI DESCEND DU CIEL ET QUI DONNE LA VIE AU MONDE. ILS LUI DIRENT: SEIGNEUR, DONNE-NOUS TOUJOURSCE PAIN.
JÉSUS LEURDIT: JE SUIS LE PAIN DE VIE. CELUI QUI VIENT A MOI N'AURA JAMAIS FAIM, ET CELUIQUI CROIT EN MOI N'AURA JAMAIS SOIF. MAIS, JE VOUS L'AI DIT, VOUS M'AVEZ VU, ETVOUS NE CROYEZ POINT. TOUS CEUX QUE LE PÈRE ME DONNE VIENDRONT A MOI, ET, JE NEMETTRAI PAS DEHORS CELUI QUI VIENT A MOI; CAR, JE SUIS DESCENDU DU CIEL POURFAIRE, NON MA VOLONTÉ, MAIS LA VOLONTÉ DE CELUI QUI M'A ENVOYÉ. OR, LA VOLONTÉDE CELUI QUI M'A ENVOYÉ, C'EST QUE JE NE PERDE RIEN DE TOUT CE QU'IL M'A DONNÉ,MAIS QUE JE LE RESSUSCITE AU DERNIER JOUR. LA VOLONTÉ DE MON PÈRE, C'EST QUEQUICONQUE VOIT LE FILS ET CROIT EN LUI AIT LA VIE ÉTERNELLE; ET JE LERESSUSCITERAI AU DERNIER JOUR !
LES JUIFSMURMURAIENT A SON SUJET, PARCE QU'IL AVAIT DIT: JE SUIS LE PAIN QUI ESTDESCENDU DU CIEL. ET, ILS DISAIENT: N'EST-CE PAS LÀ JÉSUS, LE FILS DE JOSEPH,CELUI DONT NOUS CONNAISSONS LE PÈRE ET LA MÈRE ? COMMENT DONC DIT-IL: JE SUISDESCENDU DU CIEL?
JÉSUS LEURRÉPONDIT: NE MURMUREZ PAS ENTRE VOUS. NUL NE PEUT VENIR A MOI, SI LE PÈRE QUIM'A ENVOYÉ NE L'ATTIRE; ET JE LE RESSUSCITERAI AU DERNIER JOUR. IL EST ÉCRITDANS LES PROPHÈTES: ILS SERONT TOUS ENSEIGNÉS DE DIEU. AINSI, QUICONQUE AENTENDU LE PÈRE ET A REÇU SON ENSEIGNEMENT VIENT A MOI. C'EST QUE NUL N'A VU LEPÈRE, SINON CELUI QUI VIENT DE DIEU; CELUI-LÀ A VU LE PÈRE. EN VÉRITÉ, ENVÉRITÉ, JE VOUS LE DIS, CELUI QUI CROIT EN MOI A LA VIE ÉTERNELLE.
JE SUIS LEPAIN DE VIE. VOS PÈRES ONT MANGÉ LA MANNE DANS LE DÉSERT, ET ILS SONT MORTS. C'EST ICI LE PAIN QUI DESCEND DU CIEL, AFINQUE CELUI QUI EN MANGE NE MEURE POINT. JE SUIS LE PAIN VIVANT QUI EST DESCENDUDU CIEL. SI QUELQU'UN MANGE DE CE PAIN, IL VIVRA ÉTERNELLEMENT; ET LE PAIN QUEJE DONNERAI, C'EST MA CHAIR, QUE JE DONNERAI POUR LA VIE DU MONDE.
LA-DESSUS, LESJUIFS DISPUTAIENT ENTRE EUX, DISANT: COMMENT PEUT-IL NOUS DONNER SA CHAIR AMANGER ?
JÉSUS LEURDIT: EN VÉRITÉ, EN VÉRITÉ, JE VOUS LE DIS, SI VOUS NE MANGEZ LA CHAIR DU FILSDE L'HOMME, ET, SI VOUS NE BUVEZ SON SANG, VOUS N'AVEZ POINT LA VIE ENVOUS-MÊMES. CELUI QUI MANGE MA CHAIR ET QUI BOIT MON SANG A LA VIE ÉTERNELLE;ET JE LE RESSUSCITERAI AU DERNIER JOUR. CAR, MA CHAIR ESTVRAIMENT UNE NOURRITURE, ET MON SANG EST VRAIMENT UN BREUVAGE. CELUI QUIMANGE MA CHAIR ET QUI BOIT MON SANG DEMEURE EN MOI, ET JEDEMEURE EN LUI.
COMME LE PÈREQUI EST VIVANT M'A ENVOYÉ, ET QUE JE VIS PAR LE PÈRE, AINSI CELUI QUI ME MANGEVIVRA PAR MOI. C'EST ICI LE PAIN QUI EST DESCENDU DU CIEL. IL N'EN EST PASCOMME DE VOS PÈRES QUI ONT MANGÉ LA MANNE ET QUI SONT MORTS: CELUI QUI MANGE CEPAIN VIVRA ÉTERNELLEMENT. JÉSUS DIT CES CHOSES DANS LA SYNAGOGUE, ENSEIGNANT ACAPERNAÜM.
PLUSIEURS DESES DISCIPLES, APRÈS L'AVOIR ENTENDU, DIRENT: CETTE PAROLE EST DURE; QUI PEUTL’ÉCOUTER ?
JÉSUS, SACHANTEN LUI-MÊME QUE SES DISCIPLES MURMURAIENT A CE SUJET, LEUR DIT: CELA VOUSSCANDALISE-T-IL ? ET, SI VOUS VOYEZ LE FILS DE L'HOMME MONTER OÙ IL ÉTAITAUPARAVANT ?... C'EST L'ESPRIT QUIVIVIFIE; LA CHAIR NE SERT DE RIEN. LES PAROLES QUE JE VOUS AI DITES SONT ESPRITET VIE ! MAIS, IL EN EST PARMI VOUS QUELQUES-UNS QUI NE CROIENT POINT. CAR,JÉSUS SAVAIT DES LE COMMENCEMENT QUI ÉTAIENT CEUX QUI NE CROYAIENT POINT, ETQUI ÉTAIT CELUI QUI LE LIVRERAIT. ET, IL AJOUTA: C'EST POURQUOI JE VOUS AI DITQUE NUL NE PEUT VENIR A MOI, SI CELA NE LUI A ÉTÉ DONNE PAR LE PÈRE.
DÈS CE MOMENT,PLUSIEURS DE SES DISCIPLES SE RETIRÈRENT, ET ILS N'ALLAIENT PLUS AVEC LUI.JÉSUS DONC DIT AUX DOUZE: ET VOUS, NE VOULEZ-VOUS PAS AUSSI VOUS EN ALLER ?SIMON PIERRE LUI RÉPONDIT: SEIGNEUR, A QUI IRIONS-NOUS ? TU AS LES PAROLES DELA VIE ÉTERNELLE. ET, NOUS AVONS CRU ET NOUS AVONS CONNU QUE TU ES LE CHRIST,LE SAINT DE DIEU !
JÉSUS LEUR RÉPONDIT: N'EST-CE PAS MOI QUI VOUS AICHOISIS, VOUS LES DOUZE ? ET L'UN DE VOUS EST UN DÉMON ! IL PARLAIT DE JUDASISCARIOT, FILS DE SIMON; CAR C’ÉTAIT LUI QUI DEVAIT LE LIVRER, LUI, L'UN DESDOUZE.
COMME JÉSUS S'EN ALLAIT, AU SORTIR DU TEMPLE, SES DISCIPLESS’APPROCHÈRENT POUR LUIEN FAIRE REMARQUER LES CONSTRUCTIONS. MAIS ILLEUR DIT: VOYEZ-VOUS TOUT CELA ?JE VOUS LE DIS EN VÉRITÉ, IL NE RESTERA PASICI PIERRE SUR PIERRE QUI NE SOIT RENVERSÉE.
IL S'ASSIT SUR LA MONTAGNE DES OLIVIERS. ET LES DISCIPLES VINRENT ENPARTICULIER LUI FAIRE CETTE QUESTION: DIS-NOUS, QUAND CELA ARRIVERA-T-IL, ETQUEL SERA LE SIGNE DE TON AVÈNEMENT ET DE LA FIN DU MONDE ?
JÉSUS LEUR RÉPONDIT:PRENEZ GARDE QUE PERSONNE NE VOUS SÉDUISE: CAR PLUSIEURS VIENDRONT SOUS MONNOM, DISANT: C'EST MOI QUI SUIS LE CHRIST ! ET,ILS SÉDUIRONT BEAUCOUP DE GENS.
VOUS ENTENDREZ PARLER DE GUERRES ET DE BRUITS DE GUERRES: GARDEZ-VOUSD’ÊTRETROUBLÉS, CAR IL FAUT QUE CES CHOSES ARRIVENT. MAIS, CE NE SERA PAS ENCORE LAFIN. UNE NATION S’ÉLÈVERA CONTRE UNE NATION ET UN ROYAUME CONTRE UN ROYAUME, ETIL Y AURA, EN DIVERS LIEUX, DES FAMINES ET DES TREMBLEMENTS DE TERRE. TOUT CELANE SERA QUE LE COMMENCEMENT DES DOULEURS.
MATTHIEU24.9-20
ALORSON VOUS LIVRERA AUX TOURMENTS, ET L'ON VOUS FERA MOURIR; ET VOUS SEREZ HAÏS DETOUTES LES NATIONS A CAUSE DE MON NOM. ALORS AUSSI PLUSIEURS SUCCOMBERONT, ETILS SE TRAHIRONT, SE HAÏRONT LES UNS LES AUTRES.
PLUSIEURS FAUX PROPHÈTES S’ÉLÈVERONT ET ILS SÉDUIRONT BEAUCOUP DEGENS. ET, PARCE QUE L’INIQUITÉ SE SERAACCRUE, LA CHARITÉ DU PLUS GRANDNOMBRE SE REFROIDIRA. MAIS CELUI QUI PERSÉVÈRERA JUSQU’À LA FIN SERASAUVÉ. CETTE BONNE NOUVELLE DU ROYAUME SERA PRÊCHÉE DANS LE MONDEENTIER, POUR SERVIR DE TÉMOIGNAGE A TOUTES LES NATIONS.ALORS VIENDRA LA FIN.
C'EST POURQUOI, LORSQUE VOUS VERREZ L'ABOMINATION DE LA DÉSOLATION,DONT A PARLÉ LE PROPHÈTE DANIEL, ÉTABLIE EN LIEU SAINT, - QUE CELUIQUI LIT FASSE ATTENTION !
ALORS, QUE CEUX QUI SERONT EN JUDÉE FUIENT DANS LESMONTAGNES; QUE CELUI QUI SERA SUR LE TOIT NE DESCENDE PAS POUR PRENDRE CE QUIEST DANS SA MAISON; ET QUE CELUI QUI SERA DANS LES CHAMPS NE RETOURNE PAS ENARRIÈRE POUR PRENDRE SON MANTEAU. MALHEUR AUX FEMMES QUI SERONTENCEINTES ET ACELLES QUI ALLAITERONT EN CES JOURS-LÀ !
PRIEZ POUR QUE VOTRE FUITE N'ARRIVE PASEN HIVER, NI UN JOUR DE SABBAT ....
MATTHIEU24.21-31
CARALORS, LA DÉTRESSE SERA SI GRANDE QU'IL N'Y EN A POINT EU DE PAREILLE DEPUIS LECOMMENCEMENT DU MONDE JUSQU’À PRÉSENT, ET QU'IL N'Y EN AURA JAMAIS. ET, SI CESJOURS N’ÉTAIENT ABRÉGÉS, PERSONNE NE SERAIT SAUVÉ, MAIS, A CAUSE DES ÉLUS, CESJOURS SERONT ABRÉGÉS.
SI QUELQU'UN VOUS DIT ALORS: LE CHRIST EST ICI, OU: ILEST LÀ, NE LE CROYEZ PAS. CAR, IL S’ÉLÈVERA DE FAUX CHRISTS ET DE FAUX PROPHÈTES: ILS FERONT DEGRANDS PRODIGES ET DES MIRACLES, AU POINT DE SÉDUIRE,S'IL ÉTAIT POSSIBLE, MÈME LES ÉLUS. VOICI, JE VOUS L'AI ANNONCÉ D'AVANCE.
SIDONC ON VOUS DIT: VOICI, IL EST DANS LE DÉSERT, N'Y ALLEZ PAS; VOICI, IL ESTDANS LES CHAMBRES, NE LE CROYEZ PAS. CAR, COMME L’ÉCLAIR PART DE L'ORIENT ET SEMONTRE JUSQU'EN OCCIDENT, AINSI SERA L’AVÈNEMENT DU FILS DE L'HOMME.
EN QUELQUELIEU QUE SOIT LE CADAVRE, LA S'ASSEMBLERONT LES AIGLES.AUSSITÔT APRÈS CES JOURS DE DÉTRESSE, LESOLEIL S'OBSCURCIRA, LA LUNE NE DONNERA PLUS SA LUMIÈRE, LES ÉTOILES TOMBERONTDU CIEL, ET LES PUISSANCES DES CIEUX SERONT ÉBRANLÉES.
ALORS, LE SIGNE DU FILSDE L'HOMME PARAÎTRA DANS LE CIEL, TOUTES LES TRIBUS DE LA TERRE SE LAMENTERONT,ET ELLES VERRONT LE FILS DE L'HOMME VENANT SUR LES NUÉES DU CIEL AVEC PUISSANCEET UNE GRANDE GLOIRE. IL ENVERRA SES ANGES AVEC LA TROMPETTE RETENTISSANTE ET ILS RASSEMBLERONT SES ÉLUS DESQUATRE VENTS, DEPUIS UNE EXTRÉMITÉ DES CIEUX JUSQU’À L'AUTRE ...........