QUAND L’ÉTERNEL DES ARMÉES L'A RÉSOLU, LES PEUPLES TRAVAILLENT POUR LE FEU, LES PEUPLES SE FATIGUENT EN VAIN ! CAR LA TERRE SERA REMPLIE DE LA CONNAISSANCE DE LA GLOIRE DE L’ÉTERNEL, COMME LE FOND DE LA MER PAR LES EAUX QUI LA COUVRENT !
J'étais à mon poste et je me tenais sur la tour. Je veillais pour voir ce que l'Éternel me dirait, et ce que je répliquerais après ma plainte. L'Éternel m'adressa la parole et il dit:
Écris la prophétie:
Grave-la sur des tables afin qu'on la lise couramment,
Car c'est une prophétie dont le temps est déjà fixé,
Elle marche vers son terme et elle ne mentira pas.
Si elle tarde, attends-la, car elle s'accomplira,
Elle s'accomplira certainement.
Voici, son âme s'est enflée, elle n'est pas droite en lui; mais le juste vivra par sa foi ! Pareil à celui qui est ivre et arrogant:
L'orgueilleux ne demeure pas tranquille,
Il élargit sa bouche comme le séjour des morts,
Il est insatiable comme la mort,
Il attire à lui toutes les nations,
Il assemble auprès de lui tous les peuples.
Ne sera-t-il pas pour tous un sujet de sarcasme, de railleries et d'énigmes!
On dira:
Malheur à celui qui accumule ce qui n'est pas à lui ! Jusques à quand ?
Malheur à celui qui augmente le fardeau de ses dettes !
Tes créanciers ne se lèveront-ils pas soudain ?
Tes oppresseurs ne se réveilleront-ils pas ?
Et tu deviendras leur proie.
Parce que tu as pillé beaucoup de nations, tout le reste des peuples te pillera:
Car tu as répandu le sang des hommes,
Tu as commis des violences dans le pays,
Contre la ville et tous ses habitants.
Malheur à celui qui amasse pour sa maison des gains iniques, afin de placer son nid dans un lieu élevé, pour se garantir de la main du malheur !
C'est l'opprobre de ta maison que tu as résolu en détruisant des peuples nombreux,
Et c'est contre toi-même que tu as péché, car la pierre crie du milieu de la muraille et le bois qui lie la charpente lui répond.
Malheur à celui qui bâtit une ville avec le sang, qui fonde une ville avec l'iniquité!
Voici, quand l'Éternel des armées l'a résolu, les peuples travaillent pour le feu, les nations se fatiguent en vain,
Car la terre sera remplie de la connaissance de la gloire de l'Éternel, comme le fond de la mer par les eaux qui le couvrent !
LE SEIGNEUR AJOUTAIT CHAQUE JOUR A L’ÉGLISE, CEUX QUI ÉTAIENT SAUVÉS !
Le jour de la Pentecôte, ils étaient tous ensemble dans le même lieu. Tout à coup il vint du ciel un bruit comme celui d'un vent impétueux, et il remplit toute la maison où ils étaient assis. Des langues, semblables à des langues de feu, leur apparurent, séparées les unes des autres, et se posèrent sur chacun d'eux. Et ils furent tous remplis du Saint Esprit, et se mirent à parler en d'autres langues, selon que l'Esprit leur donnait de s'exprimer.
Or, il y avait en séjour à Jérusalem des Juifs, hommes pieux, de toutes les nations qui sont sous le ciel. Au bruit qui eut lieu, la multitude accourut, et elle fut confondue parce que chacun les entendait parler dans sa propre langue. Ils étaient tous dans l'étonnement et la surprise, et ils se disaient les uns aux autres: voici, ces gens qui parlent ne sont-ils pas tous Galiléens?
Et comment les entendons-nous dans notre propre langue à chacun, dans notre langue maternelle ? Parthes, Mèdes, Élamites, ceux qui habitent la Mésopotamie, la Judée, la Cappadoce, le Pont, l'Asie, la Phrygie, la Pamphylie, l'Égypte, le territoire de la Libye voisine de Cyrène, et ceux qui sont venus de Rome, Juifs et prosélytes, Crétois et Arabes, comment les entendons-nous parler dans nos langues des merveilles de Dieu ?
Ils étaient tous dans l'étonnement, et, ne sachant que penser, ils se disaient les uns aux autres: Que veut dire ceci ? Mais d'autres se moquaient, et disaient: Ils sont pleins de vin doux.* Alors Pierre, se présentant avec les onze, éleva la voix, et leur parla en ces termes: Hommes Juifs, et vous tous qui séjournez à Jérusalem, sachez ceci, et prêtez l'oreille à mes paroles ! Ces gens ne sont pas ivres, comme vous le supposez, car c'est la troisième heure du jour.
Mais c'est ici ce qui a été dit par le prophète Joël: dans les derniers jours, dit Dieu, je répandrai de mon Esprit sur toute chair, vos fils et vos filles prophétiseront, vos jeunes gens auront des visions, et vos vieillards auront des songes.
Oui, sur mes serviteurs et sur mes servantes, dans ces jours-là, je répandrai de mon Esprit et ils prophétiseront. Je ferai paraître des prodiges en haut dans le ciel et des miracles en bas sur la terre, du sang, du feu, et une vapeur de fumée. Le soleil se changera en ténèbres et la lune en sang, avant l'arrivée du jour du Seigneur, de ce jour grand et glorieux. Alors quiconque invoquera le nom du Seigneur sera sauvé.
* Hommes Israélites, écoutez ces paroles ! Jésus de Nazareth, cet homme à qui Dieu a rendu témoignage devant vous par les miracles, les prodiges et les signes qu'il a opérés par lui au milieu de vous, comme vous le savez vous-mêmes, cet homme, livré selon le dessein arrêté et selon la prescience de Dieu, vous l'avez crucifié, vous l'avez fait mourir par la main des impies. Dieu l'a ressuscité en le délivrant des liens de la mort, parce qu'il n'était pas possible qu'il fût retenu par elle.
Car David dit de lui: je voyais constamment le Seigneur devant moi, parce qu'il est à ma droite, afin que je ne sois point ébranlé. Aussi mon cœur est dans la joie et ma langue dans l'allégresse, et même ma chair reposera avec espérance, car tu n'abandonneras pas mon âme dans le séjour des morts et tu ne permettras pas que ton Saint voie la corruption. Tu m'as fait connaître les sentiers de la vie, tu me rempliras de joie par ta présence.
* Hommes frères, qu'il me soit permis de vous dire librement, au sujet du patriarche David, qu'il est mort, qu'il a été enseveli, et que son sépulcre existe encore aujourd'hui parmi nous.
* Comme il était prophète, et qu'il savait que Dieu lui avait promis avec serment de faire asseoir un de ses descendants sur son trône, c'est la résurrection du Christ qu'il a prévue et annoncée, en disant qu'il ne serait pas abandonné dans le séjour des morts et que sa chair ne verrait pas la corruption.
* C'est ce Jésus que Dieu a ressuscité, nous en sommes tous témoins. Élevé par la droite de Dieu, il a reçu du Père le Saint Esprit qui avait été promis, et il l'a répandu, comme vous le voyez et l'entendez.
Car David n'est point monté au ciel, mais il dit lui-même: le Seigneur a dit à mon Seigneur: Assieds-toi à ma droite, jusqu'à ce que je fasse de tes ennemis ton marchepied !
* Que toute la maison d'Israël sache donc avec certitude que Dieu a fait Seigneur et Christ ce Jésus que vous avez crucifié.
Après avoir entendu ce discours, ils eurent le cœur vivement touché, et ils dirent à Pierre et aux autres apôtres: Hommes frères, que ferons-nous ?
* Pierre leur dit: repentez-vous, et que chacun de vous soit baptisé au nom de Jésus Christ, pour le pardon de vos péchés, et vous recevrez le don du Saint Esprit. Car la promesse est pour vous, pour vos enfants, et pour tous ceux qui sont au loin, en aussi grand nombre que le Seigneur notre Dieu les appellera.
* Et, par plusieurs autres paroles, il les conjurait et les exhortait, disant: Sauvez-vous de cette génération perverse ! Ceux qui acceptèrent sa parole furent baptisés, et en ce jour-là, le nombre des disciples s'augmenta d'environ trois mille âmes.
Ils persévéraient dans l'enseignement des apôtres, dans la communion fraternelle, dans la fraction du pain, et dans les prières. La crainte s'emparait de chacun et il se faisait beaucoup de prodiges et de miracles par les apôtres.
Tous ceux qui croyaient étaient dans le même lieu et ils avaient tout en commun. Ils vendaient leurs propriétés et leurs biens, et ils en partageaient le produit entre tous, selon les besoins de chacun.
Ils étaient chaque jour tous ensemble assidus au temple, ils rompaient le pain dans les maisons et prenaient leur nourriture avec joie et simplicité de cœur, louant Dieu, et trouvant grâce auprès de tout le peuple. Et le Seigneur ajoutait chaque jour à l'Église ceux qui étaient sauvés.
VOUS RECEVREZ UNE PUISSANCE, LE SAINT ESPRIT SURVENANT SUR VOUS, ET VOUS SEREZ MES TÉMOINS A JÉRUSALEM, DANS TOUTE LA JUDÉE, DANS LA SAMARIE, ET JUSQU'AUX EXTRÉMITÉS DE LA TERRE !
Théophile, j'ai parlé, dans mon premier livre, de tout ce que Jésus a commencé de faire et d'enseigner dès le commencement, jusqu'au jour où il fut enlevé au ciel après avoir donné ses ordres par le Saint Esprit, aux apôtres qu'il avait choisis.
Après qu'il eut souffert, il leur apparut vivant et leur en donna plusieurs preuves, se montrant à eux pendant quarante jours et parlant des choses qui concernent le royaume de Dieu.
Comme il se trouvait avec eux, il leur recommanda de ne pas s'éloigner de Jérusalem mais d'attendre ce que le Père avait promis, ce que je vous ai annoncé, leur dit-il; car Jean a baptisé d'eau mais vous, dans peu de jours, vous serez baptisés du Saint Esprit.
Alors les apôtres réunis lui demandèrent: Seigneur, est-ce en ce temps que tu rétabliras le royaume d'Israël ?
Il leur répondit: Ce n'est pas à vous de connaître les temps ou les moments que le Père a fixés de sa propre autorité.
Mais vous recevrez une puissance, le Saint Esprit survenant sur vous, et vous serez mes témoins à Jérusalem, dans toute la Judée, dans la Samarie, et jusqu'aux extrémités de la terre. Après avoir dit cela, il fut élevé pendant qu'ils le regardaient, et une nuée le déroba à leurs yeux.
Et comme ils avaient les regards fixés vers le ciel pendant qu'il s'en allait, voici, deux hommes vêtus de blanc leur apparurent et dirent: hommes galiléens, pourquoi vous arrêtez-vous à regarder au ciel ? Ce Jésus, qui a été enlevé au ciel du milieu de vous, viendra de la même manière que vous l'avez vu allant au ciel !
REPENTEZ-VOUS DONC ET CONVERTISSEZ-VOUS, POUR QUE VOS PÉCHÉS SOIENT EFFACÉS !
Pierre et Jean montaient ensemble au temple, à l'heure de la prière: c'était la neuvième heure. Il y avait un homme boiteux de naissance qu'on portait et qu'on plaçait tous les jours à la porte du temple appelée la Belle pour qu'il demandât l'aumône à ceux qui entraient dans le temple.
Cet homme, voyant Pierre et Jean qui allaient y entrer, leur demanda l'aumône. Pierre, de même que Jean, fixa les yeux sur lui et dit: Regarde-nous. Et il les regardait attentivement, s'attendant à recevoir d'eux quelque chose.
Alors Pierre lui dit: je n'ai ni argent ni or, mais ce que j'ai, je te le donne: au nom de Jésus Christ de Nazareth, lève-toi et marche. Et le prenant par la main droite, il le fit lever.
Au même instant, ses pieds et ses chevilles devinrent fermes, d'un saut il fut debout et il se mit à marcher. Il entra avec eux dans le temple, marchant, sautant, et louant Dieu.
Tout le monde le vit marchant et louant Dieu. Ils reconnaissaient que c'était celui qui était assis à la Belle porte du temple pour demander l'aumône et ils furent remplis d'étonnement et de surprise au sujet de ce qui lui était arrivé. Comme il ne quittait pas Pierre et Jean, tout le peuple étonné accourut vers eux, au portique dit de Salomon.
Pierre, voyant cela, dit au peuple: hommes Israélites, pourquoi vous étonnez-vous de cela? Pourquoi avez-vous les regards fixés sur nous comme si c'était par notre propre puissance ou par notre piété que nous eussions fait marcher cet homme?
Le Dieu d'Abraham, d'Isaac et de Jacob, le Dieu de nos pères, a glorifié son serviteur Jésus, que vous avez livré et renié devant Pilate qui était d'avis qu'on le relâchât.
Vous avez renié le Saint et le Juste et vous avez demandé qu'on vous accordât la grâce d'un meurtrier. Vous avez fait mourir le Prince de la vie que Dieu a ressuscité des morts, nous en sommes témoins.
C'est par la foi en son nom, que son nom a raffermi celui que vous voyez et connaissez, c'est la foi en lui qui a donné à cet homme cette entière guérison en présence de vous tous.
Et maintenant, frères, je sais que vous avez agi par ignorance, ainsi que vos chefs. Mais Dieu a accompli de la sorte ce qu'il avait annoncé d'avance par la bouche de tous ses prophètes, que son Christ devait souffrir.
Repentez-vous donc et convertissez-vous pour que vos péchés soient effacés, afin que des temps de rafraîchissement viennent de la part du Seigneur et qu'il envoie celui qui vous a été destiné, Jésus Christ, que le ciel doit recevoir jusqu'aux temps du rétablissement de toutes choses, dont Dieu a parlé anciennement par la bouche de ses saints prophètes.
LES APÔTRES ET LES FRÈRES, QUI ÉTAIENT DANS LA JUDÉE, APPRIRENT QUE LES PAÏENS AVAIENT AUSSI REÇU LA PAROLE DE DIEU !
ACTES DES APÔTRES 12.6-11
La nuit qui précéda le jour où Hérode allait le faire comparaître, Pierre, lié de deux chaînes, dormait entre deux soldats et des sentinelles, devant la porte, gardaient la prison.
Et voici, un ange du Seigneur survint et une lumière brilla dans la prison. L'ange réveilla Pierre en le frappant au côté et en disant: lève-toi promptement ! Les chaînes tombèrent de ses mains.
Et l'ange lui dit: mets ta ceinture et tes sandales. Et il fit ainsi. L'ange lui dit encore: enveloppe-toi de ton manteau et suis-moi.
Pierre sortit et le suivit, ne sachant pas que ce qui se faisait par l'ange fût réel, s'imaginant avoir une vision.
Lorsqu'ils eurent passé la première garde, puis la seconde, ils arrivèrent à la porte de fer qui mène à la ville et qui s'ouvrit d'elle-même devant eux. Ils sortirent et s'avancèrent dans une rue. Aussitôt, l'ange quitta Pierre.
Revenu à lui-même, Pierre dit: je vois maintenant, d'une manière certaine, que le Seigneur a envoyé son ange et qu'il m'a délivré de la main d'Hérode, et de tout ce que le peuple juif attendait.
QUI A CONNU LA PENSÉE DU SEIGNEUR POUR L'INSTRUIRE ? OR, NOUS, NOUS AVONS LA PENSÉE DE CHRIST !
1 CORINTHIENS 1.18-31
LA PRÉDICATION DE LA CROIX EST LA PUISSANCE DE DIEU !
LA PRÉDICATION DE LA FOI EST UNE FOLIE POUR CEUX QUI PÉRISSENT, MAIS POUR NOUS QUI SOMMES SAUVÉS, ELLE EST LA PUISSANCE DE DIEU !
AUSSI EST-IL ÉCRIT: JE DÉTRUIRAI LA SAGESSE DES SAGES ET J'ANÉANTIRAI L'INTELLIGENCE DES INTELLIGENTS !
OU EST LE SAGE ? OU EST LE SCRIBE ? OU EST LE DISPUTEUR DE CE SIÈCLE? DIEU N'A-T-IL PAS CONVAINCU DE FOLIE, LA SAGESSE DE CE MONDE?
CAR, PUISQUE LE MONDE, AVEC SA SAGESSE, N'A POINT CONNU DIEU DANS LA SAGESSE DE DIEU, IL A PLU A DIEU DE SAUVER LES CROYANTS PAR LA FOLIE DE LA PRÉDICATION !
LES JUIFS DEMANDENT DES SIGNES ET LES GRECS CHERCHENT LA SAGESSE - NOUS, NOUS PRÊCHONS CHRIST CRUCIFIÉ, SCANDALE POUR LES JUIFS ET FOLIE POUR LES PAÏENS, MAIS PUISSANCE DE DIEU ET SAGESSE DE DIEU POUR CEUX QUI SONT APPELÉS, TANT JUIFS QUE GRECS !
CAR LA FOLIE DE DIEU EST PLUS SAGE QUE LES HOMMES ET LA FAIBLESSE DE DIEU EST PLUS FORTE QUE LES HOMMES - CONSIDÉREZ, MES FRÈRES, QUE PARMI VOUS QUI AVEZ ÉTÉ APPELÉS, IL N 'Y A NI BEAUCOUP DE SAGES SELON LA CHAIR, NI BEAUCOUP DE PUISSANTS, NI BEAUCOUP DE NOBLES.
MAIS DIEU A CHOISI LES CHOSES FOLLES DU MONDE POUR CONFONDRE LES SAGES, DIEU A CHOISI LES CHOSES FAIBLES DU MONDE POUR CONFONDRE LES FORTES ET DIEU A CHOISI LES CHOSES VILES DU MONDE, CELLES QU'ON MÉPRISE, CELLES QUI NE SONT POINT, POUR RÉDUIRE A NÉANT CELLES QUI SONT - AFIN QUE NULLE CHAIR NE SE GLORIFIE DEVANT DIEU.
OR, C'EST PAR LUI QUE VOUS ÊTES EN JÉSUS-CHRIST, LEQUEL, DE PAR DIEU, A ÉTÉ FAIT POUR NOUS SAGESSE - JUSTICE - SANCTIFICATION ET RÉDEMPTION, AFIN QUE, COMME IL EST ÉCRIT: QUE CELUI QUI SE GLORIFIE, SE GLORIFIE DANS LE SEIGNEUR !
Quand je parlerais les langues des hommes et des anges, si je n'ai pas l'amour, je suis un airain qui résonne ou une cymbale qui retentit.
Et quand j'aurais le don de prophétie, la science de tous les mystères et toute la connaissance, quand j'aurais même toute la foi jusqu'à transporter des montagnes, si je n'ai pas l'amour, je ne suis rien.
Et quand je distribuerais tous mes biens pour la nourriture des pauvres, quand je livrerais même mon corps pour être brûlé, si je n'ai pas l'amour, cela ne me sert de rien.
L'amour est patient, il est pleine de bonté; l'amour n'est point envieux; l'amour ne se vante point, il ne s'enfle point d'orgueil, il ne fait rien de malhonnête, il ne cherche point son intérêt, il ne s'irrite point, il ne soupçonne point le mal, il ne se réjouit point de l'injustice, mais il se réjouit de la vérité; il excuse tout, il croit tout, il espère tout, il supporte tout.
L'amour ne périt jamais. Les prophéties prendront fin, les langues cesseront, la connaissance disparaîtra. Car nous connaissons en partie et nous prophétisons en partie, mais quand ce qui est parfait sera venu, ce qui est partiel disparaîtra.
Lorsque j'étais enfant, je parlais comme un enfant, je pensais comme un enfant, je raisonnais comme un enfant; lorsque je suis devenu homme, j'ai fait disparaître ce qui était de l'enfant.
Aujourd'hui nous voyons au moyen d'un miroir, d'une manière obscure, mais alors nous verrons face à face; aujourd'hui je connais en partie, mais alors je connaîtrai comme j'ai été connu.
Maintenant donc ces trois choses demeurent: la Foi, l' Espérance, l'Amour, mais la plus grande de ces choses, c'est l'Amour.
Quand je parlerais les langues des hommes et des anges, si je n'ai pas l'amour, je suis un airain qui résonne ou une cymbale qui retentit.
Et quand j'aurais le don de prophétie, la science de tous les mystères et toute la connaissance, quand j'aurais même toute la foi jusqu'à transporter des montagnes, si je n'ai pas l'amour, je ne suis rien.
Et quand je distribuerais tous mes biens pour la nourriture des pauvres, quand je livrerais même mon corps pour être brûlé, si je n'ai pas l'amour, cela ne me sert de rien.
L'amour est patient, il est pleine de bonté; l'amour n'est point envieux; l'amour ne se vante point, il ne s'enfle point d'orgueil, il ne fait rien de malhonnête, il ne cherche point son intérêt, il ne s'irrite point, il ne soupçonne point le mal, il ne se réjouit point de l'injustice, mais il se réjouit de la vérité; il excuse tout, il croit tout, il espère tout, il supporte tout.
L'amour ne périt jamais. Les prophéties prendront fin, les langues cesseront, la connaissance disparaîtra.Car nous connaissons en partie et nous prophétisons en partie mais quand ce qui est parfait sera venu, ce qui est partiel disparaîtra.
Lorsque j'étais enfant, je parlais comme un enfant, je pensais comme un enfant, je raisonnais comme un enfant; lorsque je suis devenu homme, j'ai fait disparaître ce qui était de l'enfant.
Aujourd'hui nous voyons au moyen d'un miroir, d'une manière obscure, mais alors nous verrons face à face; aujourd'hui je connais en partie, mais alors je connaîtrai comme j'ai été connu.
Maintenant donc ces trois choses demeurent: la Foi, l'Espérance, l'Amour; mais la plus grande de ces choses, c'est la l'Amour.