jeudi 7 novembre 2013

DISCERNONS LES TEMPS D'ACCOMPLISSEMENT DE L'ÂGE MESSIANIQUE !!!

SEIGNEURIE UNIVERSELLE, HÉGÉMONIQUE, SUPRÉMATISTE DE CHRIST ! 

La proclamation de la mort et de la résurrection de Christ, vaut simultanément déclaration officielle de Seigneurie Universelle du Christ - dont le sacrifice était, en fait, le véritable but, comme l’expriment, très explicitement, les versets suivants:

Car Christ est mort et il a vécu, afin de dominer sur les morts et sur les vivants (Romains 14:9)
Si tu confesses de ta bouche le Seigneur Jésus, et si tu crois dans ton cœur que Dieu l'a ressuscité des morts, tu seras sauvé (Romains 10:9)
Si notre Évangile est encore voilé, il est voilé pour ceux qui périssent, pour les incrédules dont le dieu de ce siècle a aveuglé l'intelligence, afin qu'ils ne vissent pas briller la splendeur de l'Évangile de la gloire de Christ, qui est l'image de Dieu (2 Corinthiens 4:3-4)

Ces textes relatifs à la Seigneurie du Christ, articulés à ceux relatifs au jugement, mettent en évidence la thématique harmonique « Résurrection – Seigneurie - Jugement.»

C'est ce qui paraîtra au jour où, selon mon Évangile, Dieu jugera par Jésus-Christ les actions secrètes des hommes (Romains 2:16)
Mais toi, pourquoi juges-tu ton frère? ou toi, pourquoi méprises-tu ton frère? puisque nous comparaîtrons tous devant le tribunal de Dieu (Romains 14:10)
Car il nous faut tous comparaître devant le tribunal de Christ, afin que chacun reçoive selon le bien ou le mal qu'il aura fait, étant dans son corps (2 Corinthiens 5:10)

Dans la pensée de Paul, le jugement à venir est un constituant indissociable du « bloc » de la foi et la « fonction judiciaire » un attribut structurel de la Seigneurie Universelle de Christ, acquise par sa mort et sa résurrection.
Ainsi, le temps de l’accomplissement des prophéties – l’âge messianique - a bien paru, selon « un plan arrêté et une prescience divine », réalisé en la personne du Fils unique de Dieu, par son sacrifice à la croix du calvaire.
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L’Acte Rédempteur accompli, décisivement et définitivement, à la fin de l'histoire, en sa personne, par l’évènement de la croix; Jésus, le Héraut Auteur de notre Salut Éternel, est exalté et glorifié à la droite de Dieu, dans la toute puissance eschatologique, comme chef messianique du peuple qu’il s’est acquis au prix de son sang.

L’effusion du Saint-Esprit dans la communauté messianique sera, dès lors, le signe de la Puissance et de la Gloire Présente du Sauveur au milieu d’elle; l’âge messianique devant atteindre, suivant délai non révélé aux hommes, sa consommation finale par le retour du Christ en Gloire.

Mais Dieu a accompli de la sorte, ce qu'il avait annoncé d'avance par la bouche de tous ses prophètes, que son Christ devait souffrir (Actes 3 :18)
Tous les prophètes qui ont successivement parlé, depuis Samuel, ont aussi annoncé ces jours-là (Actes 3:24)
Après cela, je répandrai mon esprit sur toute chair; Vos fils et vos filles prophétiseront, Vos vieillards auront des songes, Et vos jeunes gens des visions (Joël 2:28)
Hommes Galiléens, pourquoi vous arrêtez-vous à regarder au ciel? Ce Jésus, qui a été enlevé au ciel du milieu de vous, viendra de la même manière que vous l'avez vu allant au ciel (Actes 1:11)


NOTRE CITÉ EST DANS LES CIEUX ! NOUS SOMMES CITOYENS DES CIEUX !

 

PHILIPPIENS 1.27-30, 2.1-24, 3.1-21, 4.1, 4.4-9

NOTRE CITÉ - A NOUS - EST DANS LES CIEUX, 
D'OÙ NOUS ATTENDONS AUSSI, 
COMME SAUVEUR, LE SEIGNEUR JÉSUS-CHRIST 
QUI TRANSFORMERA LE CORPS DE NOTRE HUMILIATION, 
EN LE RENDANT SEMBLABLE AU CORPS DE SA GLOIRE, 
PAR LE POUVOIR QU'IL A DE S'ASSUJETTIR
TOUTES CHOSES ! (PHILIPPIENS 3.20-21)

samedi 2 novembre 2013

LA NOUVELLE ALLIANCE ET SES IMPLICATIONS ONTOLOGIQUES

L'EXCLUSIF MODE D’AGIR DE DIEU EST LA GRÂCE
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Accueillir Jésus, c’est recevoir le message du Règne de Dieu, vivre une conversion, une nouvelle naissance ainsi qu’un complet abandon à Dieu. Les écritures sont essentiellement christocentriques.
La Communauté de vie avec Dieu est conditionnée par l’accomplissement de la volonté de Dieu en la personne de Jésus, de même que la position de chacun par rapport à Jésus détermine son accès au royaume. Le salut est aussi personnel que le chemin qui y conduit:

Jésus dit : je suis le chemin, la vérité, la vie (Jean 14:6)

Les relations de personne à personne instaurées par le Christ, entre le Père et le racheté, le racheté et lui-même, ne sauraient subir aucune altération par ajout de quelque observance légale ou traditionnelle, annihilatrice de la volonté divine.

Vous annulez ainsi la parole de Dieu au profit de votre tradition (Matthieu 15:6)
Ce peuple m'honore des lèvres, Mais son cœur est éloigné de moi. C'est en vain qu'ils m'honorent, en enseignant des préceptes qui sont des commandements d'hommes (Matthieu 15 :8-9)
Ce n'est pas par des choses périssables, par de l'argent ou de l'or, que vous avez été rachetés de la vaine manière de vivre que vous aviez héritée de vos pères (1 Pierre 1:18)

Le type de relations que Christ inaugure entre Dieu et l’homme, par l’œuvre de la croix, abolit tout régime légal périmé. Tout système juridique d’acquittement d’obligations par œuvres et efforts est irréversiblement révolu. Dans la Nouvelle alliance, l’être régénéré ne reçoit pas ses enseignements et exigences d’un système ou d’un être métaphysique abstrait, mais exclusivement du Dieu Sauveur personnel.
Le nouveau régime définitif est celui d’un amour, don total de Dieu, venu en chair, s’exposant à la mort ignominieuse de la croix pour le salut du pécheur. Cet amour ne demande qu’à s’épanouir en réciprocité - car Dieu se communiquant en plénitude attend passionnément, de la part de ses enfants, une réponse personnelle en retour, selon le même esprit de liberté et de gratuité que celui du donateur. Dieu est amour, son agir est la grâce, par son Fils, Jésus. L’amour de Dieu, volonté inflexible de sauver ses créatures du péché et les combler de bienfaits, s’enracine dans la nouvelle et imprescriptible alliance

Par son acceptation de l’offre de salut personnel gratuit, chaque être humain peut reconnaître, en Jésus, son Sauveur et l’ultime révélation de Dieu à l’adresse d’une humanité en situation de détresse irréversible. Cette ultime et exclusive révélation salvatrice n’envisage aucune autre alternative de sortie de crise, hormis le salut en Jésus Christ, seul capable de soustraire le pécheur à son aliénation transgressive aux conséquences éternelles tragiques, par une recréation totale sur le seul modèle conforme aux exigences absolues de Dieu - celui de son Fils Eternel.

Après avoir autrefois, à plusieurs reprises et de plusieurs manières, parlé à nos pères par les prophètes, Dieu, dans ces derniers temps, nous a parlé par le Fils, qu'il a établi héritier de toutes choses, par lequel il a aussi créé le monde, et qui, étant le reflet de sa gloire et l'empreinte de sa personne, et soutenant toutes choses par sa parole puissante, a fait la purification des péchés et s'est assis à la droite de la majesté divine dans les lieux très hauts, devenu d'autant supérieur aux anges qu'il a hérité d'un nom plus excellent que le leur (Hébreux 1:1-4)
Dieu, sans tenir compte des temps d'ignorance, annonce maintenant à tous les hommes, en tous lieux, qu'ils aient à se repentir, parce qu'il a fixé un jour où il jugera le monde selon la justice, par l'homme qu'il a désigné, ce dont il a donné à tous une preuve certaine en le ressuscitant des morts (Actes 17:30-31)
Le Seigneur ne tarde pas dans l'accomplissement de la promesse, comme quelques-uns le croient; mais il use de patience envers vous, ne voulant pas qu'aucun périsse, mais voulant que tous arrivent à la repentance (2 Pierre 3:9)
Car il y a un seul Dieu, et un seul Médiateur entre Dieu et les hommes, Jésus-Christ, homme, qui s'est donné lui-même en rançon pour tous; c'est là le témoignage rendu en son propre temps (1Timothée 2:5-6 )
Il n'y a de salut en aucun autre; car sous le ciel il n'y a pas un autre nom, qui ait été donné aux hommes, par lequel nous devions être sauvés (Actes 4:12)

Ces informations vitales, communications du Saint-Esprit, nous renvoient à la gravité de la problématique spirituelle de notre humanité, mais également au contrepoids d’espérance qui lui est offerte. Chaque être humain est convoqué par le créateur, en colloque singulier, hors de tous biais philosophiques ou religieux, en vue d’une résolution décisive et définitive de la question du péché le concernant.
Aucun ne réalisera jamais la finalité pour laquelle il a été créé, sans abandon de ses dénégations, justifications et sans traitement, à la racine, de la question majeure du péché, cause de tous désordres et faillites - individuels et collectifs. Des défis, risques et enjeux cruciaux s’imposent, en ces temps de la fin, à cette humanité en rupture de ban, contumax, dont la crise systémique transgressive initiée en éden, au tout début de son existence, n’a jamais cessé de s’amplifier, catastrophiquement depuis, en dépit des efforts effrénés déployés par les diverses civilisations historiques - occidentale incluse.
La mesure est comble, le temps est court, l’urgence est à la prise de conscience et de décision. Il n’est qu’une seule alternative: la perdition inhérente au péché ou le salut inhérent à la grâce; chacune avec ses incidences et conséquences éternelles distinctes et opposées. Le monde vit une période charnière située entre deux ères. Depuis Jean-Baptiste, l’histoire du salut tend irrésistiblement vers sa résolution. La phase finale de cette histoire a été spécialement inaugurée par la personne et l’œuvre de Jésus.

Dès lors, la volonté de Dieu ne peut plus être amalgamée avec un système moral ou théologique palliatif car, dès maintenant, le disciple entre par son choix décisif, en communauté indissoluble de vie avec Jésus, conscient qu’en ces derniers temps, en la Venue Personnelle de son Créateur, il a trouvé le règne de Dieu.  Il est seulement maintenant possible d’obéir librement à Dieu et de l’aimer directement de tout son être.

LE REGISTRE DE L’AMOUR DE DIEU EST L’EXCLUSIVITÉ

Approchons-nous donc avec assurance du trône de la grâce, afin d'obtenir miséricorde et de trouver grâce, pour être secourus dans nos besoins (Hébreux 4:4-16)
Dans sa mission de transmission de l’appel de Dieu à la repentance et à la conversion, Jésus n’innove pas sur la substance du message mais sur l’exigence radicale de Dieu enjoignant au pécheur de reconnaître et régler, sans tarder, sa situation.

La légitimité de Dieu à faire valoir clairement ses exigences radicales est fondée sur sa transcendance absolue, son essence libre de toutes conditions. Lui Seul, dans l’univers, est pure capacité de communiquer la vie éternelle, mais surtout de définir les critères d’entrée dans cette Vie Royale.

En vérité, en vérité, je te le dis, si un homme ne naît de nouveau, il ne peut voir le royaume de Dieu (Jean 3:3)
En vérité, en vérité, je te le dis, si un homme ne naît d'eau et d'Esprit, il ne peut entrer dans le royaume de Dieu. Ce qui est né de la chair est chair, et ce qui est né de l'Esprit est esprit. Ne t'étonne pas que je t'aie dit: Il faut que vous naissiez de nouveau. (Jean 3:6-7)

Dieu qui se révèle et qui invite à entrer dans le royaume, à vivre une communauté de vie de personne et de biens avec Lui, est le Maître dont la volonté d’amour infinie exige une obéissance – non servile mais filiale – inconditionnelle et illimitée. Déjà, dans l’ancien testament, YHWH se révèle comme le Dieu jaloux, exclusif, libérateur de l’esclavage mais dont la volonté exigeante entend bien façonner la totalité de la vie de l’homme.

Cependant, Jésus - Dieu venu en chair, Prince de la Vie, Autorité Eternelle Suprême - ne manquera pas de nous enseigner par son exemple la signification du véritable amour et de l’obéissance parfaite, au travers du sacrifice suprême de la Croix. Par le lavage des pieds de ses disciples, peu avant sa mise à mort sacrificielle, il démontrera encore, avec force, qu’au travers de l’accomplissement des temps, il restera Le Maître Serviteur ( Jean 13:1-17; Philippiens 2:5-11)

L’accès au Royaume de Dieu implique un renversement complet de vision et de valeurs. Là où sévissaient les ataviques structures hiérarchiques de dominance issues de la première humanité déchue, s’épanouit , tout en grâce, le Sacerdoce Royal d’une Nation Sainte - générée par le sacrifice sanglant de son Roi - nation dont la devise sera à jamais: Régner, c’est Servir !

Vous m'appelez Maître et Seigneur; et vous dites bien, car je le suis. Si donc je vous ai lavé les pieds, moi, le Seigneur et le Maître, vous devez aussi vous laver les pieds les uns aux autres; car je vous ai donné un exemple, afin que vous fassiez comme je vous ai fait (Jean 13:13-15)
Jésus leur dit: Les rois des nations les maîtrisent, et ceux qui les dominent sont appelés bienfaiteurs. Qu'il n'en soit pas de même pour vous. Mais que le plus grand parmi vous soit comme le plus petit, et celui qui gouverne comme celui qui sert. Car quel est le plus grand, celui qui est à table, ou celui qui sert ? N'est-ce pas celui qui est à table? Et moi, cependant, je suis au milieu de vous comme celui qui sert (Luc 22 :25-27)
Vous, au contraire, vous êtes une race élue, un sacerdoce royal, une nation sainte, un peuple acquis, afin que vous annonciez les vertus de celui qui vous a appelés des ténèbres à son admirable lumière (1Pierre 2:9)
Ô profondeur des richesses et de la sagesse et de la connaissance de Dieu ! Que ses jugements sont incompréhensibles, et ses voies impossibles à trouver ! Car qui est-ce qui a connu la pensée du Seigneur ? Ou, qui a été son conseiller ? Ou qui est-ce qui lui a donné le premier, et il lui sera rendu ? Car de lui, et par lui, et pour lui sont toutes choses. A lui soit gloire éternellement : Amen ! (Romains 11:33-36)

L’EVANGILE DE L’INCARNATION ...



LES ENGAGEMENTS CONFORMES A ÉVANGILE DE L’INCARNATION

La conception du Royaume que Jésus développe dans les évangiles, inclut tout en la transcendant, la condition humaine, avec ses souffrances, ses besoins,  attentes et  aspirations.

Considérer l’ensemble des dimensions de la vie terrestre, en référence et corrélation avec les principes fondamentaux du Royaume, constitue une grille de lecture et une potentialité de transformation de la réalité, en harmonie avec la vision du Maître d’un haut niveau de performance, permettant de traiter, de manière optimale, les vrais enjeux, risques et défis divins, situés à l’intersection de l’histoire du salut et de la première humanité mortifiée par le péché (MATTHIEU 6.33)

L’amour de Jésus pour le pécheur n’ayant d’égal que son aversion pour le péché, agent de perdition,  explique et justifie son implacable dénonciation de toutes les formes de corruption et de perversion aliénatrices, dépravatrices de la nature humaine: hypocrisie des pharisiens, cupidité du riche insensé, avidité des vignerons homicides … (MATTHIEU  23:1-33)

La mission des disciples doit être configurée sur le Christ qui envoie comme le Père l’a envoyé, communiquant un modèle en sa personne, en vue de l’accomplissement fructueux du mandat qu’il leur a confié jusqu’ à son retour (LUC 4:18-19)

L’Église est ainsi formée par une communauté de personnes réellement nées de nouveau, spirituellement soustraites à l’influence du monde, puis réinvesties à son service, avec une nature  régénérée, incorruptible, préservée de tout risque d’assimilation ou de rechute sous les puissances du siècle, par  éventuel « syndrome de confusion de genre.»

Cet  engagement et cette implication ne sont pas une « simple option sociale » mais une « impérative obligation de l’esprit », « catégorie en soi  irréductible » aux  thématiques idéologiques générées par la société historique.

L’Église doit bannir toute approche des réalités de la souffrance humaine, due au péché, par une dogmatique biblique formaliste, dépersonnalisée, désincarnée et promouvoir une approche de ces mêmes réalités par une évangélisation personnalisée, incarnée, chaleureuse, non altérée par une culture de cloisonnements et clivages institutionnels artificiels contre-productifs - car « l’union, sur des bases doctrinales saines et des relations fraternelles authentiques, sera toujours la force déterminante au sein des combats.»

En tout état de cause, les communautés chrétiennes ne sauraient indéfiniment demeurer impassibles et inertes, face aux aliénations, maux et souffrances générés par le « projet de mondialisation de la vie sans Dieu », en laissant la conception réductionniste, confusionniste de leur foi, essentiellement focalisée sur la seule espérance future (dimension verticale de la foi: la relation à Dieu) inhiber, neutraliser leurs responsabilités sociétales présentes (dimension horizontale de la foi: la relation au prochain), reléguant ainsi une majorité de croyants à l’assimilation passive de principes et attitudes relativistes, individualistes, matérialistes, issus de la culture de masse, par privation de critères de référence, d’appartenance et d’identité messianiques précisément définis, ayant trait aux impératifs éthiques et implications concrètes de la vie nouvelle – articulant les deux inséparables dimensions, de verticalité et d’horizontalité de la foi ( ÉPHÉSIENS 4:20-21; ROMAINS 12:1-2; MATTHIEU 5:13-16; 2 PIERRE 1:3-11)

Face à ce processus tentaculaire de mondialisation, l’Église est invitée à sortir de son sommeil dogmatique, renouveler son engagement de fidélité à l’ordre missionnaire de Jésus-Christ consistant à aller dans le  monde entier pour annoncer, individuellement et communautairement, l’évangile intégral du salut par grâce, répondant à la totalité des besoins, attentes et aspirations des  hommes: spirituels, physiques, intellectuels, économiques, sociaux - les deux erreurs extrêmes, antithétiques, étant, en ce domaine: l’attention et l’action exclusivement portées sur l’évangélisation et les besoins spirituels de l’être et celles quasi-exclusivement focalisées sur les problèmes économiques et sociaux du monde (COLOSSIENS 3:12; 1 JEAN 3:16-20)