JEAN 1.1-5- AU COMMENCEMENT ÉTAIT LA PAROLE, ET LA PAROLE ÉTAIT AVEC DIEU, ET LA PAROLE ÉTAIT DIEU. ELLE ÉTAIT AU COMMENCEMENT AVEC DIEU. TOUTES CHOSES ONT ÉTÉ FAITES PAR ELLE, ET RIEN DE CE QUI A ÉTÉ FAIT N'A ÉTÉ FAIT SANS ELLE. EN ELLE ÉTAIT LA VIE, ET LA VIE ÉTAIT LA LUMIÈRE DES HOMMES. LA LUMIÈRE LUIT DANS LES TÉNÈBRES, ET LES TÉNÈBRES NE L'ONT POINT REÇUE.
JEAN 1.9-14- CETTE LUMIÈRE ÉTAIT LA VÉRITABLE LUMIÈRE , QUI, EN VENANT DANS LE MONDE, ÉCLAIRE TOUT HOMME. ELLE ÉTAIT DANS LE MONDE, ET LE MONDE A ÉTÉ FAIT PAR ELLE, ET LE MONDE NE L'A POINT CONNUE. ELLE EST VENUE CHEZ LES SIENS, ET LES SIENS NE L'ONT POINT REÇUE.
MAIS, A TOUS CEUX QUI L'ONT REÇUE, A CEUX QUI CROIENT EN SON NOM, ELLE A DONNÉ LE POUVOIR DE DEVENIR ENFANTS DE DIEU, LESQUELS SONT NÉS, NON DU SANG, NI DE LA VOLONTÉ DE LA CHAIR, NI DE LA VOLONTÉ DE L'HOMME, MAIS DE DIEU. ET LA PAROLE A ÉTÉ FAITE CHAIR, ET ELLE A HABITÉ PARMI NOUS, PLEINE DE GRÂCE ET DE VÉRITÉ; ET NOUS AVONS CONTEMPLÉ SA GLOIRE, UNE GLOIRE COMME LA GLOIRE DU FILS UNIQUE VENU DU PÈRE !
JEAN 1.16-18 -ET NOUS AVONS TOUS REÇU DE SA PLÉNITUDE, ET GRÂCE POUR GRÂCE, CAR, LA LOI A ÉTÉ DONNÉE PAR MOÏSE, LA GRÂCE ET LA VÉRITÉ SONT VENUES PAR JÉSUS CHRIST. PERSONNE N'A JAMAIS VU DIEU; LE FILS UNIQUE, QUI EST DANS LE SEIN DU PÈRE, EST CELUI QUI L'A FAIT CONNAÎTRE !
NAÎTRE DE NOUVEAU: UNE OBLIGATION - NON UNE OPTION !
IL Y EUT UN HOMME
D'ENTRE LES PHARISIENS NOMME NICODÈME, UN CHEF DES JUIFS QUI VINT, LUI, AUPRÈS
DE JÉSUS, DE NUIT, ET LUI DIT: RABBI, NOUS SAVONS QUE TU ES UN DOCTEUR VENU DE
DIEU, CAR PERSONNE NE PEUT FAIRE CES MIRACLES QUE TU FAIS SI DIEU N'EST AVEC
LUI.
JÉSUS LUI RÉPONDIT: EN VÉRITÉ, EN VÉRITÉ, JE TE LE DIS, SI UN HOMME NE NAÎT DE
NOUVEAU, IL NE PEUT VOIR LE ROYAUME DE DIEU. NICODÈME LUI DIT: COMMENT UN HOMME
PEUT-IL NAÎTRE QUAND IL EST VIEUX? PEUT-IL RENTRER DANS LE SEIN DE SA MÈRE ET
NAÎTRE ?
NAÎTRE DE NOUVEAU: UN IMPÉRATIF CATÉGORIQUE ABSOLU !
JÉSUS RÉPONDIT: EN VÉRITÉ, EN VÉRITÉ, JE TE LE DIS, SI UN HOMME NE NAÎT D'EAU ET D'ESPRIT, IL NE
PEUT ENTRER DANS LE ROYAUME DE DIEU. CE QUI EST NÉ DE LA CHAIR EST CHAIR, ET CE
QUI EST NÉ DE L'ESPRIT EST ESPRIT. NE T’ÉTONNE PAS QUE JE T'AIE DIT: IL FAUT QUE
VOUS NAISSIEZ DE NOUVEAU. LE VENT SOUFFLE OÙ IL VEUT ET TU EN ENTENDS LE BRUIT,
MAIS, TU NE SAIS D’OÙ IL VIENT, NI OU IL VA. IL EN EST AINSI DE TOUT HOMME QUI
EST NE DE L'ESPRIT.
NICODÈME LUI DIT: COMMENT CELA PEUT-IL SE FAIRE ? JÉSUS LUI RÉPONDIT: TU ES LE
DOCTEUR D'ISRAËL ET TU NE SAIS PAS CES CHOSES ! EN VÉRITÉ, EN VÉRITÉ, JE TE LE
DIS, NOUS DISONS CE QUE NOUS SAVONS, NOUS RENDONS TÉMOIGNAGE DE CE QUE NOUS
AVONS VU ET VOUS NE RECEVEZ PAS NOTRE TÉMOIGNAGE. SI VOUS NE CROYEZ PAS QUAND
JE VOUS AI PARLÉ DES CHOSES TERRESTRES, COMMENT CROIREZ-VOUS, QUAND JE VOUS
PARLERAI DES CHOSES CÉLESTES ?
PERSONNE N'EST MONTÉ AU CIEL SI CE N'EST CELUI QUI EST DESCENDU DU CIEL, LE
FILS DE L'HOMME QUI EST DANS LE CIEL. ET, COMME MOÏSE ÉLEVA LE SERPENT DANS LE DÉSERT, IL FAUT DE MÊME QUE LE FILS DE L'HOMME SOIT ÉLEVÉ, AFIN QUE QUICONQUE
CROIT EN LUI AIT LA VIE ÉTERNELLE. CAR, DIEU A TANT AIMÉ LE MONDE QU'IL A DONNÉ
SON FILS UNIQUE, AFIN QUE QUICONQUE CROIT EN LUI NE PÉRISSE POINT, MAIS QU'IL
AIT LA VIE ÉTERNELLE.
DIEU, EN EFFET, N'A PAS ENVOYÉ SON FILS DANS LE MONDE POUR QU'IL JUGE LE MONDE,
MAIS, POUR QUE LE MONDE SOIT SAUVÉ PAR LUI. CELUI QUI CROIT EN LUI N'EST POINT
JUGE; MAIS CELUI QUI NE CROIT PAS EST DÉJÀ JUGÉ, PARCE QU'IL N'A PAS CRU AU NOM
DU FILS UNIQUE DE DIEU. ET, CE JUGEMENT C'EST QUE, LA LUMIÈRE ÉTANT VENUE DANS
LE MONDE, LES HOMMES ONT PRÉFÉRÉ LES TÉNÈBRES A LA LUMIÈRE, PARCE QUE LEURS
ŒUVRES ÉTAIENT MAUVAISES.
CAR, QUICONQUE FAIT LE MAL HAIT LA LUMIÈRE ET NE VIENT POINT A LA LUMIÈRE, DE
PEUR QUE SES ŒUVRES NE SOIENT DÉVOILÉES, MAIS, CELUI QUI AGIT SELON LA VÉRITÉ
VIENT A LA LUMIÈRE, AFIN QUE SES ŒUVRES SOIENT MANIFESTÉES, PARCE QU'ELLES SONT
FAITES EN DIEU. CELUI QUI VIENT D'EN-HAUT EST AU-DESSUS DE TOUS, CELUI QUI EST
DE LA TERRE EST DE LA TERRE, ET IL PARLE COMME ÉTANT DE LA TERRE.
CELUI QUI VIENT DU CIEL EST AU-DESSUS DE TOUS, IL REND TÉMOIGNAGE DE CE QU'IL A
VU ET ENTENDU, ET PERSONNE NE REÇOIT SON TÉMOIGNAGE. CELUI QUI A REÇU SON TÉMOIGNAGE A CERTIFIÉ QUE DIEU EST VRAI, CAR, CELUI QUE
DIEU A ENVOYÉ DIT LES PAROLES DE DIEU, PARCE QUE DIEU NE LUI DONNE PAS L'ESPRIT
AVEC MESURE.
LE PÈRE AIME LE FILS ET IL A REMIS TOUTES CHOSES ENTRE SES MAINS. CELUI QUI
CROIT AU FILS A LA VIE ÉTERNELLE, CELUI QUI NE CROIT PAS AU FILS NE VERRA POINT
LA VIE, MAIS LA COLÈRE DE DIEU DEMEURE SUR LUI.
JE SUIS LE VRAI CEP ET MON PÈRE EST LE VIGNERON. TOUT SARMENT QUI EST EN MOI ET QUI NE PORTE PAS DE FRUIT, IL LE RETRANCHE, ET TOUT SARMENT QUI PORTE DU FRUIT, IL L’ÉMONDE AFIN QU'IL PORTE ENCORE PLUS DE FRUIT.
DÉJÀ VOUS ÊTES PURS A CAUSE DE LA PAROLE QUE JE VOUS AI ANNONCÉE. DEMEUREZ EN MOI, ET JE DEMEURERAI EN VOUS. COMME LE SARMENT NE PEUT DE LUI-MÊME PORTER DU FRUIT S'IL NE DEMEURE ATTACHÉ AU CEP, AINSI VOUS NE LE POUVEZ NON PLUS SI VOUS NE DEMEUREZ EN MOI.
JE SUIS LE CEP, VOUS ÊTES LES SARMENTS. CELUI QUI DEMEURE EN MOI ET EN QUI JE DEMEURE PORTE BEAUCOUP DE FRUIT, CAR, SANS MOI, VOUS NE POUVEZ RIEN FAIRE. SI QUELQU'UN NE DEMEURE PAS EN MOI, IL EST JETÉ DEHORS, COMME LE SARMENT ET IL SÈCHE, PUIS ON RAMASSE LES SARMENTS, ON LES JETTE AU FEU ET ILS BRÛLENT. SI VOUS DEMEUREZ EN MOI, ET QUE MES PAROLES DEMEURENT EN VOUS, DEMANDEZ CE QUE VOUS VOUDREZ ET CELA VOUS SERA ACCORDÉ.
SI VOUS PORTEZ BEAUCOUP DE FRUIT, C'EST AINSI QUE MON PÈRE SERA GLORIFIÉ ET QUE VOUS SEREZ MES DISCIPLES. COMME LE PÈRE M'A AIMÉ, JE VOUS AI AUSSI AIMÉS. DEMEUREZ DANS MON AMOUR. SI VOUS GARDEZ MES COMMANDEMENTS, VOUS DEMEUREREZ DANS MON AMOUR, DE MÊME QUE J'AI GARDÉ LES COMMANDEMENTS DE MON PÈRE ET QUE JE DEMEURE DANS SON AMOUR.
JE VOUS AI DIT CES CHOSES, AFIN QUE MA JOIE SOIT EN VOUS ET QUE VOTRE JOIE SOIT PARFAITE. C'EST ICI MON COMMANDEMENT: AIMEZ-VOUS LES UNS LES AUTRES COMME JE VOUS AI AIMÉS. IL N'Y A PAS DE PLUS GRAND AMOUR QUE DE DONNER SA VIE POUR SES AMIS. VOUS ÊTES MES AMIS SI VOUS FAITES CE QUE JE VOUS COMMANDE.
JE NE VOUS APPELLE PLUS SERVITEURS PARCE QUE LE SERVITEUR NE SAIT PAS CE QUE FAIT SON MAÎTRE, MAIS JE VOUS AI APPELÉS AMIS PARCE QUE JE VOUS AI FAIT CONNAÎTRE TOUT CE QUE J'AI APPRIS DE MON PÈRE.
CE N'EST PAS VOUS QUI M'AVEZ CHOISI, MAIS MOI, JE VOUS AI CHOISIS, ET JE VOUS AI ÉTABLIS AFIN QUE VOUS ALLIEZ, ET QUE VOUS PORTIEZ DU FRUIT ET QUE VOTRE FRUIT DEMEURE, AFIN QUE CE QUE VOUS DEMANDEREZ AU PÈRE EN MON NOM, IL VOUS LE DONNE. CE QUE JE VOUS COMMANDE, C'EST DE VOUS AIMER LES UNS LES AUTRES.
IL Y EUT UNE FÊTE DES JUIFS, ET JÉSUS MONTA A JÉRUSALEM. OR, A JÉRUSALEM, PRÈSDE LA PORTE DES BREBIS, IL Y A UNE PISCINE QUI S'APPELLE EN HÉBREU BETHESDA, ETQUI A CINQ PORTIQUES. SOUS CES PORTIQUES ÉTAIENT COUCHÉS EN GRAND NOMBRE DESMALADES, DES AVEUGLES, DES BOITEUX, DES PARALYTIQUES, QUI ATTENDAIENT LEMOUVEMENT DE L'EAU; CAR UN ANGE DESCENDAIT DE TEMPS EN TEMPS DANS LA PISCINE,ET AGITAIT L'EAU; ET CELUI QUI Y DESCENDAIT LE PREMIER APRÈS QUE L'EAU AVAITÉTÉ AGITÉE ÉTAIT GUÉRI, QUELLE QUE FÛT SA MALADIE.
LÀ, SE TROUVAIT UN HOMME MALADE DEPUISTRENTE-HUIT ANS. JÉSUS, L'AYANTVU COUCHÉ, ET SACHANT QU'IL ÉTAIT MALADE DEPUIS LONGTEMPS, LUI DIT: VEUX-TUÊTRE GUÉRI ? LE MALADE LUI RÉPONDIT: SEIGNEUR, JE N'AI PERSONNE POUR ME JETERDANS LA PISCINE QUAND L'EAU EST AGITÉE, ET, PENDANT QUE J'Y VAIS, UN AUTREDESCEND AVANT MOI. LÈVE-TOI, LUI DIT JÉSUS, PRENDS TON LIT, ET MARCHE. AUSSITÔT CET HOMME FUT GUÉRI; IL PRIT SONLIT, ET MARCHA.
C’ÉTAIT UNJOUR DE SABBAT. LES JUIFS DIRENT DONC A CELUI QUI AVAIT ÉTÉ GUÉRI: C'EST LESABBAT; IL NE T'EST PAS PERMIS D'EMPORTER TON LIT. IL LEUR RÉPONDIT: CELUI QUIM'A GUÉRI M'A DIT: PRENDS TON LIT, ET MARCHE.
ILS LUI DEMANDÈRENT: QUI ESTL'HOMME QUI T'A DIT: PRENDS TON LIT, ET MARCHE ? MAIS CELUI QUI AVAIT ÉTÉ GUÉRINE SAVAIT PAS QUI C’ÉTAIT; CAR JÉSUS AVAIT DISPARU DE LA FOULE QUI ÉTAIT EN CELIEU.
DEPUIS, JÉSUSLE TROUVA DANS LE TEMPLE, ET LUI DIT: VOICI, TU AS ÉTÉ GUÉRI; NE PÈCHE PLUS, DEPEUR QU'IL NE T'ARRIVE QUELQUE CHOSE DE PIRE. CET HOMME S'EN ALLA, ET ANNONÇAAUX JUIFS QUE C’ÉTAIT JÉSUS QUI L'AVAIT GUÉRI. C'EST POURQUOI, LES JUIFSPOURSUIVAIENT JÉSUS, PARCE QU'IL FAISAIT CES CHOSES LE JOUR DU SABBAT.
MAIS,JÉSUS LEUR RÉPONDIT: MON PÈRE AGIT JUSQU’À PRÉSENT; MOI AUSSI, J'AGIS. A CAUSEDE CELA, LES JUIFS CHERCHAIENT ENCORE PLUS A LE FAIRE MOURIR, NON SEULEMENTPARCE QU'IL VIOLAIT LE SABBAT, MAIS PARCE QU'IL APPELAIT DIEU SON PROPRE PÈRE,SE FAISANT LUI-MÊME ÉGAL A DIEU.
JÉSUS REPRITDONC LA PAROLE, ET LEUR DIT: EN VÉRITÉ, EN VÉRITÉ, JE VOUS LE DIS, LE FILS NEPEUT RIEN FAIRE DE LUI-MÊME, IL NE FAIT QUE CE QU'IL VOIT FAIRE AU PÈRE; ETTOUT CE QUE LE PÈRE FAIT, LE FILS AUSSI LE FAIT PAREILLEMENT.
CAR, LE PÈRE AIMELE FILS, ET LUI MONTRE TOUT CE QU'IL FAIT; ET IL LUI MONTRERA DES ŒUVRES PLUSGRANDES QUE CELLES-CI, AFIN QUE VOUS SOYEZ DANS L’ÉTONNEMENT. CAR, COMME LEPÈRE RESSUSCITE LES MORTS ET DONNE LA VIE, AINSI LE FILS DONNE LA VIE A QUI ILVEUT.
LE PÈRE NEJUGE PERSONNE, MAIS IL A REMIS TOUT JUGEMENT AU FILS, AFIN QUE TOUS HONORENT LEFILS COMME ILS HONORENT LE PÈRE. CELUI QUI N'HONORE PAS LE FILS N'HONORE PAS LEPÈRE QUI L'A ENVOYÉ.
EN VÉRITÉ, ENVÉRITÉ, JE VOUS LE DIS, CELUI QUI ÉCOUTE MA PAROLE, ET QUI CROIT A CELUI QUIM'A ENVOYÉ, A LA VIE ÉTERNELLE ET NE VIENT POINT EN JUGEMENT, MAIS IL EST PASSEDE LA MORT A LA VIE.
EN VÉRITÉ, EN VÉRITÉ, JE VOUS LE DIS, L'HEURE VIENT, ETELLE EST DÉJÀ VENUE, OÙ LES MORTS ENTENDRONT LA VOIX DU FILS DE DIEU; ET CEUXQUI L'AURONT ENTENDUE VIVRONT ! CAR, COMME LE PÈRE A LA VIE EN LUI-MÊME, AINSIIL A DONNÉ AU FILS D'AVOIR LA VIE EN LUI-MÊME. ET, IL LUI A DONNÉ LE POUVOIR DEJUGER, PARCE QU'IL EST FILS DE L'HOMME.
NE VOUSÉTONNEZ PAS DE CELA; CAR, L'HEURE VIENT OÙ TOUS CEUX QUI SONT DANS LES SÉPULCRESENTENDRONT SA VOIX, ET EN SORTIRONT. CEUX QUI AURONT FAIT LE BIEN RESSUSCITERONTPOUR LA VIE, MAIS CEUX QUI AURONT FAIT LE MALRESSUSCITERONT POUR LE JUGEMENT.
JE NE PUIS RIEN FAIRE DE MOI-MÊME: SELON QUE J'ENTENDS, JE JUGE; ET MONJUGEMENT EST JUSTE, PARCE QUE JE NE CHERCHE PAS MA VOLONTÉ, MAIS LA VOLONTÉ DECELUI QUI M'A ENVOYÉ. SI C'EST MOI QUI RENDS TÉMOIGNAGE DE MOI-MÊME, MONTÉMOIGNAGE N'EST PAS VRAI. IL Y EN A UN AUTRE QUI REND TÉMOIGNAGE DE MOI, ET JESAIS QUE LE TÉMOIGNAGE QU'IL REND DE MOI EST VRAI.
VOUS AVEZENVOYÉ VERS JEAN, ET IL A RENDU TÉMOIGNAGE A LA VÉRITÉ. POUR MOI CE N'EST PASD'UN HOMME QUE JE REÇOIS LE TÉMOIGNAGE; MAIS JE DIS CECI, AFIN QUE VOUS SOYEZSAUVÉS. JEAN ÉTAIT LA LAMPE QUI BRÛLE ET QUI LUIT, ET VOUS AVEZ VOULU VOUSRÉJOUIR UNE HEURE A SA LUMIÈRE.
MOI, J'AIUN TÉMOIGNAGE PLUS GRAND QUE CELUI DE JEAN; CAR LES ŒUVRES QUE LE PÈRE M'ADONNÉ D'ACCOMPLIR, CES ŒUVRES MÊMES QUE JE FAIS, TÉMOIGNENT DE MOI QUE C'EST LEPÈRE QUI M'A ENVOYÉ. ET, LE PÈRE QUI M'A ENVOYÉ A RENDU LUI-MÊME TÉMOIGNAGE DEMOI.
VOUS N'AVEZJAMAIS ENTENDU SA VOIX, VOUS N'AVEZ POINT VU SA FACE, ET SA PAROLE NE DEMEUREPOINT EN VOUS, PARCE QUE VOUS NE CROYEZ PAS A CELUI QU'IL A ENVOYÉ.
VOUS SONDEZLES ÉCRITURES, PARCE QUE VOUS PENSEZ AVOIR EN ELLES LA VIE ÉTERNELLE: CE SONTELLES QUI RENDENT TÉMOIGNAGE DE MOI. ET VOUS NE VOULEZ PAS VENIR A MOI POURAVOIR LA VIE ! JE NE TIRE PAS MA GLOIRE DES HOMMES. MAIS, JE SAIS QUE VOUSN'AVEZ POINT EN VOUS L'AMOUR DE DIEU.
JE SUIS VENUAU NOM DE MON PÈRE, ET VOUS NE ME RECEVEZ PAS; SI UN AUTRE VIENT EN SON PROPRENOM, VOUS LE RECEVREZ. COMMENT POUVEZ-VOUS CROIRE, VOUS QUI TIREZ VOTRE GLOIRELES UNS DES AUTRES, ET QUI NE CHERCHEZ POINT LA GLOIRE QUI VIENT DE DIEU SEUL ?
NE PENSEZ PAS QUE MOI JE VOUS ACCUSERAI DEVANT LE PÈRE; CELUI QUI VOUSACCUSE,C'EST MOÏSE, EN QUI VOUS AVEZ MIS VOTRE ESPÉRANCE. CAR, SI VOUS CROYIEZ MOÏSE,VOUS ME CROIRIEZ AUSSI, PARCE QU'IL A ÉCRIT DE MOI. MAIS SI VOUS NE CROYEZ PASA SES ÉCRITS, COMMENT CROIREZ-VOUS A MES PAROLES ?
IL Y EUT UNE FÊTE DES JUIFS, ET JÉSUS MONTA A JÉRUSALEM. OR, A JÉRUSALEM, PRÈSDE LA PORTE DES BREBIS, IL Y A UNE PISCINE QUI S'APPELLE EN HÉBREU BETHESDA, ETQUI A CINQ PORTIQUES. SOUS CES PORTIQUES ÉTAIENT COUCHÉS EN GRAND NOMBRE DESMALADES, DES AVEUGLES, DES BOITEUX, DES PARALYTIQUES, QUI ATTENDAIENT LEMOUVEMENT DE L'EAU; CAR UN ANGE DESCENDAIT DE TEMPS EN TEMPS DANS LA PISCINE,ET AGITAIT L'EAU; ET CELUI QUI Y DESCENDAIT LE PREMIER APRÈS QUE L'EAU AVAITÉTÉ AGITÉE ÉTAIT GUÉRI, QUELLE QUE FÛT SA MALADIE.
LÀ, SE TROUVAIT UN HOMME MALADE DEPUISTRENTE-HUIT ANS. JÉSUS, L'AYANTVU COUCHÉ, ET SACHANT QU'IL ÉTAIT MALADE DEPUIS LONGTEMPS, LUI DIT: VEUX-TUÊTRE GUÉRI ? LE MALADE LUI RÉPONDIT: SEIGNEUR, JE N'AI PERSONNE POUR ME JETERDANS LA PISCINE QUAND L'EAU EST AGITÉE, ET, PENDANT QUE J'Y VAIS, UN AUTREDESCEND AVANT MOI. LÈVE-TOI, LUI DIT JÉSUS, PRENDS TON LIT, ET MARCHE. AUSSITÔT CET HOMME FUT GUÉRI; IL PRIT SONLIT, ET MARCHA.
C’ÉTAIT UNJOUR DE SABBAT. LES JUIFS DIRENT DONC A CELUI QUI AVAIT ÉTÉ GUÉRI: C'EST LESABBAT; IL NE T'EST PAS PERMIS D'EMPORTER TON LIT. IL LEUR RÉPONDIT: CELUI QUIM'A GUÉRI M'A DIT: PRENDS TON LIT, ET MARCHE.
ILS LUI DEMANDÈRENT: QUI ESTL'HOMME QUI T'A DIT: PRENDS TON LIT, ET MARCHE ? MAIS CELUI QUI AVAIT ÉTÉ GUÉRINE SAVAIT PAS QUI C’ÉTAIT; CAR JÉSUS AVAIT DISPARU DE LA FOULE QUI ÉTAIT EN CELIEU.
DEPUIS, JÉSUSLE TROUVA DANS LE TEMPLE, ET LUI DIT: VOICI, TU AS ÉTÉ GUÉRI; NE PÈCHE PLUS, DEPEUR QU'IL NE T'ARRIVE QUELQUE CHOSE DE PIRE. CET HOMME S'EN ALLA, ET ANNONÇAAUX JUIFS QUE C’ÉTAIT JÉSUS QUI L'AVAIT GUÉRI. C'EST POURQUOI, LES JUIFSPOURSUIVAIENT JÉSUS, PARCE QU'IL FAISAIT CES CHOSES LE JOUR DU SABBAT.
MAIS,JÉSUS LEUR RÉPONDIT: MON PÈRE AGIT JUSQU’À PRÉSENT; MOI AUSSI, J'AGIS. A CAUSEDE CELA, LES JUIFS CHERCHAIENT ENCORE PLUS A LE FAIRE MOURIR, NON SEULEMENTPARCE QU'IL VIOLAIT LE SABBAT, MAIS PARCE QU'IL APPELAIT DIEU SON PROPRE PÈRE,SE FAISANT LUI-MÊME ÉGAL A DIEU.
JÉSUS REPRITDONC LA PAROLE, ET LEUR DIT: EN VÉRITÉ, EN VÉRITÉ, JE VOUS LE DIS, LE FILS NEPEUT RIEN FAIRE DE LUI-MÊME, IL NE FAIT QUE CE QU'IL VOIT FAIRE AU PÈRE; ETTOUT CE QUE LE PÈRE FAIT, LE FILS AUSSI LE FAIT PAREILLEMENT.
CAR, LE PÈRE AIMELE FILS, ET LUI MONTRE TOUT CE QU'IL FAIT; ET IL LUI MONTRERA DES ŒUVRES PLUSGRANDES QUE CELLES-CI, AFIN QUE VOUS SOYEZ DANS L’ÉTONNEMENT. CAR, COMME LEPÈRE RESSUSCITE LES MORTS ET DONNE LA VIE, AINSI LE FILS DONNE LA VIE A QUI ILVEUT.
LE PÈRE NEJUGE PERSONNE, MAIS IL A REMIS TOUT JUGEMENT AU FILS, AFIN QUE TOUS HONORENT LEFILS COMME ILS HONORENT LE PÈRE. CELUI QUI N'HONORE PAS LE FILS N'HONORE PAS LEPÈRE QUI L'A ENVOYÉ.
EN VÉRITÉ, ENVÉRITÉ, JE VOUS LE DIS, CELUI QUI ÉCOUTE MA PAROLE, ET QUI CROIT A CELUI QUIM'A ENVOYÉ, A LA VIE ÉTERNELLE ET NE VIENT POINT EN JUGEMENT, MAIS IL EST PASSEDE LA MORT A LA VIE.
EN VÉRITÉ, EN VÉRITÉ, JE VOUS LE DIS, L'HEURE VIENT, ETELLE EST DÉJÀ VENUE, OÙ LES MORTS ENTENDRONT LA VOIX DU FILS DE DIEU; ET CEUXQUI L'AURONT ENTENDUE VIVRONT ! CAR, COMME LE PÈRE A LA VIE EN LUI-MÊME, AINSIIL A DONNÉ AU FILS D'AVOIR LA VIE EN LUI-MÊME. ET, IL LUI A DONNÉ LE POUVOIR DEJUGER, PARCE QU'IL EST FILS DE L'HOMME.
NE VOUSÉTONNEZ PAS DE CELA; CAR, L'HEURE VIENT OÙ TOUS CEUX QUI SONT DANS LES SÉPULCRESENTENDRONT SA VOIX, ET EN SORTIRONT. CEUX QUI AURONT FAIT LE BIEN RESSUSCITERONTPOUR LA VIE, MAIS CEUX QUI AURONT FAIT LE MALRESSUSCITERONT POUR LE JUGEMENT.
JE NE PUIS RIEN FAIRE DE MOI-MÊME: SELON QUE J'ENTENDS, JE JUGE; ET MONJUGEMENT EST JUSTE, PARCE QUE JE NE CHERCHE PAS MA VOLONTÉ, MAIS LA VOLONTÉ DECELUI QUI M'A ENVOYÉ. SI C'EST MOI QUI RENDS TÉMOIGNAGE DE MOI-MÊME, MONTÉMOIGNAGE N'EST PAS VRAI. IL Y EN A UN AUTRE QUI REND TÉMOIGNAGE DE MOI, ET JESAIS QUE LE TÉMOIGNAGE QU'IL REND DE MOI EST VRAI.
VOUS AVEZENVOYÉ VERS JEAN, ET IL A RENDU TÉMOIGNAGE A LA VÉRITÉ. POUR MOI CE N'EST PASD'UN HOMME QUE JE REÇOIS LE TÉMOIGNAGE; MAIS JE DIS CECI, AFIN QUE VOUS SOYEZSAUVÉS. JEAN ÉTAIT LA LAMPE QUI BRÛLE ET QUI LUIT, ET VOUS AVEZ VOULU VOUSRÉJOUIR UNE HEURE A SA LUMIÈRE.
MOI, J'AIUN TÉMOIGNAGE PLUS GRAND QUE CELUI DE JEAN; CAR LES ŒUVRES QUE LE PÈRE M'ADONNÉ D'ACCOMPLIR, CES ŒUVRES MÊMES QUE JE FAIS, TÉMOIGNENT DE MOI QUE C'EST LEPÈRE QUI M'A ENVOYÉ. ET, LE PÈRE QUI M'A ENVOYÉ A RENDU LUI-MÊME TÉMOIGNAGE DEMOI.
VOUS N'AVEZJAMAIS ENTENDU SA VOIX, VOUS N'AVEZ POINT VU SA FACE, ET SA PAROLE NE DEMEUREPOINT EN VOUS, PARCE QUE VOUS NE CROYEZ PAS A CELUI QU'IL A ENVOYÉ.
VOUS SONDEZLES ÉCRITURES, PARCE QUE VOUS PENSEZ AVOIR EN ELLES LA VIE ÉTERNELLE: CE SONTELLES QUI RENDENT TÉMOIGNAGE DE MOI. ET VOUS NE VOULEZ PAS VENIR A MOI POURAVOIR LA VIE ! JE NE TIRE PAS MA GLOIRE DES HOMMES. MAIS, JE SAIS QUE VOUSN'AVEZ POINT EN VOUS L'AMOUR DE DIEU.
JE SUIS VENUAU NOM DE MON PÈRE, ET VOUS NE ME RECEVEZ PAS; SI UN AUTRE VIENT EN SON PROPRENOM, VOUS LE RECEVREZ. COMMENT POUVEZ-VOUS CROIRE, VOUS QUI TIREZ VOTRE GLOIRELES UNS DES AUTRES, ET QUI NE CHERCHEZ POINT LA GLOIRE QUI VIENT DE DIEU SEUL ?
NE PENSEZ PAS QUE MOI JE VOUS ACCUSERAI DEVANT LE PÈRE; CELUI QUI VOUSACCUSE,C'EST MOÏSE, EN QUI VOUS AVEZ MIS VOTRE ESPÉRANCE. CAR, SI VOUS CROYIEZ MOÏSE,VOUS ME CROIRIEZ AUSSI, PARCE QU'IL A ÉCRIT DE MOI. MAIS SI VOUS NE CROYEZ PASA SES ÉCRITS, COMMENT CROIREZ-VOUS A MES PAROLES ?